Reprise du message précédent :
 
tant que c'est pas avec une grosse mythe    

 

 
Il faut pas partir 3h après avoir oublié un redface : 3p dans la vue ! Je reproduisais dans mon message les lieux communs qu'on entend, où au final c'est toujours de la faute de la femme, que sa libido soit trop forte ou trop faible, jamais de la faute de la libido de l'homme (et le terme faute n'est pas très bien choisi). Je trouvais que LPCDH l'avait vécu en intériorisant que le "problème" venait d'elle, alors qu'en fait non.
 
Vous vous êtes bien déchaînés  

Parce qu'ils n'osent pas l'avouer. Vous ne communiquez pas dans vos couples ou comment ça s'passe    
Perso je trouve qu'il y a rien d'anormal qu'une fois tous les 3 mois tu es une soirée de baisse de régime parce que, tu es fatigué, à cause du boulot, à cause d'ennui perso.  
Faut pas avoir honte de l'avouer stou  

Où se situe la frontière (combien de rapports/jour) entre une femme à grosse libido et une nympho ?

Aucune idée. Je suis pas médecin. C'est juste l'impression que j'ai.

Déjà c'est minimum 1x /J et ce 7J/7
Après tu peux monter à 3x/J

Nan parce que (c'est peut-être, ou probablement présomptueux de ma part) mais je pense que je pourrais tenir un moment à 2-3 rapports/jour.
 
Sous réserve que les dits rapports ne s'enchaînent pas tous le soir venu. Genre 1 le matin et 1-2 le soir, je pense que ça passe. Et pas des rapports de 3h@minimum_syndical_hfrien. Faut aussi caser du quicky dans l'histoire, sinon ça passe pas (CMB)

 
Il va falloir penser à rentrer maintenant, les psychiatres de comptoir    https://fr.wikipedia.org/wiki/Hypersexualit%C3%A9
 
Il n'y a pas de seuil au delà duquel on est "malade".
 
Sur l'hypersexualité et les conséquences sociales, il y a le très bon film "Shame" avec M. Fassbender.

Au même niveau qu'entre un homme à grosse libido et un homme atteint d'hypersexualité.
C'est dommage de faire tout de suite le lien entre une grosse libido et une maladie, et surtout quand ca concerne la femme.
Edit : Burned...

Je fais pas le lien, je dis justement qu'il y a une limite/différence
 
J'ai vu Shame, mais je me souviens plus trop de la valeur documentaire profonde du film... plutôt de la teub de Fass

je dis " mal fini" dans le sens "fin de relation"
Je sais que c'est un mal pour un bien

poir moi la limite c'est quand l'autre peut plus suivre  
Donc c'est variable

Comme je disais plus haut, la jauge de libido est très relative à celle de celui ou celle qui juge.
Baysay une fois par jour ça peut être, pour beaucoup d'hommes et de femmes, très élevé et pour d'autres insuffisant.
Mais je que je releve surtout, et c'est ptet inconscient, c'est que si la libido de la dame est trop basse, alors il faut faire en sorte que sa libido monte. Et que si sa libido est trop haute, alors on pose la question de la nymphomanie.
Comme si, en fait, la libido idéale d'une femme devait être celle de son mec.

Et tout ça, finalement, est dit en faisant abstraction des différentes variations des relations sexuelles qu'on peut avoir. Du ptit quickie de 15 minutes sur le plan de travail aux sessions de plusieurs heures, de la pure perpétration genitale aux jeux où l'on s'emoustille sans même se toucher, c'est très difficile de dire ce qu'est une libido "normale" je trouve.

15min un quicky ?
 
Dude, seriously...
 
Un quicky c'est 3 à 5min. 15min ça n'a rien de "quick".

Si par " plan de travail" il veut dire "tableau de bord" alors il prend p'tet en compte l'allez retour au DAB.

Un cui-cui sans péné, alors

Il te faut 5min pour dresser le chapiteau ?
 
Dur

Si t'étais un vrai HFRien, tu saurais que c'est pas ça le problème

Bon, je reviens vous raconter un peu comment se passe mon histoire.

