Reprise du message précédent :

Comment fait-on pour consulterpour ça?  On dit direct "j'ai un comportement de tda" ?  j'ai peur de me faire envoyer bouler...

Oui mais en sacrifiant tout mon temps libre / week end et mes vacances (je ne les utilise pas, je les garde pour poser des congés quand je m'en sort plus dans le rangement / les taches perso ou que je suis en retard sur le boulot car j'ai pas réussi à bosser un jour).
 
Ça me désespère un peu de pas avoir de vie sauf "taff" et "survivre" à 35 ans et tomber d'épuisement dans le lit tous les soirs.

 
D'accord, bon à savoir.  
 

 
Oulalala, mon boulot (la mission hancicap) m'a envoyée voir un psychologue privé qui m'a renvoyé vers un autre qui m'a renvoyé vers un psychiatre qui m'a renvoyé vers une autre psychiatre qui m'a fait faire 6 mois de séances tout les mois avec elle + qques centaines d'euros de tests chez une neuropsychologue pour en arriver là.  
 
En tout, plus de 18 mois (quasi 2 ans en fait) et pas loin de 2000 euros juste pour ça.  
 
Je ne sais pas comment les gens qui gagnent pas beaucoup ont la moindre chance de s'en sortir.

55 ici. Oui c'est un bon mot "survie", l'impression de se débattre juste pour ne pas couler en dépensant une énergie disproportionnée aux résultats

   
Vu que j'ai tout raté.
J'imagine même pas comment on peut avoir un parcours vers un taf rémunérateur avec ces désordres (bon je dois pas avoir que celui là )

Un coup de chance extraordinaire.    
 
Je n'arrivais à rien, je galerais à trouver du boulot.  
 
J'ai commencé à 27K dans une boite à 30 ans sur un job support.  
 
Puis il y a UN truc que j'ai trouvé amusant, gérer la logistique des entrepots.
 
Tout le monde dans la (grosse) boite déteste ça, mais j'ai trouvé ça super fun et simple. Vu que j'y arrivais bien, ils ont accepté de me laisser faire ça en 100% TT et heures flexibles.  
 
Mon CDD est arrivé à terme et personne ne s'en est rendu compte avant qu'il soit trop tard côté RH // chef, ils étaient dans l'illégalité complète. Un collègue m'a dit que vu comment ils étaient dans la merde et vu le taff que je faisais, je pouvais demander 60K brut sans soucis et que ça serait juste.
 
Comme je ne comprends rien à la paperasse, Impots / au brut ou net, je me suis plantée et j'ai demandé 60K net par erreur et ils ont accepté.

Ha il me semble que jt'avais déjà lu le raconter !  

Honnetement, je remercierai jamais assez ce collègue, il me fait un coatching tout les ans pour me dire quoi dire pour avoir une augmentation encore aujourd'hui.  
 
"Tu veux faire passer ce message donc tu dis ça et ça en passant par la blablabla. Tu appuies bien sur ce résultat...".  
 
Limite il écrit mes textes (bon, après, il gère la mission handicap de la boite mais il fait plus que son taff).
 
On a parfatiement notre place dans le monde du travail et il y a plein de métiers adaptés, faut juste que la boite soit prête à fonctionner dans notre sens et pas forcer le cerveau à fonctionner comme il veut pas.  
 
J'ai eu de la chance mais c'est rarement le cas à ce que je vois.

