Reprise du message précédent :

J'ai pas encore lu la suite, mais qu'est-ce que tu y as à gagner, vu que c'est le minimum
Tes 3 mois de salaire, tu les aurais si tu démissionnes, pareil pour tout le reste... Je vais lire la suite des posts, mais j'espère que tu n'as pas accepté ça, ou alors tu t'es bien entuber

Démission signée, je n'ai pas eu la RC.
 
Si j’enchaîne avec une mission d'intérim, je peux prétendre aux chômage à la fin de celle-ci ?

Retravaille  trois mois derrière ta démission.

Salut,
 
Suite à une démission en Juin, je me suis étonné de ne pas touché un prorata de ma prime vacances.
Les RH m'ont rappelé en me disant qu'il faut être dans l'entreprise au 1er Juillet pour la toucher.
La convention Syntec ne précise rien à ce sujet.
 
Ca sent l'embrouille ?

Règle interne à l'entreprise

 
Ok merci

Bonjour,
 
Je viens me renseigner pour une question sur le code du travail.
Je viens de partir en déplacement professionnel je suis non cadre.
Le temps de vol m'est compté en recup et non en heure sup. Je souhaiterais toutefois savoir qu'est ce qu'on entend par temps de vol ?
Le moment ou l'avion démarre et celui ou on arrive ou bien le moment ou on arrive a l'aeroport et celui ou on en sort ?
 
C'est pour un déplacement a l'étranger donc disons que ca rajoute quelque heure ou en enlève selon comment s'est compté.
 
Je précise que c'est un vol hors temps de travail.
 
Merci

Si c'est en récupération, dans ce cas le temps de transport n'est pas compté comme du temps de travail, ce qui veut dire que tu n'es pas obligé de travailler dans l'avion, tu peux donc pioncer ou faire ce que tu veux.

Code de l'Aviation Civile, Article D422-1

Si c'est un déplacement occasionnel, vouloir pinailler sur le temps passé à l'aéroport c'est un peu inutile. Tu peux toujours demander à "arrondir" le temps de récupération (genre vol de 5h -> 1 journée de récup).
Si ca devient régulier, là mieux vaut négocier un temps de récupération.

Regarde dans ta convention collective ou accords d'entreprises, c'est peut-être évoqué.

Je ne travaille pas dans l'avion non.
 
C'est occasionnel en effet. Le fait de pinailler est surtout parce que les arrangement sont pas fréquent dans l'entreprise. Donc je considére que ce qui est du est du.
Mais pour ca, c'est mieux de savoir de quoi il en retourne.
 
Dans le cas présent, je me fais donc enfler xD
 
je suis sensé arreté de travailler a 17h. Je suis rentré à l'hotel a 21H mais temps de vol 1h40.
Pour le retour j'arrive à l'aeroport à 6H alors que je commence a travailler a 8H.
Donc oui, c'est pour en gros 4H que je me fais sucré si j'ai bien compris.
 
 
 
Merci pour l'information !
 

Et le trajet pour aller à l'aéroport ? Et le temps d'attente à l'aéroport ?
C'est à compter aussi
 
C'est pas du pinaillage si ça fait 3h en tout

Je dois donc comprendre que ils me doivent les 4h en plus?

Je ne sais plus si le code du travail précise la récupération du temps de trajet, mais s'il le fait ce n'est pas compté comme du temps de travail effectif au niveau de l'indemnisation mais comme du temps de récupération.  
 
C'est-à-dire que même en allant aux prud'homme tu ne récupérera pas d'argent sur le temps de trajet non récupéré, le seul moyen de compensation ce sont des heures de récupération.
 
Code du travail :
 

 
A toi de voir dans les accords d'entreprise et convention collective ce qu'il en retourne.
 
Le mieux reste de négocier 1/2 journée de récup' à l'amiable avec ton chef et les RH, s'ils veulent pas, tu peux commencer à être tatillon.
 
Dans ma boite un accord autorisait (et autorise toujours d'ailleurs) 50% de récupération sur le temps de trajet supérieur au temps de trajet à l'agence, accord jamais appliqué, c'est remonté jusqu'à l'inspection du travail via un DP, au final ca s'est terminé par un formulaire à remplir et à faire signer par un responsable, mais après discussion avec les RH, on reste toujours comme avant et aucune rétroaction, donc les 150 heures potentielles depuis 3 ans je peux me les mettre sur l'oreille. Et aller au prud'homme ne servirait qu'à obliger l'employeur à me donner 150 heures de récupération sans aucune monétisation possible, inutile.
 
