Reprise du message précédent :
Loutre, Hug.

 
Y'a peut-être un 13ème mois avec le RSA / chômage ?  

Science.
Me faire mon avis.
Des années de sdr je devais essayer un des derniers qu'il me reste quand même.

 
 
 
 
Séduire c'est pas nouveau, tu vas forcément trouver dans un livre, un film, de la musique, de ce qui nous entoure, une histoire qui va t'inspirer...
 
Pour moi la séduction c'est comme une transactiin en tre deux personnes, on se vend on achete on négocie on tente d'obtenir le meilleur deal...
 
Faudrait arreter de penser que la séduction c'est seulement pour le sexe et la couplance, tous les jours vous flirtez, séduusez sans meme le vouloir... Parce qu'on est dans un monde de consommation alors pour faire consommer faut séduire...
 
On s'éduit pour obtenir un job, on flirt pour une ristourne etc...
 

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J'ai pas trop suivi ton histoire avant, vous étiez ensemble depuis longtemps ?
J'suis de l'avis de tout le monde : répond pas... D'autant plus avec ce que tu viens de rajouter là. C'est trop frais pour t'en faire un sex/hugfriend en attendant le prochain...

+1
 
Toute notre vie n'est que manipulation on a commencer à le faire avec nos parents, etc...

Hum ça fait pas trop rêver ton truc là.
Oublie ce mec.

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Non mais je déconnais, c'était pour essayer de faire comprendre à Amraz à quel point ces histoires de notes sont violentes et pitoyables....  

+1. Quand ça marche pas, ça marche pas, quand bien même il y ait des sentiments. C'est la pire configuration, mais y'a pas de miracles...

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C'est bien tu as toujours pas compris que les notes je m'en fous aussi.
J'en parle presque jamais à propos des filles.

La c'est sorti pour des raisons qui ne viennent pas de moi.

Personne à dit que c'était facile. Et ouais ça rend super amer de voir ce qu'on considere être un énorme gâchis.
Il n'empêche que c'est pas bon de s'intoxiquer la dedans.

 
Cette phrase ne veut rien dire...
 
Je crois plutot qu'on a uniquement ce qu'on mérite.
 
 
 

Donc c'est pas un 5 ?

Ouais mais tu semblais kiffer le propos, et tu te gargarisais avec, et bla et bla, et moi je suis un tant... Bref, ça m'a dérangée.  
Et puis presque jamais, c'est déjà trop.

On me dit dans l'oreillette qu'il y a une prime de noel pour les beneficiare du RSA...  

 

 
Nan mais sérieux le "On était jamais détendus l'un et l'autre, jamais sereins", c'est pas possible.
 
Enfin perso je deviens de plus en plus convaincue par la darya rule. Soit c'est cool et ça marche tout seul, soit je laisse béton.

Fais ce que t'a envie de faire... T'as demandé un avis et tout le monde t'as dit de ne pas repondre et tu l'as fait (je comprends pas le projet)...
 
T'envoyer un message ne veut pas forcément dire sûil veut se remettre avec toi.
 
S'attacher c'est surement ce qu'il y a de plus simple... Ce serait bien de sortir de ta zone de confort et d'apprendre à te détacher de lui ça va servir pour plus tard...
 

Non mais moi aussi je deconnais tu sais meme pas a quoi je ressemble

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Sortir l'excuse de l'alcool c'est limite...
#fragililité
 
C'est ton petit confort cette relation toxique, t'etais plus excité à l'idée de relancer le truc, (preuve que t'as pas attendu 24h pour repondre) que de te dire que tu es libre, que tu aspire à mieux... C'est ça la zone de confort.

#TagCR - Ain't no sunshine
 
J'aime les cygnes. Et les lacs. Et le lac des cygnes au milieu des ballerines. Mais j'aime aussi les signes. Ces petits indices disséminés ça et là par la vie, à qui voudra bien y voir un sens. Hier, c'était une brouette entière dont j'ai hérité. Les précédents protagonistes ont du les oublier en chemin, peut-être ceux de GG à des kilomètres d'ici ? allez savoir..
 