Je vais éviter les détails à moins de devoir développer ultérieurement, mais en gros on s’est revus et j'ai fait des efforts pour ne pas remettre le sujet sur la table. J'ai réussi, à part pour un raté que je vais décrire plus bas :

Quand je l'ai revue nous avons couché ensemble le soir même. J'ai préféré rester dans les préliminaires au début, étant un peu mal à l'aise intérieurement. Progressivement j'ai voulu voir ce que ça donnait en ajoutant des doigts. Assez rapidement, c'est devenu du quasi-fist.
En gros ça ne passait pas le cap de la bosse du pouce, mais les 4 doigts entiers jusqu’à mi paume + moitié du pouce, du coup. Elle s'en mordait les lèvres, même si ce n'était pas non plus aussi fulgurant que quand j'appuie fort sur ses deep spots. En tout cas ça lui donnait du plaisir et l'excitait. Si j'allais un poil plus loin en revanche, elle avait mal et finissait par en bouder. Sur le moment j'étais extrêmement excité par l'acte et sa vision, étant un grand fan de fist. Mais en arrière plan, au fond, j'étais traumatisé par la peur qu'elle n'ai vraiment aucun intérêt pour ma queue et la trouve ridicule.

Elle m'a malgré tout demandé d'enlever mon pantalon. Ça m'a coupé direct (c'est ce que je considère mon raté). Je savais pas quoi faire et j'ai eu un coup de bad. Après qu'elle ait insisté j'ai accepté, évidemment sans bander. Mais en me concentrant sur mes pensées les plus salaces j'ai réussi a m'exciter et la suite semble s'être bien passée. J'ai essayé de la pénétrer avec deux doigts en plus de mon pénis, et ça passait facilement, sans soucis, par contre elle m'a demandé d'arrêter, qu'elle préférait juste ma bite toute seule. Elle a eu l'air d'apprécier la pénétration simple mais j'ai toujours un démon dans ma tête qui me fait me demander si elle simule pas pour me rassurer, ou bien, même sans simuler, si elle ne restreint pas son instinct sexuel par affection sentimentale pour moi, ou même encore par "honte" d'être trop large.

Sur ce dernier point je précise que je lui ait souvent dit pendant l'acte et après à quel point j'adorais faire et voir ça (et c'est vrai, car malgré mon complexe en interne, j'aime la dilatation).

Le sexe des jours suivants a été assez similaire sur cet aspect, mais je ne rentrait plus que 4 doigts jusqu'à mi main sans lui faire mal (vraiment ? peur qu'elle se restreigne la encore...). Elle n'a pas caché aimer ça, mais m'a dit qu'au bout d'un moment elle préférait clairement ma queue. Elle avait l'air convaincante en disant ça (ce qui en dit long venant de moi).

Bref nous n'avons pas fait que ça, évidemment. D'ailleurs elle m'a dit avoir été plus proche que jamais de l'orgasme par deux fois, dont une ou elle me chevauchait avec des mouvements de bassin pendant que je m'occupait de son clito, et une autre ou je pilonnais bien fort pendant qu'elle se caressait (je sentais bien appuyer au fond, mais perso j'avais une certaine perte de la sensation de frottement, notamment l'impression d'avoir de la place à l'intérieur, même si l'entrée restait un peu plus serrée).

Sur un autre registre, elle m'a aussi dit quand je lui ai posé la question qu'elle se masturbait de temps en temps, surtout par caresse du clito (elle m'a dit une autre fois ne pas avoir de gode). Elle m'a aussi dit qu'elle regardait parfois des pornos avant, mais "plus maintenant".

Voilà. Bon moi je ne sais plus quoi penser. Une part de moi la voit comme un fantasme vivant (dans le porn, j'ai toujours aimé les pénétrations extrêmes, et j'ai adoré pratiquer réellement le fist et fist+main avec une ex que j'ai initiée à la chose).
Mais une autre part de moi se sent castrée, car je sait qu'elle a déjà connue une queue presque aussi large que ce que je rentre avec ma main, qu'elle s'est masturbée en regardant du porn (donc plus que certainement des très grosses bites) et j'ai vraiment peur qu'elle soit frustrée de ma largeur quand elle est bien excitée, pas assez remplie.

A côté de ça, elle a affirmé ses sentiments pour moi et s'est montrée plus sentimentale qu'avant, plus attentionnée et "amoureuse" même si je ne lui ai pas demandé ce qu'il en était.

Vous en pensez quoi ? Est-elle particulièrement large ? Gourmande ? Ou pas du tout ? (aucun des deux n'est une tare à mes yeux, hein)
Si des femme ici ont ce genre de pratiques/physionomie, pouvez-vous vous sentir bien comblée avec un pénis d'épaisseur moyenne ou est-ce frustrant ?

