Reprise du message précédent :

 
Nous on n'avait pas le droit

Ouais, maintenant j'arrive plus à travailler plus de 10 minutes d'affilée. Obligé de toujours switcher avec chrome et la dizaine d'onglets ouverts.

quand je le fais chez moi c'est plus distrayant et reposant qu'autre chose

mais quand c'est un pc extérieur ce n'est pas pareil. Un peu comme les maisons, quand c'est son chez soi on a ses repères ses habitudes du coup on s’ennuie moins

Partique pour griller les gens qui foutent rien (et donc les gens avec qui sympathiser ).
Quand je fous rien j'ai pleins d'onglets ouverts sur mon navigateur

C'est aussi qu'en open space tu dois quand même faire semblant de bosser. Taper un mail perso ou un message hfr de temps en temps  

J'ai ce problème aussi à mon taf (alternance entre emmerdement total pendant 1 mois et 2 mois sous l'eau).
Maintenant j'ai réussi à récupérer un bureau à côté de la fenêtre et sans passage, du coup je fais même plus semblant de bosser pendant les périodes où j'ai rien à faire
Là je tiens parce que je suis en vacances dans une semaine, que la période est calme et tout, mais quand je suis arrivée dans cette boîte, c'était horrible, je me sentais tellement mal à autant rien foutre que le médecin a voulu me filer du prozac

Ah mais pareil. Ça me rassure vos messages. Je suis obligée de me faire violence sinon ça n'avance pas.
Et pourtant en début de carrière j'ai quitté une mission après 3 mois de glande insupportable.

Même problème ici. À force de zapper entre 15 trucs, je dois me faire violence pour finir une tâche avant d'aller en attaquer une autre, mon cerveau est déglingué par des années de zapping.

Si ça peut te rassurer, c'est pas toujours irréversible  
 
J'avais peur après des années à jongler entre 18750 tickets. Il m'a fallu un temps d'adaptation, d'autant plus qu'après des années d'open space je n'ai longtemps été bien qu'à réviser dans des endroits très passants et assez bruyants. Au final j'ai pu retrouver les sensations de la prépa où on rentre dans un truc, on se concentre dessus et on peut y rester des heures.

Bien chanceux, j'ai l'impression d'être incapable de me concentrer sur le moindre truc plus de 40 secondes mon cerveau doit se liquéfier!

Je me rappelle qu'on en avait parlé
Contente d'apprendre que ça se soigne, je déteste ça  

Je dois être déglingué de base ... impossible de bosser sur un seul et unique projet pendant des heures / jours / semaines ... il me faut mes 18750 tickets (et un peu de glande HFR).
Bon le problème c'est qu'actuellement, c'est plutôt mono-ticket (et d'la merde que personne ne souhaite faire) ...

J'ai été dans ce cas : de moins en moins d'activité sur mon poste car perimètre stabilisé (ma mission à la base), pas de nouveaux périmètres en approche, j'ai glandé de plus en plus sur le net sur plusieurs mois et les journées deviennent vraiment longues avec pertes de compétences à un moment.
La solution c'est de vouloir partir au plus vite, mais en fait c'est pas si évident car ça se ressent inévitablement lors des entretiens (soit c'est incohérences, des bizarreries dans l'évolution, ou des "mais entre ça et ça, vous avez fait quoi?", sans compter les inévitables "mais vous avez l'air d'être au chaud" auquel la réponse que je formulais "envie de sortir de ma zone de confort" n'avais pas l'air de convaincre)

Y faut tchalandger le défi, disait mon transition manager

Je trouve que c'est pas mal pourtant comme truc à sortir en entretien l'envie de sortir de la zone de confort. Mais la personne en face qui s'imagine qu'« être au chaud » c'est la panacée, on est mal barrés.