 
Je suis prof, et j'ai eu aussi une collègue qui m'a aidée. Elle m'a presque "obligée" à faire un dossier MDPH, moi je disais que c'était que pour les élèves et que moi ça ne passerait jamais. Elle m'a bétonné le truc (trop) . J'ai eu la réponse 1 an et demi après, je n'y croyais plus. C'était en aout. Mais du coup j'ai eu 3 notif, des refus pour une compensation financière parce que je suis à +50% handicap, mais -80% , mais la partie "aménagement du poste de travail" oui. Mais je ne l'ai pas vu de suite cette dernière vu que le premier papier disait REFUS, j'étais dégoutée mais pas surprise puisque je me disais "bah voilà c'est QUE pour les gamins quoi. Et puis en rangeant en octobre (    ) j'ai trié les papier et j'ai... vu... l'accord pour l'aménagement... trop tard pour faire valoir mes droits cette année, donc    
Comme il n'y a aucune indication, la principale m'a dit qu'elle en tiendrai compte pour l'emploi du temps de l'année prochaine et m'a demandé ce qu'elle devait prioriser: je dis "il me faut UNE salle (pas changer de salle toutes les heures, parce que, bien sûr je suis desorganisée, j'en fout partout et j'oublie ma clé USB, mes cahiers, trousse....et puis comme t'es dans la salle d'autres collègues qui se sont eux même approprié l'environnement il faut que tu cales tes rucs à toi au milieu de leurs affaires    ). Et aussi il me faut 2h de cours max d'affilée puis 1h de pause, puis cours (1H ou 2 d'affilée puis 1h de pause, etc ) sinon je pète un câble vu que je suis aussi misophone. Tout ce bruit et ces gamins qui ont toujours un truc (des colégiens pourtant, des 3e avec des "madaaaaaaaaaaame il m'a piqué ma trouuuuuusse!" ou des conneries du genre. Tout.le.temps. ) Si je ne repose pas mon cerveau... ça bug et je peux très vite exploser et dire des choses qu'il ne faut pas dire ou fire des geste qu'il ne faut pas non plus  

Je suis plié ! xD
Excellentissime !  
 
@phili, t'as creusé le TSA ?

   
Non. Parce que je pense que ce n'est pas important. Bon, il est quasi évident qu'un diag m'y placerait au moins à la marge...
On est (était mon grand frère est décédé) 4 dans la fratrie et aucun de normal.
Une de mes soeurs a ses deux enfants officiellement aspi (mais le père est bizarre aussi )
 
Alors une sorte de TSA par l'environnement familial pourquoi pas; mais je pense que ça sert à pas grand chose de le savoir.  
Ce serait plus intéressant de trouver des actions en fonction des fonctionnements de chacun. Ça me semble pas mon éventuel TSA qui m'a principalement fait partir à la dérive à l'accès à l'enseignement supérieur.
 
Et aujourd'hui, le principal de ma souffrance me semble être un comportement de tdah.  
(Et dans l'enfance, j'avais plein de compensations de récompense pour que ça ne s'exprime pas plus que par une écriture illisible et des indices similaires qui me faisait simplement être classé "pense plus vite que la moyenne".)

Je m'incruste.

C'est rigolo comme on a à peu près tous le même vécu. Vous avez essayé de creuser avec vos parents ? Apparemment, ça fait partie du diagnostic de chercher du côté de son père et/ou de sa mère, on en a discuté avec mon psychiatre. Personnellement, mon père est clairement TDAH, il a lutté toute sa vie contre ce phénomène sans pouvoir le nommer et son parcours, chaotique, instable, témoigne vraiment d'une « TDAH way of life » (pardon pour l'anglais).

Je suis suivi par un psychiatre hospitalier, je ne paye rien et j'ai des rdv tous les 2 mois environ, personnellement je ne m'en sors pas trop mal pour mon âge, j'ai des mécanismes d'adaptation plutôt forts (surtout depuis que j'ai conscience de ma neurodivergence ) mais c'est vrai que je ne suis que rarement productif sans psychostimulant (caféine incluse) ou sport, du moins pas assez longtemps. C'est dommage qu'on ait pas accès à un traitement à base de lisdexamfétamine (typiquement Elvanse), c'est apparemment le plus efficace même si la molécule est plus lourde que la ritaline d'un point de vue sanitaire et demande une hygiène de vie carrée (logique, c'est un analogue d'amphétamines qui se libère plus lentement mais sans effet de descente contrairement à la ritaline).