Bref si tu veux te lancer tout de suite dans une bataille à priori inutile (de mon point de vue) sans passer par la case règlement l'amiable, libre à toi.
 
 
Si c'est vraiment ponctuel (juste une fois là, ou alors 2-3 fois par an) et pas régulier (1 voyage par mois par exemple), franchement je demanderai juste une 1/2 journée de récup au chef, et basta.  
Enfin plus tu attends et moins la 1/2 journée de récup' a de justification    
 
Si on te refuse ta 1/2 journée tu laisse couler et pour le prochain voyage tu demande avant une 1/2 ou 1 journée de récupération (en justifiant avec ton temps de transport et tou) avec trace écrite de la demande sinon tu refuses le déplacement (si tu veux vraiment poser ta paire sur la table)

Ma paire sera posée de toute manière car l air devient trop désagréable pour moi
 
Merci pour toutes ces précisions

 
 
3ème démission en 7 ans pour ma part : une par fin d'apprentissage au bout de 3 ans, une pour suivre ma compagne au bout de 2 ans et une encore au bout de 2 ans car on se fait toujours avoir sur son premier job au Lux

Fin d'apprentissage, c'est pas vraiment une démission

J'ai posé ma dem. J'ai ensuite posé 3 jours de CP. Ceux ci décalent-ils la date de fin du préavis ?

En principe oui.
Demande confirmation par écrit à ta DRH.

C'est déjà mon manager qui me dit ça, je voulais vérifier.  
En fait je trouve les 2 réponses sur l'internet
ex : http://droit-finances.commentcamar [...] es#preavis

Hello les gens,  
 
Je viens de démissionner début du mois, j'ai reçu un mail d'AR m'indiquant que mon prévis débutait bien à date de réception de ma démission (début du mois logique), cependant, je souhaitais raccourcir le préavis de 2 semaines et depuis pas de réponse.
 
Au bout de combien de temps maximum reçoit-on la lettre AR de l'entreprise qui nous indique si la demande de raccourcir le préavis a été accepté ou non + les démarches administratives à effectuer ? (il y a t-il un maximum légal ?)
 
Merci de votre aide !

T'as essayé de les appeler ?  

À ma connaissance ils n'ont pas d'obligation de réponse, donc il est vraisemblable que ta demande soit rejetée.
De manière générale, il vaut mieux engager oralement la discussion avant/pendant la démission. Lorsque c'est fait à distance ou après, les chances de succès sont minces.

Oui elles attendent le retour de mon management de projet qui joue la montre sur la réponse...

 
Je sais que c'est un mauvais conseil mais de ton côté, tu peux aussi faire tout ton possible pour te ralentir    
 
Si t'as les balls, tu fais un point avec les personnes concernées et t'explique clairement que c'est dans l’intérêt de tous de réduire le préavis.
 
Perso, j'étais un peu plus trash en leur disant clairement que j'allais plus rien faire si jamais ma réduction de préavis était pas accepté (rien à taper, j'avais déjà trouvé et ils étaient prêt à attendre)

À toi d'engager les discussions qui vont bien pour trouver un terrain d'entente.
En l'état, ils sont les seuls à subir la contrainte de ton départ. Si tu mets quelque chose sur la table qui les arrangera, alors peut-être accepteront-ils de te libérer plus tôt.

Une fois le chef averti, tu peux aussi en avertir tout le monde autour, en disant que tu cherches à organiser le passage dans les meilleures conditions et au plus vite.
 
Ma chef a refusé qu'un collègue dise au client qu'il avait démissionné. Plutôt que de filer du préavis pour s'organiser, elle a préféré mentir "il est en arrêt maladie à partir d'aujourd'hui".
 
Et pourquoi ? Car le mec avait dem avant qu'elle le place chez le client

J'ai juste besoin d'une confirmation concernant la durée du préavis à effectuer lors d'une démission.
Je dépends de la convention syntec, en CDI depuis 5 ans, statut ETAM. Elle indique ceci :
 

Est-ce que mon employeur peut demander une durée supérieure à 2 mois, sachant que je ne souhaite pas faire plus ? Et si c'est le cas, qui aurait "raison" ?