Sinon, rien à voir : je pourrais peut-être me trouver dans un cas de figure bizarre : signé pour un autre job, démission posé, pas encore commencer le nouveau job car je me suis permis des vacances entre, qu'une autre boîte me contact ; ça pourrait être plus intéressant que ce que j'ai signer il y a 3 mois, d'autant plus que je peut me retrouver libre incessamment sous peu car j'arrive à terme de mon préavis. Vaut-il mieux :
 
- jouer franc jeu avec la boite qui me contact en expliquant si besoin la situation pour laquel je suis dispo presque de suite (le temps de faire 1 semaine d'essai dans l'autre et rompre le contrat) s'il me propose mieux, en me mettant certainement à dos la 1ere avec qui je serais susceptible de bosser en tant que fournisseur
 
- ou ne rien dire sur la raison/esquiver/blablater sur l'envie de changer, bref ne pas dire la vérité, temporiser la date d'arriver le temps de regler la non-période d'essai.
 
Je ne sais pas quel est la position globale des recruteurs sur ce cas de figure (d'autant plus qu'il s'agit d'un chasseur de tête anglais pour un poste en France), en tout cas mieux vu qu'un profil instable qui change de boîte au bout de seulement un an (j'ai eu cette remarque au début, depuis mon cv est plus que stable - 10 ans avec 4 évolutions au sein de la même boîte)
 

Tu peux dire à la première que pour des raisons personnelles, tu ne pourras honorer le contrat et que tu souhaiterais le résilier. S'ils sont ok, tant mieux, sinon, bah tu fais ta semaine effectivement et tu romps la période d'essai.

La première boite risque de l'avoir mauvaise car un process de recrutement, ca coûte de l'argent (et du temps) mais mieux vaut jouer franc jeu assez vite (casser le contrat avant son début) plutôt que jouer la pute et se barrer 1 semaine après le début.

Bon après je vais faire un peu la deuxième chose.
J'ai claqué la porte de mon ancien taf avant d'en retrouver un autre.
J'ai blablaté (tout à l'oral, aucun écrit ) lors de ma recherche comme quoi j'étais toujours en poste -> 3 mois de préavis fictifs (vacances, déménagement, choses perso à régler, ...).
Le seul gros stress fut l'attestation employeur (avec la date de fin de contrat) lors de l'embauche mais dans les grosses COGIP, le recruteur ne s'occupe pas de l'administratif post recrutement, c'est passé comme papa dans maman
Je pense me casser en 48h via une rupture de préavis (après 3-6mois d'ancienneté max quitte à déclencher la prolongation de préavis)

Punaise je suis pas le seul L'impression de toujours zapper, et du coup d'avoir du mal à finaliser les tâches proprement.

J'ai hâte qu'on me remette à 90% sur un gros projet.

j'ai un pote cdp qui m'a raconté l'intro d'une formation pour lutter contre l'eclatement des taches

1ere phase : ecrire les jours de la semaine les un en dessous des autres sur une feuille de papier.
lundi
mardi
etc, au chrono, une poignée de secondes.

2eme phase : la meme chose, mais une lettre a la fois
l
m
m
j
v
s
d

lu
ma
me
je
ve
sa
di
etc, au chrono... une poignée de DIZAINES de secondes

et d'un coup les idiots qui comprenaient pas le but de la formation étaient tout attentifs

ce qui m'a tué, c'est qu'il faille une formation pour comprendre qu'en étant tout le temps interrompu/sur de multiples trucs en parallele, on perd 80% de sa productivité    

FUCK YEAH mission interrompue au plus court, je vais pouvoir partir de ce purgatoire une semaine en avance

 
Well done

Jpense trop au clients du client quand je les depanne, et du coup jfait perdre du fric

Pour me punir ils m'ont mis en prise d'appel direct mais comme chui le roi des chatards le téléphone sonne presque pas quand je suis de garde du coup les collègues me détestent

Rien eu a foutre de la journée ... heureusement on est ~40% de moins dans le service aujourd'hui
Vivement le weekend ...

 
       
 
Moi c'est pareil, ils ont du décider de balancer mon soft maison à la poubelle parce qu'il n'était pas bourré de bug et autres problèmes de compatibilité comme celui que le management a décidé de mettre à la place

tous au four

Drap
Dommage que j'ai pas découvert ce topic 2 ans plus tôt

 
vous pourrez peut-être éclairer la petite lurkeuse et femme active que je suis.
J'ai posé ma démission auprès de mon entreprise. Elle sera effective le 20 août. Hors comme il s'avère que le patron a là encore envie de me compliquer la tâche, et avant de lui taper la tête avec un marteau de rage et frustration, j'aimerai m'assurer de mon bon droit face à certaines demandes qu'il fait pour ma fin de contrat, et qui me semblent contestables. Je comprends tout à fait qu'il veuille en avoir pour son intérêt, mais nos intérêts n'étant plus forcément communs, j'aimerai défendre le mien au mieux, d’intérêt!
 
