Je me suis reveillé à 10h ce matin, j'ai trainaillé dans mon pieu tentant de prolonger ce rêve voluptueux qui ma bercé toute la nuit...mon reve se passe dans la rue, probablement sur une avenue parisienne, je suis là à attendre un bus ou je ne sais quoi, enfin panté comme un pigeon sur un trottoir, lorsque qu'une blonde callypige d'un charme à faire fondre iceberg s'approche de moi et sans un mot se blottit (pour ne pas dire frotte) contre moi, je ressens alors une chaleur presque maternelle une volupté exquise et je me laisse charmer par ce mystere magique et delicieux, c'est alors
que je m'emporte ds un tourbillion de calins emoustillants
Une scene qui ne va pas sans me rememorer les amours passionnés de mon adolescence, l'amour vrai, l'amour adolescent, innocent, inconscient, naif, si pur, si naturel, il ne se laisse pas influencer par le monde extérieur...tout est si compliqué chez les adultes!! aahh...enfin, bref, la blonde disparu comme elle etait apparue!!
au reveil, un n?ud de desirs inassouvis au creux de la poitrine en pleine reflexion sur la condamnation de la
passion par les stoïciens je restai immobile le nez collé à la fenêtre regardant cette forêt de toits et leur cheminées fumantes, quand je fus interrompu dans ma méditation par ma mère qui entra à cet instant dans ma chambre ayant sans doute entendu que je m'étais levé:
" ....tu veux un café? "