peut etre cela se verifiera t il en 2012 avec Nicolas SARKOZY au chômage suite à la naissance de son 4eme enfant

Mes chers compatriotes
 
Si je prends l’initiative de vous écrire, en ce début du mois de décembre 2011, c'est que jamais le débat présidentiel n'aura été aussi déterminant pour l'avenir de la France et des Français, dans le monde.
 
La crise multiforme, aux accents mondialisés, à laquelle nous sommes confrontés depuis trois ans, rend plus importants que jamais les choix que vous serez amenés à faire en cette année 2012.
 
Nicolas Sarkozy a de plus  souhaité créer une nouveauté constitutionnelle : un poste de député représentant les Français des Etats Unis et du Canada. C'est une mesure qui montre à quel point, nous devons désormais resserrer davantage nos liens et être soudés dans ce nouveau monde.
 
Pour ma part, je souhaite dès à présent vous exprimer combien cette idée m'a tout de suite enthousiasmé et convaincu. Comme vous qui avez su tenter l’aventure de l’expatriation, je suis un homme qui aime relever les défis. De plus, je suis né dans une famille d'expatriés. Enfant j'ai vécu plusieurs années, auprès de mon père, médecin attaché à l'hôpital de New York. C'est sans doute pour cela que je mesure peut-être plus que d'autres, la nécessité de la mise en œuvre de  cette représentation. En outre, depuis de nombreuses années, ma famille vit aux quatre coins de l'Amérique du nord. Elle me rappelle si souvent, ce sentiment particulier de l'éloignement que beaucoup peuvent parfois ressentir. Et pourtant, combien de fois ai-je pu constater votre attachement à la France et votre intérêt pour la politique française. Le rôle de la France en Europe et dans le monde doit sortir renforcé de ces années de crise. Il est vrai que, c'est le si francophile, Thomas Jefferson qui disait cette sublime phrase  que j'ai mise en exergue sur le site  "Rendez-vous en France" : "Chaque homme a deux patries : son pays et la France".
 
Vous le savez peut être déjà grâce aux informations numérisées sur le Net, ou vous l'apprendrez par cette première lettre, ma famille politique, le parti présidentiel, l'UMP m'a choisi comme candidat pour vous représenter dans la première circonscription des Français de l'étranger, celle d'Amérique du nord.
 
Dans ce monde contemporain, les situations exigent des femmes et des hommes éprouvés, qui ont exercé différents fonctions de la vie publique, connaissant tous les rouages de la politique. Parce que tout va de plus en plus vite et se révèle plus complexe. Le fait d'avoir déjà été député, d'être aujourd'hui ministre représente un atout majeur pour peser sur les enjeux, trouver les solutions, dénouer les difficultés.
 
Or, c'est justement comme Secrétaire d'État aux cotés de Christine Lagarde, dans cette tour de contrôle économique qu'est "Bercy", au Ministère de l'Economie et des Finances, que j'ai commencé mon action au Gouvernement en faveur des entreprises et des entrepreneurs, sous l'impulsion du Président de la République. Christine Lagarde, travaille  aujourd'hui avec talent au FMI. Je m'honore de notre confiance mutuelle, acquise après de nombreuses années de travail.
 
Depuis plus de 20 ans, j'ai l'honneur de travailler aux côtés de Nicolas Sarkozy. Inlassablement, nous nous battons au Gouvernement pour transformer, adapter la France et la préparer à affronter les profondes mutations du monde moderne.
 
Nicolas Sarkozy nous a invités, chacun des membres de son équipe, à travailler, comme lui, jusqu'à la dernière minute du quinquennat. De surcroit, au nom de notre profonde et fidèle amitié, je suis particulièrement déterminé à œuvrer pour que le nouveau poste de Député de la première circonscription des Français de l'Etranger qu'il a voulu, prenne toute sa dimension, toute son utilité.
 
Chers compatriotes, le temps de la campagne présidentielle et ultérieurement celui de la campagne législative vont être  les rendez vous de notre démocratie. Je crois en la force de nos Institutions. Parce qu'elles montrent dans ces crises financières, économiques, combien le politique est un rempart, combien le primat de l'humain doit l'emporter...
 
