justement, c'etait tout l'interet il se voyait meme pas dans la liste des process

la news d'origine a disparu mais un résumé est dispo ici :
http://catless.ncl.ac.uk/Risks/21.35.html#subj5

traceroute strop compliqué ...  

traceroute strop compliqué ...  

traceroute strop compliqué ...  

bah oué donc tracert sert a rien dans ce cas précis
clairement l'equipe "IT" de l'univ en question, c'est pas des fleches

 
Ah tiens, tu as raison, j'avais jamais fait attention à cette option dans traceroute :

bah si mais ca ils l'ont fait en premier, et apres ils se sont dit "ben merde, il est ou le biniou ?" paske justement ils ont pas enchainé sur la suite

ça, je l'ai pas vu marqué dans l'histoire  
 
 
EDIT : et +1 pour les options, j'avais pas vu

ils savaient pinger, donc ils savaient tracert

j'en connais qui savent faire un ping mais qui savent pas qu'un executable windows ça marche pas sous linux, suffit pas de faire ./monprogramme.exe, donc permet moi d'en douter    
 

Stai chez FT (qu'on a comme client), apparemment ils manquaient de place dans le datacenter, ça débordait un peu de partout, serveurs jusque dans les couloirs, bref, du grand n'importe quoi

j'en connais qui savent faire un ping mais qui savent pas qu'un executable windows ça marche pas sous linux, suffit pas de faire ./monprogramme.exe, donc permet moi d'en douter    
 
et ces mecs là sont responsables d'une plateforme qui tourne sous linux

bah t'a les listes
 

• pouet
• pouet2
• pouet3

ou la balise fixed
 

 
c'est pas ce que tu cherches

Quand le titre d'un topic c'est :  
[tag truc blabla] Mon topic c'est de la balle
 
Il apparait quand on rentre dedans, au niveau du nom de la fenêtre, sous la forme :  
Mon topic c'est de la balle [tag truc blabla]
 
C'est une feature ?

oui, pour le référencement.

Ce topic ressemble de plus en plus à celui des informaticiens aigris

Pour Joce faut rayer les deux premières mentions

 
Tu ne peux comprendre la fébrilité de la Traque.  
Maniant le debugger comme une lance des temps anciens, nous ratissons la jungle du coredump, nous évoluons au sein de la stacktrace, comme l'on remonte la piste du furieux animal tout droit vers le plus proche cours d'eau. Une fois repéré, nous l'observons attentivement, nous étudions son comportement, en attente, à l'affût, aidés en cela par nos breakpoints conditionnels et nos monitoring mémoire. Puis nous préparons le coup de grâce en utilisant notre avantage évolutif pour monter la stratégie qui nous permettra de l'abattre.
Nous pouvons ainsi lui poser des pièges dans lesquels la Bête s'empêtrera à coup sûr, en fabriquant des cas de tests finement adaptés à l'animal et au terrain. Ou si l'animal est grossier à défaut d'être subtil, nous pouvons le charger, et l'acculer jusqu'au total isolement.
Une fois la bête piégée ou acculée, il ne nous reste plus qu'à la contempler, dans sa glorieuse sauvagerie. Elle qui autrefois faisait trembler serveurs et données n'est plus maintenant que l'ombre d'elle-même, parfaitement étudiée, parfaitement comprise, elle ne peut plus qu'attendre le bugfix fatal qui en viendra à bout, ou le nouvel algorithme, plus puissant, plus élégant, correct et parfait, qui la remplacera.
Vient alors son agonie, elle pousse un dernier cri effroyable de défi, jurant de revenir, lorsqu'elle est impitoyablement archivée et enterrée sous la terre de la version+1 de celle qui lui succédera, plus docile, domestiquée. La bête n'est plus, seul subistant son souvenir dans l'esprit de l'informaticien buvant son café de la victoire.

 
Tu ne peux comprendre la fébrilité de la Traque.

Tu ne peux comprendre la fébrilité de la Traque.  
Maniant le debugger comme une lance des temps anciens, nous ratissons la jungle du coredump, nous évoluons au sein de la stacktrace, comme l'on remonte la piste du furieux animal tout droit vers le plus proche cours d'eau. Une fois repéré, nous l'observons attentivement, nous étudions son comportement, en attente, à l'affût, aidés en cela par nos breakpoints conditionnels et nos monitoring mémoire. Puis nous préparons le coup de grâce en utilisant notre avantage évolutif pour monter la stratégie qui nous permettra de l'abattre.
Nous pouvons ainsi lui poser des pièges dans lesquels la Bête s'empêtrera à coup sûr, en fabriquant des cas de tests finement adaptés à l'animal et au terrain. Ou si l'animal est grossier à défaut d'être subtil, nous pouvons le charger, et l'acculer jusqu'au total isolement.
Une fois la bête piégée ou acculée, il ne nous reste plus qu'à la contempler, dans sa glorieuse sauvagerie. Elle qui autrefois faisait trembler serveurs et données n'est plus maintenant que l'ombre d'elle-même, parfaitement étudiée, parfaitement comprise, elle ne peut plus qu'attendre le bugfix fatal qui en viendra à bout, ou le nouvel algorithme, plus puissant, plus élégant, correct et parfait, qui la remplacera.
Vient alors son agonie, elle pousse un dernier cri effroyable de défi, jurant de revenir, lorsqu'elle est impitoyablement archivée et enterrée sous la terre de la version+1 de celle qui lui succédera, plus docile, domestiquée.

La bête n'est plus, seul subsistant son souvenir dans l'esprit de l'informaticien buvant son café de la victoire.