Je suis annualisée. Partant en août et le calcul des heures se faisant en décembre (sombre manœuvre pour selon moi faire faire des heures sup non majorées sur les 2 derniers mois de l'année où l'activité est plus élévée), je me retrouve à "devoir des heures à mon patron".  
Il a en effet décidé en janvier, de manière orale de transformer mon 33h hebdo effectif sur site en 29h, sachant que mon cdi est de 35h en moyenne. Je restais donc payée à 151h par mois même si je n'en effectuais environ que 130h.  
Après avoir demandé plusieurs fois à compléter ses heures, ils m'ont imposé durant un mois en avril, 5h de plus par semaine dans une autre société (même gérant mais 2 sociétés distinctes) grâce à un avenant de mise à disposition. Après m'être informée auprès de juristes à savoir si cet avenant se distinguait bien réellement de la clause de mobilité interne à mon contrat, j'ai accepté ce dispositif. Il était en effet plus simple de faire des heures ainsi que de prendre le risque qu'ils m'envoient sur un autre site à 100 km d'où je vis.
Depuis malgré mes demandes: aucune heure en plus n avait été mise en place. C'est aussi parce que ce système d'annualisation ne me convenait pas et me semblait propice à différents abus que je démissionne.

 
Bref voilà que la semaine dernière je reçois un avenant de mise à disposition pour la même société que précédemment: je dois effectuer en 3 semaines 51h en plus là bas.  
Après demande d'explications et refus de signer tant que je n'en saurai pas plus, on me dit que démissionnant en court d'année mes heures payées sont recalculées depuis janvier sur la base de 35h semaine. Partant la semaine 33 et ayant pris 23 jours de congés comptabilisés à 7h chacun je devrais donc avoir fait 1155 heures à mon départ, comme mes heures effectives sont moindre, je leur devrais donc 51h afin de pouvoir toucher mon salaire. Outre le fait que mes propres calculs, une fois intégré ce mode de fonctionnement fait état non pas de 51 mais bien de 125h en négatif (ce que je me garde de préciser pour l'instant mais qui conforte mon sentiment d'être face à des incompétents qui me prennent pour une quiche) j'aimerai m'assurer de plusieurs points:
 
1- ont-ils légalement bien le droit de me réclamer ces heures? ou comment se passe un licenciement d'un contrat annualisé quand je suis en négatif entre mes heures payées et effectuées?
 
2- si j'accepte cet avenant j'arrive à 47h semaine pour un contrat de "35h en moyenne": est-on toujours dans l'annualisation de ces heures "dues" ou ne rentre t-on pas dans des heures supplémentaires différentes et distinctes? Autrement dit combien d'heures hebdomadaires maximum peut-on me demander et selon quelle rémunération?
 
3- dans ses horaires proposés: 10 sont sur mon jour de repos hebdomadaire (j'ai le lundi et le mardi). en ont ils le droit?
 
4- suis-je bien dans mon droit en refusant une mise à disposition, qui selon ce que j'ai compris est bien distincte de la clause de mobilité propre à mon contrat initial?
 
5- les heures faites en mise à disposition "à but non lucratif" rentrent-t-elles dans le décompte des heures de mon annualisation?
 
6- ai-je bien le droit de refuser une mise à disposition ou pret de main d'oeuvre (si c'est bien la même chose), sans que cela n’occasionne de sanctions etc. comme stipulé dans l'article L8241-2 du code du travail?
 
7- quid du délai de 7 jours pour informer de changements de temps et de lieu de travail? Pour l'instant j'ai refusé de signer et de faire certaines heures arguant de cet usage. Suis-je dans mon droit?
 
8- si je refuse ces heures ou d'autres qu'ils me proposeraient, est-ce que je risque une perte financière. Autrement dit suis-je tenue de "rendre" mes heures à mon patron que ce soit en les effectuant ou par une perte de revenu lors de mon SDTC?
 