Je prends les réponses en MP si jamais vous préférez...

Va voir un psy mec.

Bah justement, le mec a l'air d'être tout le contraire d'un tapir

 
La frontière se situe pas dans le nombre de rapport, mais dans l'incapacité à contrôler son désir.

Ça ne répond pas à la question, c'est reculer pour mieux sauter : à partir de quand un désir est "non contrôlé" ? Un désir, c'est quand même de l'ordre du ressenti assez instinctif, c'est de toutes façons par nature pas contrôlé. Enfin je ne sais pas ce que tu entends par "controller un désir" mais je ne choisi jamais de désirer une nana, je ne me dis pas "Tiens, je vais la désirer elle, ça va être bien" ni "Non, c'est trop compliqué, allez, j'arrête de désirer Sidonie... maintenant, top !". C'est pas moi qui décide qui ni quand, c'est mon cerveau qui me dit, et j'ai pas trop le choix, j'entends par là donc le choix "rationnel et réfléchi" par opposition au choix "subi".

 
Joue pas sur les mots, j'entendais pas "désir qu'on ne contrôle pas" un désir qui dicte nos actions. Qui n'est pas contrôlé par d'autre choses. Être nymphomane c'est ne jamais être capable de mettre en balance son désir et le reste. Être l'esclave de son désir.  
 

Bof, c'est quand même aussi (sinon surtout) une question de fréquence, parce que moi par exemple, je correspond à ta définition de nympho, je mets rarement en balance mon désir et le reste : si j'ai envie, je sexe, c'est juste que quand ça arrive, ma nana est là, elle est d'accord (mais c'est pas 3 fois par jour, donc c'est facile à gérer).

Et je ne pense pas qu'on puisse qualifier de nympho quelqu'un qui ressent du désir une fois par mois mais qui cette fois là fait passer cette envie avant tout le reste.

Madame Xzero répond que oui. Et je suis toujours pas HFRcompliant...
(je vous trouve dur avec lui, j'ai loupé un truc ? )

Il a déjà posé exactement les mêmes questions 10 fois la semaine dernière.

 
Donc par exemple si t'as du désir pour ta femme pendant que tu fais tes courses au supermarché tu vas la prendre direct là comme ça ?  
 
Tu vas t'isoler dans les cabines d'essayages de la halle au vêtement pour te branler ?  
 

Ok, my bad  

 
Tsé je lui ai expliqué que ma meuf s'était faite baisée par un acteur de blacked.com et qu'elle était toujours autant satisfaite de la manière dont je la fais jouir, et le mec ça l'a pas fait bougé d'un iota, à un moment y a plus rien à faire.

Ça ne m'arrive pas de ressentir soudain du désir intense de sexer, dans des lieux publics comme un super marché. Et si ça m'arrivait, j'écourterais le plus vite possible les courses pour rentrer donc oui, mon désir guiderait mes actions.

Et une nympho, je ne pense pas qu'elle niquerait non plus direct comme ça, dans un super marché, elle ferait pareil : rentrer au plus vite et écourter les courses.

Oulalalalaaaaaaaaaa   Le fantasme là   T'as assisté ? C'était un tournage ou un plan privé ?

Faut pas confondre non plus les causes et les effets. L'hypersexualite c'est le fait d'ettre tellement dependant du sexe que l'envie est constante et insatiable.
Donc y'a pas de notion de fréquence. Y'a une notion de constance.

 
C'était une orgie, j'ai 2 couples d'amis qui ont joué comme figurant sur des dorcels ( Claire la sexologue,  et Les Parisiennes libertines, ainsi qu'un autre dont j'ai oublié le nom mais c'est genre "ma vraie orgie libertine" ) avec des masques. Un de ces couples a ramené Joss Lescaf dans une soirée où j'étais avec ma nana. On s'entends bien, et du coup pendant que Joss baisait la nana du couple, ma nana est venue s'occuper des 2 du couples, et Joss l'a baisé derrière. C'était sympa, elle m'en reparle encore ( alors que le mec est même pas la plus grosse bite qu'elle a prise). Evidemment j'en ai pas raté une miette

 
ok

Oui, si tu veux, mais pour moi c'est la même chose : ressentir un désir de façon constante, c'est comme le ressentir à une fréquence si élevée qu'elle est infinie. On est sur la même notion (c'est au moins autant un problème de constance/fréquence du ressenti qu'un problème dans la façon de le gérer).