Ah, si : tout support de stockage de données contient au moins une partition, sans quoi l'espace est dit "non alloué" et est donc inutilisable.
De nos jours, l'intérêt de partitionner est essentiellement, outre la possibilité d'installer plusieurs OS sur un même disque dur, de séparer programmes et fichiers personnels. Avantage majeur : si l'OS meurt, ne peut/veut plus démarrer et nécessite d'être réinstallé, au moins, les fichiers personnels ne risqueront pas d'être effacés par mégarde pour peu qu'on ne touche pas à la partition où ils se trouvent. Ça n'a aucun impact sur les performances qui ne dépendent, elles, que de la vitesse de rotation des plateaux et des temps d'accès. Inconvénient : il faut prévoir assez de place pour chaque partition dès le départ, car changer ensuite les tailles des partitions reste une opération aussi délicate que risquée pour les données présentes dedans.
Évidemment, ça ne protège en rien des pannes matérielles des disques durs, donc il ne faut surtout pas se croire dispensé de sauvegarder ses données sur plusieurs volumes externes et stockés à des endroits (idéalement : adresses postales) différents.