C'est difficile d'organiser sa vie en cherchant à tout prix à rééquilibrer son taux de dopamine et neurodrénaline, à subir les addictions à n'importe quoi pour avoir des micro récompenses (personnellement surtout le téléphone, heureusement que mon temps est dépensé sur la lecture d'articles liés à mon cursus universitaire). Le sous diagnostic chez l'adulte ici et le surdiagnostic chez l'enfant aux US a pas mal fait de tort, avec un impact sur la prise de conscience par le public de ce que représente réellement ce déséquilibre du système nerveux central : c'est un handicap qui gâche des vies et qui favorise souvent des comportements autodestructeurs (les personnes non traitées sont souvent aussi celles qui tombent le plus facilement dans les addictions aux drogues et médicaments en tout genre). Ce n'est pas une mode tiktok, ni forcément un complot des industries pharmaceutiques pour vendre de la ritaline (même si ils ont effectivement joué sur le surdiagnostic aux US et en ont tiré bénéfice par des accords avec les médecins).

Personnellement, j'évite de prendre de la ritaline tous les jours, je n'aime vraaaiment pas l'effet lors de la descente. J'essaie de jouer sur mes mécanismes d'adaptation (souvent par la contrainte et le sentiment de rationalité lorsque je me sens bloqué), sur mon café avec une gélule L-Théanine, sur mon rameur du matin pour profiter de mes pics de dopamine lorsqu'il faut travailler. Mais les travaux les plus lourds (une rédaction et une lecture sur plusieurs heures par exemple avec un rendu immédiat) nécessite que je prenne de la ritaline. Modérer la consommation, prendre des poses de 15 jours... permettent également d'éviter la résistance progressive aux médicaments et à la caféine.

Bref, c'est barbant mais on fait avec. Au moins j'arrive parfois à me (sur)concentrer sur certaines choses, parfois secondaires, qui me donnent finalement un avantage. Comme le camarade qui parlait de la gestion du dépôt plus haut et de son salaire, ça a parfois du bon. Perso je me passionne pour la gestion administrative de mon foyer, allez savoir pourquoi, j'aime bien

Pavé césar, désolé. C'est trop long à lire avec un TDAH

 
     
 
Whaou. Chez moi l'administration est une catastrophe.

Bonjour à tous,

J'ai parcouru ce topic très instructif car mon fils de 9 ans est diagnostiqué TDAH depuis 3 ans environ. Et 1,5/2 ans qu'il est sous methylphenidate.

Depuis quelques mois, sa mère se plaint de son comportement car il serait ingérable en fin de journée. La dose de methylphenidate étant déja à son max pour son poids, le psy propose d'ajouter un antipsychotique. Pour l'instant j'ai posé mon véto ce qui donne lieu à un conflit entre moi et sa mère.

Est-ce que l'un d'entre vous a déja entendu parler de l'association de ces 2 médicaments ? Car de mon coté je suis perdu entre le fait de ne pas trop vouloir "médicamenter" mon fils et de l'autre essayer de faire qu'il se comporte au mieux.

Si le médecin le propose, c'est qu'il estime que le bénéfice risque est favorable...

Il est ingérable en fin de journée parce que le métylphénidate ne fait plus effet, ou à cause de l'effet de descente ?  
 
Pourquoi sa mère s'en plaint et pas toi ?  
 
Ici il me semble qu'on ne propose pas un traitement prévu pour le TDAH mais un neuroleptique qui a pour but de le calmer... Ca se fait parfois.  
Un psychiatre l'avait évoqué pour mon fils pour les mêmes raisons, en exposant bien le pour et le contre. On avait décidé de s'en passer. En particulier à cause du risque de dyskinésies tardives (mouvement incontrôlables qui apparaissent quelques années plus tard, à vie, incurable).