9- enfin et question bonus et intrinsèque de tous ces points: me retrouverai-je avec peanuts pour vivre mon mois de septembre???? suspens.....  
 
J'espère avoir été assez claire dans ces questions légèrement (très légèrement) colorées par ma frustration et mon sentiment d'être pris pour une quiche à plus d'un titre (je vous passe d'autres détails de cette prise de connaissance "d'heures dues" et de mise à disposition: c'est juste precious).
J'irai voir l'inspection du travail lundi mais vous saurez peut être éclairer ma lanterne.

Ça dépasse de très loin mes compétences, mais, à mon avis, tes questions ont plus de chance de trouver une réponse sur le topic des juristes : http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] t_58_1.htm.
Bon courage, en tout cas, ils ont l'air vraiment pénibles

 
merci du lien, m'en vais leur copier/coller mon pavé de ce pas  

et n oublie pas de prendre tes heures de recherches d emploi.

arf héhéhéhé j'y avais pas pensé tiens pour les faire suer... mais de mémoire elles ne sont pas forcément exigibles? surtout en démission? ou bien? ça me ferait bien marrer en tout cas

ça va surtout dépendre de la CC,certaines sont plus avantageuses que d autres.

Chuis pas spécialiste-spécialiste, mais comme je travaille sur les logiciels RH, je touche à ces choses là:
 

 
1- De ce que je comprends, tu as un contingent d'heures annuelles, et des horaires "en modulation". Le nombre d'heures annuelles à faire est 1607 (peut-être ton cas, peut-être pas: vérifie les accords d'entreprise, de branche, ect)
Ce contigent est annuel: pas reportable d'une année sur l'autre.
Ta rémunération est mensuelle: Quelle que soit le nombre d'heures réellement effectué, le salaire mensuel ne change pas.
 
En cas de licenciement, un salarié qui a effectué "plus que son contingent" au moment de partir se fait payer le supplément en HS. Donc l'inverse est probablement aussi vrai: les heures non effectuées peuvent être retenues (à vérifier, je mettrais pas ma main à couper qu'il ne peut pas y avoir un texte quelque part). Après, il y a peut-être une limite à cette retenue (c'est aussi la faute de l'employeur s'il ne te donne pas d'heures), mais a voir dans les textes/accords.
 
2-Légalement, tu ne peux faire plus de 48h de travail par semaine. Ca peut être moins dans ta convention collective, accord, blabla (44, voire moins, renseigne toi)
 
Donc oui, ton patron peut te réclamer de faire ces heures qui te "manquent" et qu'il te faut rattraper. Mais il peut pas t'en réclamer plus de 48h/semaine (voire moins selon ta convention)
 
3- Tu as légalement droit à 1 jour de repos par semaine. Ce jour là ton patron ne peux pas te faire travailler, même s'il y a des heures à récupérer ^^ Pareil: voir avec ta convention si elle te protège 2 jours, mais il a probablement le droit de te faire travailler soit le lundi, soit le mardi.
 
4- Non, je ne pense pas que tu puisse refuser. Si j'ai bien compris, tu es dans le cadre du prêt de main d’œuvre à but non-lucratif: c'est une mesure que prends l'entreprise pour éviter un chômage partiel parce que pas de boulot à te donner (et qui explique tes problèmes d'heures). Dans ce cas, l'entreprise refacture uniquement les salaires à l'entreprise qui t’accueille.
 
5- oui, bien sur!
 
6- Là, je ne sais pas pour les sanctions en cas de refus. Mais à mon avis, tu t'expose à une sanction.
 
7- Je ne connais pas le délai légal, mais a mon avis, c'est peau de chagrin dans le cas d'horaires modulés (il n'y en a peut-être même pas). Faut voir dans l'accord de branche qui est probablement plus favorable.
 
8- oui, les heures non faites seront amputées du solde de tout compte.
 
9- Si j'ai bien compris, tu as effectué 1155 (ce qu'ils te demandent) -125 (ce que tu estime leur devoir selon leur calcul = 1030 heures a ce jour. pour un contingent annuel de mettons 1607 heures. (CDI 35 heures) Tu as 23 jours de congés de 7h posés (pas encore posés, ou déjà posés? J'ai pas compris). Tu pars le 20 aout.  si on fait un prorata simple, 20 aout = jour 232/365 * 1607 = 1021 heures à faire.
 