Ben ta convention ^^

Bonjour,
 
Il y a marqué sauf accord...
 
Si t'es pas d'accord, c'est pas un accord.
donc 1mois

Faut lire toute les lignes

Ce qui m'intéresse, c'est surtout de savoir si la partie "sauf accord entre les parties prévoyant une durée supérieure" s'applique bien à la ligne suivante (qui parle d'une durée "minimum" ).
En toute logique, ça devrait être ok, mais si j'ai plus de 2 mois à faire, ça peut conditionner l'obtention de la signature du nouveau contrat, donc je préfère ne pas me planter.

J ai bien lu !
Seul soucis, j ai lu superieur et non pas inferieur.
Donc 2 mois preavis minimum du cou plus si tu veux plus et qu ils sont d accord

 
C'est deux mois, sauf si:
- c'est prévu autrement dans ton contrat (vérifie à ce niveau-là)
- tu te mets d'accord pour faire plus (peu de chance visiblement)

J'ai vérifié mon contrat, et je n'avais rien d'indiqué à ce niveau.
 
Merci

Hello à tous !
 
Une petite question concernant la clause de non-concurence. J'ai démissionné fin-Juin de ma SSII, en demandant dans ma lettre de démission le devenir de la clause de non-conccurence qui figure dans mon contrat. Ma lettre d'acceptation de démission ayant pris du retard, je n'ai encore rien eu à ce sujet. Ma question est donc la suivante : une indemnité de cette clause de non-conccurence est-elle dûe pour APRES le préavis seulement, ou également PENDANT le préavis (donc les 3mois) ? En clair, est-ce que mon employeur doit me verser une indemnité pour cette période de préavis au titre de la clauise de non-conccurence ?

La CNC, lorsque elle appliquée par ton employeur (généralement tu reçois un courrier qui te dit si il te dispense de la CNC ou non), se déclenche à la fin de ton contrat, il n'y a aucune raison que tu touches quoi que soit pendant le préavis. A quoi ça lui servirait sachant que tu es toujours dans l'entreprise pendant le préavis ?

Pourquoi il te la verserait  alors que t'es encore chez lui

L'employeur a la possibilité d'y renoncer unilatéralement ?

Non. L'employeur peut renoncer à la clause de non-concurrence dans trois cas :
- c'est prévu dans le contrat
- c'est prévu dans la convention collective
- avec l'accord de l'employé
 
Donc si les modalités de renonciations ne sont spécifiées nulle part, l'indemnité est dûe sur toute la durée de l'application de la clause.
J'ignore en revanche si l'entreprise peut prendre la situation à contre-pied et arguer que les termes de la clause sont insuffisants pour la rendre valide et du coup se faire dispenser du versement de l'indemnité. J'aurais tendance à dire que non mais ça reste à démontrer.
 

Tout ce qui prend la forme d'une question doit être réglé dans la lettre de démission et signé par les deux acteurs. Tu te rends bien compte que tu t'es mis dans une position d'attente intenable de laquelle ton employeur n'a aucun intérêt à te tirer.
 
Donc pour ta prochaine démission, tu prends un papier blanc et un stylo (ou tu imprimes plusieurs versions de l'accord, ou tu laisses des blancs, bref), et tu rédiges ta lettre en direct après que vous vous soyez mis d'accord sur les termes de la démission. Si ce n'est pas possible d'avoir ces réponses immédiatement et de démissionner à la bonne date, alors il faut que tu te débrouilles pour avoir un accord de principe avant.

Je suis d'accord avec toi sur le principe. Dans ma situation, la seule chose qui m'intéresse avec cette CNC est l'indemnité (car j'ai déjà trouvé un autre boulot dans une autre région donc cette clause ne me retreint en aucune façon).  
La question c'est surtout de voir si j'ai moyen de récupérer du pognon grâce à cette CNC que l'employeur aurait "oublié" (ou non) de clore.
Dans ma lettre de démission, j'ai indiqué une mention où l'employeur devait me spécifier le devenir de la CNC.
De mémoire, dans mon contrat de travail, le mention de renonciation de la CNC doit être à l'initiative de l'employeur unilatéralement, ou d'un commun accord. Sans mention de renonciation, une indemnité s'applique.

Ben pourquoi tu lui rappelle d'y renoncer alors ?
 
La clause est bien valable dans ton contrat avec le montant de l'indemnité et tout ?