Reprise du message précédent :
http://p4.storage.canalblog.com/47 [...] 8614_o.jpg
Ancien président du Conseil des ministres, le vieil Émile Beaufort consacre une large partie de son temps à l'écriture de ses mémoires qu'il dicte à sa dévouée secrétaire, Mlle Millerand, à La Verdière, sa propriété provinciale. S'il est retiré du jeu politique, il n'en garde pas moins un regard attentif à l'actualité des affaires nationales.

Quand une grave crise ministérielle s'impose, la presse estime que le député Philippe Chalamont pourrait être chargé de constituer un cabinet de large union nationale. L'ancien président Beaufort, bien que terré dans sa campagne, espère empêcher une telle désignation. Quelques années auparavant, Chalamont, un homme efficace et loyal en apparence, dirigeait le cabinet d'Émile Beaufort quand un scandale financier, impliquant la belle-famille de Chalamont, fit avorter une dévaluation programmée de la monnaie nationale et coûta près de 3 milliards de francs anciens à la France. Jugeant son protégé responsable d'une telle situation, Beaufort avait exigé la reconnaissance écrite de Chalamont de sa propre implication dans cette affaire de fuite; une reconnaissance qu'il a précieusement conservée dans ses archives personnelles, sachant que son ancien poulain pouvait prendre du galon.

de Verneuil avec Jean Gabin, Bernard Blier, Renée Faure, adaptation Audiard ainsi que les dialogue

Flemme de remonter les 7 pages mais je ne crois pas que quelqu'un en ait parlé : Le Pacha  
 

 
 

 

 
1968 c'est déjà limite moderne (d'ailleurs l'ambiance est bien datée ) mais le film est très bon.  
L'attitude de Gabin avec ces répliques c'est un bonheur.  
 
Puis Dany Carel n'est pas désagréable.  

effectivement on en a pas parlé. Merci pour ton post bien construit, avec affiche et tout. je devrais le mettre en début du topic, si on parle d'un film, minimum affiche, résumé et réal acteurs...

le président est assez visionnaire niveau politique, Europe etc.

Pas de quoi, tu l'avais précisé il y'a quelques jours.

Le Pacha    aussi...  

"Lalala...Requiem... A ta mémoire de scélérat... Pauvre Con..."

https://www.youtube.com/watch?v=ELxr5asAe-4

Je ne suis pas un très grand fan de Gainsbourg du coup je trouve la BO... un peu trop présente.

(cela dit, le thème instrumental colle quand même bien au film)

Moi ce que je retiens, c'est que la vie était moins aseptisée...    
 
Le chassé-croisé Gabin/Gainsbourg...  

Ah pour ça bien d'accord, tant pour ce qui se faisait dans cette société que pour ce qu'il était possible de montrer dans un film.

j'ai vu un audiard avec la musique de gainsbourg : je serai content quand tu seras mort vieille canaille... c'est pas dans 100000 dollars au soleil ?

ah bon ? m'en rappelle plus

non gainsbourg c'est pas un audiard, c'est peut être un film avec belmondo, enfin je ne m'en rappelle plus...

Nan... C'est juste Gainsbourg et Eddy...
Enfin je crois  

non celui là je ne l'ai pas vu mais j'ai vu un autre film avec du gainsbar
pas moyen de m'en rappeler où...

C'est pas celui dont tu parles mais c'est aussi Gainsbourg qui a fait la très bonne musique de La Horse. Il a composé une bonne quantité de musique de films en fait.

Dis, c'est que sur le cinéma français ton topic qidemoule ?    dommage...

non films noirs de tous pays

Il ne faut plus dire des films noirs, ce sont des films de couleu... Wait...  

là je vais voir le pacha

bon j'ai déjà vu le pacha...

http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] #t46557931

il était dans mon coffret...
J'pense que quand on mettra les cons sur orbite, t'as pas fini d'tourner

c'est là que je m'en suis aperçu, bien que le début me disait quelque chose et j'en ai parlé sur ce topic...

je l'ai revu avec plaisir, c'est celui là le film avec des chansons de gainsbourg

j'ai complètement oublié de voir un film Audiard dans mon coffret

Arsène Baudu, escroc à la petite semaine rencontre par hasard Hyacinthe Camus, ancien policer et le convertit aux arcanes de l'arnaque. Au cours de leur pérégrinations ils vont rencontrer Alexandre Larsan-Bellac qui lui aussi est un escroc mais d'un tout autre niveau. A trois ils vont monter une arnaque en faisant croire à un pigeon que les obligations de l'Emprunt russe de 1906 vont être remboursées à bon prix par le gouvernement de l'Union Soviétique. Riméro un industriel naïf va tomber dans le panneau. Mais parallèlement Alexandre Larsan-Bellac s'entiche de Lady Valérie Paterson, une prétendue milliardaire californienne qui elle aussi pratique l'escroquerie…

Titre : Quand passent les faisans
Autre titre, Les Escrocs
Réalisation : Édouard Molinaro
Dialogues : Michel Audiard

acteurs

Paul Meurisse : Alexandre Larsan-Bellac
Bernard Blier : Hyacinthe Camus
Jean Lefebvre : Arsène Baudu
Michel Serrault : Rimero

une bonne comédie avec une belle équipe d'escrocs, les dialogues font mouche le tout est truculent

Après un séjour aux États-Unis, Henri Ferré, alias Le Nantais, revient à Paris pour restructurer le réseau de drogue. Son correspondant, Paul Liski, lui trouve une couverture pour traverser les mailles policières en lui offrant le bar Le Troquet, qui a pour caissière la belle Lisette. Celle-ci va vite tomber amoureuse de Ferré. Pendant que Le Nantais découvre tous les rouages de cette filière de la drogue, la police, bien décidée à démanteler ledit réseau, n'hésite pas à employer les grands moyens pour parvenir à ses fins.