Comme le Président vient de le rappeler en s'adressant à vous à Toulon, le 1er décembre 2011 (vous trouverez ce discours avec le lien suivant : Discours de Toulon) , nous devons surmonter nos peurs, et nous nous en sortirons par plus d'efforts, plus de travail mais aussi plus d'Europe.  
Le respect de l'autre passe par la vérité.
 
Certes, la situation économique et financière est tumultueuse  mais elle crée une nouvelle exigence : le devoir de travailler avec tous avec pragmatisme en dépassant les idéologies. Notre réflexe doit être de rassembler nos énergies, d'être plus solidaires, d'être plus en contacts et en dialogues. C'est tout le sens de la démarche du Président.
 
Quelle que soit son opinion, chaque Français qui veut pouvoir s'exprimer lors de ce grand rendez-vous démocratique, qui veut que sa voix  compte, n'a plus que jusqu'au 31 décembre 2011, pour s'inscrire sur les listes électorales. Pour cela, vous pouvez vous rendre au Consulat si ce n'est déjà fait et le rappeler à vos proches, vos amis, vos collègues de travail, si comme vous ils ne veulent pas manquer ce rendez-vous où se joue notre présent, où se décide notre avenir.
 
Nous écrivons une nouvelle page de l'Histoire de la France. Nul doute que nous devons être prêts à ces rendez-vous. Beaucoup d’entre vous ont déjà exprimé toutes leurs attentes.
 
Dans l'immédiat, je souhaite simplement vous assurer de ma détermination à être à vos côtés, et très prochainement, j'aurais, naturellement, l'occasion de m'adresser à nouveau à vous.
 
Je vous remercie de votre confiance, et déjà de tous vos encouragements et contacts.  
Je vous prie de croire, Mes chers compatriotes, à l'assurance  de mon fraternel dévouement.
 
Fréderic LEFEBVRE.
Secrétaire d’Etat chargé du commerce, de l’artisanat, des PME, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation.

[...] et pour remettre les pendules à l'heure yankee, dans une newsletter (courrier Internet) du 9 décembre, il explique : "Enfant, j’ai vécu plusieurs années auprès de mon père, médecin attaché à l’hôpital de New York ". Rebelote sur France Inter mercredi : "J’ai vécu aux Etats-Unis avec mon père à New York parce que je suis fils d’expatrié, que mon père était médecin." et toujours émouvant il explique,  "Mon frère vit en Californie depuis trente ans maintenant et j’ai un cousin qui est président de la chambre de commerce franco-américaine de Miami.".  Snif, et Julien Balkany serait assez sans-coeur pour briser cette touchante reconstitution familiale ?
 
L'UMP ? C'est Dallas !
 
La politique est un monde trop impitoyable, maintenant, on va jusqu'à exhumer des bribes de son site Internet (www.frederic-lefebvre.fr) ! Pour trouver quoi ? Un innocent passage où Frédo déclare : "J’aime les Etats-Unis d’Amérique, ce pays dont j’ai eu la chance de fouler le sol quelques mois après ma naissance. J’ai vécu un an et demi bébé à New York, à Washington Square, mon père exerçant à l’hôpital universitaire de New York.". Et toute de suite, c'est la curée, alors que bon, un an et demi, ça fait presque des années et puis comment se souvenir précisément, il était  si jeune ! Tout juste si on l'accuse pas de mentir !

L'alternance, bien sûr, est l'essence de la démocratie. Mais pas en 2012. Ce serait hâtif. Nous n'avons pas fini notre travail de remise en ordre. En 2012, il m’apparaît prioritaire de s’inscrire dans une préparation  de la France aux défis du nouveau siècle, nourri de l’expérience.
[...]
On ne peut pas dire que la France est mal gérée, isolée alors même que tous les chefs d'Etats européens ont appelés de leurs vœux officiellement la réélection de Nicolas Sarkozy !
 
On ne peut ni couper la France du reste du monde, ni promettre n'importe quoi indéfiniment, c'est TRAHIR, duper les Français, c'est leur dire que l'on peut faire ce que l'on ne peut pas faire, c'est vouloir le pouvoir à tout prix et voir venir après…
 
Je n'ose imaginer notre France, à la fin de 5 ans d’un futur pouvoir socialo-gauchiste.
 
Peuple de France, mes chers compatriotes, gardez votre vote protestataire pour plus tard, ne votez pas en fonction de l'homme qui vous semble le plus sympathique ou le plus gentil.
 
Encore une fois, l'élection Présidentielle n'est pas un mariage.