 
Et avoir au moins un autre avis avec un  médecin qui explique bien le pour / le contre et les autres sollutions ? Ou carrément un autre corps de métier, genre psy, éducateur... qui aurait peut-être d'autres méthodes ?
 
+1 avec les questions de QNTAL
 
Est ce que vous êtes séparés avec sa mère ?
 

 
Malheureusement, ce n'est pas réellement au médecin de savoir quels sont les risques que tu es prêt à prendre ou non. Lui est supposé de proposer les options valables et faire en sorte que tu aies les moyens de prendre une décision éclairée. (ça s'appelle le consentement libre, autonome et éclairé du patient, et c'est la base). Ce n'est pas non plus lui qui va vivre avec après.  
Dans le cas d'un enfant, il a des parents pour ça.

Le médecin t'expose factuellement les choses, la décision te revient évidemment en fonction de ce que tu as reçu comme infos.

Merci pour vos retours.
 
Effectivement nous sommes séparés et je n'ai les enfants qu'un WE sur 2.  
 
Je m'interroge surtout sur la pertinence de ce second medoc, me demandant si ce n'est pas plus par "confort" que par nécessité.  
 
Autre question : les généralistes peuvent maintenant renouveler l'ordonnance, mais peuvent-ils augmenter le dosage ?

Oui.  
Mais s'il est agité uniquement en fin de journée c'est que le dosage est bon, non ? Ce qui pourrait s'envisager c'est plutôt de passer sur un traitement à libération prolongée si ce n'est pas déjà fait, ou étaler différemment les prises.  
Je me souviens qu'on avait pour mon fils plusieurs prises qui permettaient de couvrir la journée d'école et d'avoir une redescente en deux temps.  
 
Ca ne me semble pas déconnant qu'un enfant avec TDAH soit épuisé et donc pénible après toute une journée à se concentrer.
A vous de voir si un nouveau traitement serait utile pour lui, pour vous, et à quel point.  
 
Tu n'as pas répondu, c'est une crise ponctuelle (fin du traitement) ou toute la soirée (retour de son état normal de TDAH) ? Tu ne le remarques pas, ou moins, parce que c'est surtout en semaine (épuisement) ou c'est pareil tous les jours ?

de mon coté, quand je le récupère le vendredi soir c'est gérable. Jusque là il était sous medikinet (libération modifiée) et on va tester quasym. Actuellement il ne prend qu'un comprimé de 30mg le matin.

Par contre, quand tu dis que ton fils avait 2 prises dans la journée, il avait quel age et prenait quelle dose ? Car je me dis que ca peut etre intéressant plutot que de donner un antipsychotique.

Le problème avec mon ex est que nous avons toujours été en conflit depuis la séparation et qu'aujourd'hui ca remet encore de l'huile sur le feu, elle voulant absolument ajouté ce médoc et moi freinant car je m'interroge sur la pertinence de l'administration d'une nouvelle substance psycho active

Je ne sais plus exactement, il a été sous méthylphénidate de ses 7 ans à un peu plus de 9, je crois. 20mg, son poids ne permettait pas plus.  
Son psychiatre avait à un moment tenté un libération prolongé suivi d'un cachet de ritaline simple moins dosé, simplement pour faire une transition.  
 
 
Tiens, j'ai trouvé ça qui parle de l'effet rebond et dit la même chose :  
https://tdah2016.wordpress.com/2016 [...] -remedier/
"Si cet effet rebond se manifeste de façon répétée et génante, parlez-en avec le médecin de votre enfant. Il peut prescrire un «booster» pour les éliminer. Un «booster» est habituellement une petite dose d’une version à libération immédiate que l’enfant prendra peu de temps avant que la prise régulière cesse son effet, soit juste avant l’heure à laquelle le rebond frappe généralement. L’addition d’une faible quantité de médicament rend généralement l’effet-off plus progressif et empêche la réaction de rebond de se produire."

Perso j'ai eu Tegretol de 6 à 14 ans. Une fois arrêté la scolarité en a pris un coup.

