Haa un taupin !
En tant que prof de CPGE et intéressé par le sujet je ne peux te laissé ainsi.
Je suis loin d'un expert en Watercooling, mais je peux quand même te répondre sur certains points.
* Installation sur CPU : en effet pour la montabilité du système, seul le socket est important. Ensuite pour "l'efficacité" il semble qu'il soit judicieux d'utiliser aussi des "plaques arrière" qui se mettent sous la carte mère. On obtient alors un sandwitch avec : plaque arrière - carte mère - cpu - waterblock.
avis perso : la rigidité de plaque arrière doit permettre de mieux plaquer le waterblock sur l'ensemble de la surface du CPU. A vérifier...
Faire varier l'activité du proc : outre les logiciel de bench marking connus et couteux, je pense qu'il y a une carte à jouer avec les projets de calculs collaboratifs genre folding@home etc. En général tu peux définir un pourcentage de ressources à allouer au calcul donc en mettant 0% tu aura le comportement en idle de ton pc, et 100%, à l'inverse, tu mets à genou ton pc par les calculs. C'est grossier mais c'est l'idée.
les ventillos :
physiquement, tu peux faire qqch de progressif. Certains ventillos sont fournis avec des potars pour moduler la vitesse. Les réobus sont justement là exprès pour intercaler des potars juste avant les ventillos pour les piloter etc. Mais ça reste manuel.
Dans l'automatisation du fonctionnement, là par contre, c'est souvent par palier. Si le capteur renvoie T> seuil alors hop saut de vitesse. reste que selon les systèmes tu peux définir plusieurs paliers. Dans les bios de Carte mère, c'est 1 ou 2 paliers en général. Certains progs qui tournent en tache de fond vont prendre la main et vont autoriser plus de paliers.
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