Le feuilleton entre Toshiba et Western Digital n'est pas prêt de prendre fin. Toshiba vient en effet de porter plainte au japon contre WD pour concurrence ...
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Pas étonnant venant de WD...

Coquille :
"n'est pas près de" (proche de) et non "n'est pas prêt de" (disposé où il faut écrire "prêt à" )

 
Encore un feuilletons qui va durer longtemps à mon avis.

Mais que devient la joint-venture avec WD en fait dans le scénario actuel? Evaporée? Car dans ce cas on peut comprendre WD, le programme qui s'annonce semble compétitif.
 
http://www.anandtech.com/show/1158 [...] layer-nand

WD ne fait pas de flash, donc quid des annonces faites spécifiquement par WD concernant une joint-venture qu'ils n'ont fait que financer?
 
Qui nous dit que cette QLC à 96 couches est viable et que WD n'a pas forcé Toshiba à investir massivement dans une impasse (Cf. SSD WORM) dans l'espoir de se maintenir malgré le déclin inéluctable des HDD? Si ça se révélait exact, ça foutrait effectivement Toshiba dans une bien fâcheuse posture...

C'est quoi le nombre de réécritures effectif sur de la QLC ? 500, 300?
Ces machins, ajouté à leur lenteur pourront à peine servir de stockage SD temporaire à la manière des DVD-RW, donc prix en conséquence.
C'est vraiment pas sérieux d'en faire des SSD. J'en voudrais même pas pour une carte microSD dans mon smartphone.
La techno minimale pour les SSD c'est le MLC.
Qu'en est-il d'ailleurs de la durée de rétention des SSD SLC ?
Parce que si en plus de tenir nettement plus de cycles (on parle de 100000 au lieu de 3000 pour les meilleures des dernières MLC 16nm 3D), ils gardent les données autant de fois plus, il serait impératif que ce genre de SSD revienne sur le marché. Coût double des puces par rapport à la MLC, triple par rapport au TLC, mais ça vaudrait le coup.

La MLC/TLC 3D tient mieux les données et les cycles que la planaire.
 
Le problème de la SLC, c'est sa densité et faut voir si la 3D permettrait de résoudre ce problème, les interconnexions à capacité égale étant 8x plus importantes que la TLC. L'intérêt de la QLC serait de revenir à une puissance de 2 mais gérer 16 niveaux me semble carrément irréaliste, à la première éruption solaire nocturne tout va déconner

La joint-venture c'est Sandisk/Toshiba, et Sandisk c'est WD. Donc certes ça a l'air d'être Toshiba qui construit et exploite et Sandisk qui partage le financement, mais ça ne résoud pas le problème de propriété.
 

On sait que Micron planche également sur la QLC, et qu'ils vont passer à 96 couches. Hynix fera du 96 et 128 mais sans QLC dans un premier temps. La QLC ne semble donc pas être une impasse, pas dans le monde des serveurs en tout cas.