Merci QNTAL pour ton retour d'expérience et pour ton lien (Et merci à tout ceux qui me répondent d'ailleurs ! ) c'est très intéressant cette méthode avec un autre médicament le soir.

 
Alors... peut-etre es tu plus souple, pas la meme facon de vivre ou gérer  la chose, ou il y a une accumulation de fatigue de la part de ton ex lié à la gestion d'un quotidien plus lourd ?  
Je suppose que  c'est compliqué, mais pourquoi pas une garde alternée/ des babysitters pour soulager ton ex ?

 Voilà que maintenant un de mes moyens pour parvenir à me mettre à débuterce que j'ai "à faire" c'est de boire...

mais halp punaize
Comment on peut s'en sortir quand le soucis est un dysfonctionnement de l’exécution, vu que pour aller vers le soin c'est déjà exécuter une démarche inconnue et réputée compliquée et au résultat aléatoire

Je veux pas redevenir salarié; c'était une autre soiuffrance; encore moins supportable s'il m'en souvienne (et puis pour faire quoi...)

Faut grinder le mental "Never Give Up" jusqu’à la mort.

Bonjour je découvre le topic TDAH tout juste on me m'en a parlé sur le topic enfants avec des troubles ou j'avais posté du coup je reposte mon message ici.

Bonjour

Chez nous  le fils de 6ans diagnostiqué TDAH sévère, TOP, dysregulation des émotions il y a un petit peu moins d'un an.

Sous traitement, il a eu tout le suivi psy, psychomotricité, ergothérapeute etc..

Le matin il va à l'école ordinaire et les après midi en ITEP/DITEP.

De grosses améliorations grâce au traitement,une fois qu'on a trouvé le bon et le bon dosage.(Medikinet 20mg)
cependant une fois que l'effet s'estompe l'effet rebond est assez compliqué à gérer.

Traitement à base de melatonine pour le soir,slenyto 5mg qui fonctionne aléatoirement cette nuit quasi nuit blanche..dosage probablement à revoir.

Petit up après qques mois de traitement / ajustement.  
 
On est encore en train de chercher les bons dosages avec la psy mais ça s'améliore.  
 
 
On s'oriente après pas mal de mois :  
 
Jour de TT : 10 Mg longue durée + 10 le midi en complétement si besoin.
 
Jour de présentiel : 20 le matin + 10 en complétement si besoin.  
 
 Samedi : 20 le matin + 10 ou 20 le midi si besoin.
 
Le samedi est mon "jour de ménage". Le gros souci jusqu'ici est que je passais TOUT mes week end samedi et dimanche à ranger / m'organiser.  
 
Avec 40 ce samedi j'avais fini samedi à 15h et j'ai pu passer le reste du week end à me reposer pour la première fois depuis que je travaille. C'était bizarre. Il est possible d'avoir des activités sur son temps libre dans la vie .
 
Je n'aurai pas cru ça possible il y a encore 1 an, on approche d'une solution.

 
Putain mais je veux ça aussi  

La chance vu les dosages. 20mg ça me fait que dalle perso.

 
Je suis dans une phase de prise en main sur plusieurs aspect de ma personne, addiction, (fort) probable TDAH, entre autres choses.
J'ai contacté un centre dans ma ville où il y a une démarche diagnostique psychiatrique collégiale où les psy s'occupent de ce genre de choses, un copain y va. Il faut remplir un formulaire très simple avec sa.on médecin traitant.e, et le centre recontacte ensuite.
A coté de ça j'ai contacté un CSAPA (Centre de Soins, d'Accompagnement et de Prévention en addictologie), avec des psychiatres aussi.
Finalement le premier centre m'a redirigé vers le CSAPA pour avoir une PEC pluri-disciplinaire. J'ai confirmé avec le secrétariat du CSAPA, les psy peuvent aussi s'occuper des diags TDA/H.  
 
Premier rdv le 23/05 pour parler de tout, j'ai hâte