Ya une couille dans le calcul.
 
Combien d'heures tu as effectué précisément?

En creusant un peu, j'ai bien peur que la déduction des heures non effectuées en cas de démission d'un CDI annualisé/modulé soit effectivement la norme.

FPT en plein Bore-out ici.
 
Pour résumer grosso merdo, j'ai passé 2 ans à me battre pour mettre en place une politique ambitieuse dans mon domaine en maintenant un budget constant. Faire mieux avec autant de sioux.
 
Au vote budgétaire 2017, mes crédits ont disparus. On est donc monté au créneau auprès du DG. Promesse de modification en DM (décision modificative budgétaire - mettre des crédits là ou on a pu en oublier ou suite à arbitrage) et félicitation de la hiérarchie pour l'ingéniosité du montage. Arrivé à la DM1, douche froide. Report à la DM2 sous divers prétextes fumeux.
 
Pendant ce temps, je ne peux payer aucun de mes partenaires et je les mets en difficulté (même si ils sont parfaitement conscients que je ne suis pas fautif). Mon N+1 est le dernier à croire que la direction va nous suivre. Comme il sent que je suis en train de déprimer, il me confie la construction d'un événement sur la politique dans mon domaine. Sauf que comme on fait plus rien faute de sou, c'est totalement vide de sens.
 
A l'entretien annuel, il m'a fait miroiter un poste d'adjoint chargé de gérer les projets structurants de la direction. Sur le papier, c'est valorisant. Sauf que dans la réalité, il va s'agir de manager l'équipe qui mènera des politiques financées hors direction. On aura plus de budget, plus de marge de manœuvre, plus d'initiative. Je m'attend même à un démantèlement futur de la direction tellement ils savent pas quoi en faire (mais bon ça reste évidement une priorité prioritaire de la collectivité).
 
bref, je me fais chier, j'ai le cerveau en bouillie. Je fais de plus en plus de télétravail ou je joue au PC en attendant des mails. Le télétravail n'est pas autorisé encore normalement mais la hiérarchie s'en balek. Je peux même pas en vouloir à quelqu'un tant mon n+1 a essayer. Et pour ne rien gâcher, mon mémoire de M2 que je passe en parallèle reposait en grande partie sur cette politique qui s'est fait sucrer ses budgets.
 
Résultat : je suis très bankable pour changer de taf mais je suis aussi très pragmatique et je sais qu'en restant dans cette situation, je finirais par être promu suite aux réorganisations qui arriveront.  
 
Mais quel gâchis d'argent et de compétences mes amis    
 
Voilà, c'était mon point déprime du lundi matin, vous pouvez à présent reprendre vos activités normales  
 
Edit : et mon collègue qui m'a annoncé son départ en septembre la semaine dernière. Avec tous les départs de l'année, on ne sera plus que 2, moi et ma gestionnaire. Fantastique  

Tu télé-0ptimises et tu joues au PC sur tes heures de boulot, beaucoup voudraient ta situation

Je sais que c'est un peu le truc marrant-haha-enfaitnon à dire dans ces cas-là mais même avec un redface je suis pas fan parce qu'il y a une vraie souffrance derrière. Et puis on peut dire ça dans n'importe quelle situation, même un de nos commerciaux en SSII prétendait que tellement de gens avaient envie d'être à notre place. Bon OK, on le croyait pas.

 
Voilà. et accessoirement, je suis quelqu'un de formaté et je ressens toujours beaucoup de culpabilité en fin de journée. J'aime mon métier. J'ai toujours un peu glandé dans ma carrière parce que je travaille vite. Mais là, c'est tout autre chose. Et je sais tout à fait ce que ça risque de donner un jour : quand on me confiera ponctuellement des choses, je le ferais par dessus la jambe parce qu'on perd toute sa motivation à être inactif.
 
A noter que les perspectives budgétaires de la FPT/FPE vont faire énormément de mal à toute une frange de fonctionnaire qui risque de se retrouver dans la même situation.

leur restera plus qu'à chercher un poste dans le privé

Viens on monte une boîte de conseil. On va bien trouver un truc pour pipoter et se financer les biaires du rétro.