Réalisation : Henri Decoin
Scénario : D'après le roman d'Auguste Le Breton (Éditions Gallimard)
Adaptation : Henri Decoin, Auguste Le Breton, Maurice Griffe
Dialogues : Auguste Le Breton

très bon film, je le conseille, un bon film noir

bon à partir de demain Melville. trop de Gabin tue le Gabin, bien qu'il en reste des films à voir

L'avant-veille de Noël, un gang constitué de Simon, Louis, Marc et Paul attaque une banque à Saint-Jean-de-Monts en Vendée. Au cours de ce braquage, Marc est très grièvement blessé. À Paris, le commissaire Édouard Coleman commence son périple nocturne par la descente des Champs-Élysées. Il a ses habitudes un peu plus loin, rue d'Armaillé, au Simon's, la boîte de nuit appartenant au chef du gang, Simon. Il est, en effet, l'amant de Cathy, la « femme » de Simon. Pour empêcher la police de remonter jusqu'à eux, Marc, pourtant hospitalisé dans une clinique, est achevé par Cathy. Simon, Louis et Paul projettent un nouveau coup audacieux : l'agression de « Mathieu la Valise » qui doit transporter une importante quantité de drogue à bord du train de nuit Paris - Lisbonne.

Réalisation : Jean-Pierre Melville

avec :
Alain Delon : Commissaire Édouard Coleman
Richard Crenna (V.F.: Jean Berger) : Simon
Catherine Deneuve : Cathy
Riccardo Cucciolla : Paul Weber
Michael Conrad (V.F.: Jean Davy) : Louis Costa

très bon film noir avec un casting de haut niveau, mélange de français et d'américains.
Richard Crenna est excellent, tout aussi excellent que Delon et Deneuve.
La scène culte du train, en temps réel la scène  

+1
 
 
Mal-aimé par la critique, alors que j'y ai vu une intrigue profonde, à l'atmosphère soignée, sans oublier une photographie et des acteurs de grandes classes. Pour résumer, Un bien joli polar d'une autre époque.

exactement, et un Delon très beau mec Deneuve est aussi belle, pas étonnant que john who soit fan de Melville, et que dans un balle dans la tête il y a des posters de Delon et Deneuve, et the killer est un remake à peine voilée de "samouraï" de Melville

Alain ?  Une épée ! La base, Pierre angulaire du ciné FR ...
 
http://www.dailymotion.com/video/x [...] OG_HTML5=1
 

 
 
 
 

Delon chantant c'est une découverte m'en doutais pas

Touche à tout Alain ...
 
Capable de te réparer ta Clio, en amusant ton gamin, tout en séduisant la voisine. A-L'imparfait !

il a été mafieux dans sa jeunesse, il fréquentait la mafia corse (j'ai eu cete information plusieurs fois et j'ai vu le bâtiment et les gens qu'il fréquentait) oui touche à tout

ou du moins il fréquentait le milieu...

 
C'est vrai, son garde du corps de l’époque a aussi fini avec des pruneaux dans la barrique. L'ambiance des films de Melville n’étaient pas si éloigné de son quotidien.

ça je ne le savais pas, mais ça confirme ce que j'ai entendu....

Je me suis refais "Le cave se rebiffe" hier.
Toujours aussi bon.
Et Blier qui sort du Audiard, je ne m'en lasse pas.
https://youtu.be/392D9i6pO_U

Delon le mal aimé, et pourtant c'est un grand acteur n'en déplaise  

J'adore un film avec lui : "Le Professeur"
est un film franco-italien réalisé par Valerio Zurlini et sorti en 1972
Résumé : (wikipéd)
Daniele Dominici remplace un professeur malade au lycée de Rimini. Bien que séparé de sa femme, Monica, il vit toujours avec elle. Riches et oisifs, ses élèves l'ennuient, excepté Vanina, une jeune fille qui éveille son intérêt par la blessure secrète qu'il décèle en elle...
L'ambiance du film est glauque, du moins la ville est glauque, ennuyeuse. Delon est miteux dans ce film... misérable, mais les apparences sont trompeuses. La classe, il ne la porte pas avec ses vêtements mais avec son esprit !

Ca doit être mon côté fifi qui me fait aimer cette romance, mais n'en croyez rien, c'est un film noir qui pue l'ennui et une mélancolie que tu te traînes pendant et même après l'avoir vu...

J'aime les bons petits films méconnus qui méritent d'être connus d'ailleurs, celui-ci en fait parti

Voilà je viens de le revoir... j'adore cette scène  

 
introuvable...

il est très bon comme film