T'es leur porte-parole officielle ?

 
T'es leur porte-parole officielle ?

j'aime bien aussi le "vous répondre" et le "entre couilles" bien sexiste au possible. C'est vrai, on est une entité unique masculine ici, on a des couilles donc on est forcément des gros machos, c'est génétique, hein ?

 
T'es leur porte-parole officielle ?
j'aime bien aussi le "vous répondre" et le "entre couilles" bien sexiste au possible. C'est vrai, on est une entité unique masculine ici, on a des couilles donc on est forcément des gros machos, c'est génétique, hein ?

non, c'est de l'acquis  

je suis la seule nana infiltrée, youpi.  

je suis la seule nana infiltrée, youpi.  

 
Tu n'es peut-être pas la seule, il peut y avoir certains pseudos qui se font passer pour des mecs et qui en fait ...  

 
you are one of them!!!  

 
Non, moi je ne suis qu'un chat
Je pensais à 2-3 autres pseudos  

 
je suis perdue et pleine d'angoisse.  

 
  Viens dans mes bras lesbiens...

faut demander à Mur-Mur, le spécialiste pour tirer des conclusions générales à partir de cas particuliers

(non mais, un exemple sur une boite de 500 personnes, c'est vachement représentatif du marché du travail dans son ensemble )

Une fois dans la place, yaura probablement plus besoin de quotas

 
tu as des sources ?

Bon, essayons de faire un point global :
- il est certain que les femmes gagnent moins que les hommes en moyenne globalement (de 25% environ source)
- une partie importante de cette différence provient du fait que les femmes travaillent moins que les hommes (5 fois plus de femmes en temps partiel que d'hommes, de mémoire, flemme de chercher la source). De là certains diront que c'est leur choix et ça n'est pas une discrimination ni une inégalité. C'est à mon sens plutôt "libéral-naif" comme idée : même si c'est un choix (ce qui est loin d'être toujours le cas, puisque les 3/4 des temps partiels sont "subis" ), nous sommes tous et toutes insérés dans une société qui nous oriente vers certaines choses. Le fait d'avoir beaucoup plus de femmes en temps partiel choisi que d'hommes montreraient là encore une inégalité homme-femme, prenant source bien en amont de ce choix
- une autre partie importante provient de l'orientation scolaire puis professionnelle : on trouve moins de femmes dans les branches rémunératrices. Si les raisons de ces choix sont floues et multiples, on peut arguer, de la même manière que pour le temps de travail, que ces choix sont corrélés directement avec la société dans laquelle on vit. Les préférences et choix personnels tombent rarement du ciel.
- cependant, même en comparant à temps de travail et travail identique, il reste un écart de salaire et un plafond de verre dans la progression de carrière
- il semblerait que plus que la féminité, c'est la maternité qui serait discriminée (si on compare les salaires des femmes sans enfant, il y a peu de différence avec les hommes) : cette discrimination liée à la maternité s'explique par l'éloignement qu'elle occasionne du monde du travail (partir plus tôt, s'organiser, congé mat', etc...) mais aussi par des stéréotypes (une femme avec des enfants seraient moins impliquée, etc...). Le fait est que pour faire un enfant, il faut être deux, aux dernières nouvelles. Et que donc oui, c'est bien une inégalité/du sexisme de la société en général. Il n'y a pas de raison que les hommes s'occupent moins de leurs gamins que les femmes, dans l'absolu.

Non, je ne bois jamais d'eau

Bon, essayons de faire un point global :
- il est certain que les femmes gagnent moins que les hommes en moyenne globalement (de 25% environ source)
- une partie importante de cette différence provient du fait que les femmes travaillent moins que les hommes (5 fois plus de femmes en temps partiel que d'hommes, de mémoire, flemme de chercher la source). De là certains diront que c'est leur choix et ça n'est pas une discrimination ni une inégalité. C'est à mon sens plutôt "libéral-naif" comme idée : même si c'est un choix (ce qui est loin d'être toujours le cas, puisque les 3/4 des temps partiels sont "subis" ), nous sommes tous et toutes insérés dans une société qui nous oriente vers certaines choses. Le fait d'avoir beaucoup plus de femmes en temps partiel choisi que d'hommes montreraient là encore une inégalité homme-femme, prenant source bien en amont de ce choix
- une autre partie importante provient de l'orientation scolaire puis professionnelle : on trouve moins de femmes dans les branches rémunératrices. Si les raisons de ces choix sont floues et multiples, on peut arguer, de la même manière que pour le temps de travail, que ces choix sont corrélés directement avec la société dans laquelle on vit. Les préférences et choix personnels tombent rarement du ciel.  
- cependant, même en comparant à temps de travail et travail identique, il reste un écart de salaire et un plafond de verre dans la progression de carrière
- il semblerait que plus que la féminité, c'est la maternité qui serait discriminée (si on compare les salaires des femmes sans enfant, il y a peu de différence avec les hommes) : cette discrimination liée à la maternité s'explique par l'éloignement qu'elle occasionne du monde du travail (partir plus tôt, s'organiser, congé mat', etc...) mais aussi par des stéréotypes (une femme avec des enfants seraient moins impliquée, etc...). Le fait est que pour faire un enfant, il faut être deux, aux dernières nouvelles. Et que donc oui, c'est bien une inégalité/du sexisme de la société en général. Il n'y a pas de raison que les hommes s'occupent moins de leurs gamins que les femmes, dans l'absolu.

Moi je suis payable

 
Onina, la voix de la raison    

 
Non mais vous vous rendez compte que tout le monde dit la même chose depuis le début de cette conversation vaseuse ? Pas la peine de m'acclamer, hein.

Tiens, je me pose une question con quand on parle de déterminisme ou non, d'inné/d'acquis & co.
 
Je suis un rôliste (si). Et je suis bien forcé de constater après avoir fait une cinquantaine de groupes, joué à tous les jeux possibles et imaginables, traîné dans plusieurs villes, fait du JCC, du JDR, du GN et tout ce que vous voulez, qu'une écrasante majorité de la population rôliste est masculine.
 
Il y a des filles, hein, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, mais la proportion est à vue de nez de 10% (peut-être 30% en GN).
 
Or, autant je veux bien que notre éducation "en homme" vs "en femme" peut conditionner nos goûts (ce qui expliquerait pourquoi plus d'hommes aiment le foot & co), autant je ne comprends pas en quoi cela s'appliquerait au jeu de rôles, qui se base sur des valeurs considérées comme plutôt neutres, voire féminines (communication, imagination...).
 
Alors pourquoi une telle différence dans l'intérêt porté au jeu de rôles ?