C'est la décomplexion soutenue par Sarkozy. Y'a plus d'écho médiatique pour les conservateurs oui (par exemple la manif pour tous), et malgré ce qu'on dit, moins d'unanimisme autour de certains sujets (on acte l'idée d'une France divisée autour de la question de la mondialisation etc., toutes les thèses de Christophe Guilluy en gros), mais électoralement ça ne se traduit pas vraiment, et sur certains sujets forts (des enquêtes sur l'immigration, la perception de la population musulmane etc. qui sont des marqueurs traditionnels de "droitisation" ), on remarque depuis les attentats de CH au contraire un net recul des positions "de droite".
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"Ma vie ressemble à une longue divagation. Tout m’intéresse. Rien ne me passionne. Il me manque le sel des obsessions."