Rendez-vous dans un bar où je n'étais jamais allé, dans un brouillard à découper au couteau. Les feux tricolores défilent devant moi tandis que je mets à chantonner Ain't no sunshine. Je dois retirer de l'argent, j'ai pris mes précautions via Google Map. Arriver devant le distributeur, le noir complet sur l'écran. Je souris en me disant, OK j'ai compris. Je marche alors dans la rue au hasard, pour tomber 3 minutes plus tard sur un autre en état de marche.  
 
Des échafaudages jonchent le sol, d'autres arborent les bâtiments. Je me demande en rigolant si ça porte de malheur de passer en dessous. Je baisse la tête pour éviter la poutre n°1, je relève la tête et fixe le distributeur en avançant, et BIM, la poutre n°2. Toute la rue est au courant que j'ai pris un SHOT, mais celui là n'était pas alcoolisé Je retire et me casse, avec un oeuf à l'arrière du crâne, je suis JOIE. Arriver devant le bousin, il fait froid. La fille me dit sur FB qu'elle arrive et et me dit de me mettre au chaud. Des bâches protègent l'entrée. Je vois les gens derrière, et commence à tirer les plastiques de partout. Avec peine, je passe la tête au travers comme un nouveau né qui sort de vous savez où, pour entendre en cœur "à droiiiite !! PASSE A DROIIITE !" Un peu plus et le chapiteau était entamé au cutter, Budykiller porte bien son pseudo. Il m'en fallait pas plus pour que les signes me disent "barre toi".
 
Je rentre et discute avec le serveur, et prend une table pénard pour deux. Quelques minutes plus tard, elle arrive. Elle ressemble aux photos, mieux même. Elle sourit, moi aussi. Elle retire son manteau de ramchouch couleur vert caca d'oie. La serveuse nous demande si on a choisi, on l'a renvoi dans ses buts. On papote, je suis très réservé. Elle a passé les 2 dernières semaines à dire que j'étais peut-être bizarre, trop décontracté, etc. Je lui montre que derrière le clown manqué d'HFR, y a un cœur en PLS qui a appris 3 jours avant que son ex était effectivement bien déjà enceinte.
 
5 minutes plus tard, elle embraye sur le boulot Soit... on évoque chacun notre travail. Je sens le rendez-vous partir en sucette, l'énergie se dissiper. Peu de sourire. Puis je rebondis et parle de films, de notre génération (trentaine), etc. C'est mieux. Je commence à détecter de plus en plus "mon ex ceci, mon ex cela" Bon, admettons. Viennent les passions : elles me racontent tout ce qu'elle a fait, escalade, bateau, etc. Et à chaque fois "c'était grâce à mon ex, mon ex faisait.... c'était surtout mon ex qui....". J'assiste à ce déballage, et je sature. Dans le flot de la discussion, je lui demande pourquoi ils se sont séparés ? L'occasion pour moi de tester sa maturité vis à vis du deuil de sa liaison.
 
Séparée en début d'année, elle me raconte leur histoire. Je comprends que ce gars était tout pour elle, dans une pseudo crise d'âge tardive. Homme dur à maîtriser, la demoiselle a gagné des ailes et un challenge. Ils se voient toujours car collègue. Dans ces conditions, même si elle semble avoir compris qu'avec lui elle ne pourrait rien construire, je la sens pas mûre dans son désir d'aller ailleurs. On parle alors des SdR, je lui raconte mon histoire. Elle me dit qu'elle testerait bien adopte Je grince des dents. Puis on parle de Tinder, elle me dit quelques histoires, et notamment qu'un gars lui avait parlé mais elle n'était pas dispo à ce moment là. Elle lui a répondu trop tardivement, et la personne lui signifia qu'il était maintenant en couple. Elle me dira "j'ai quand même gardé le contact, comme ça si ça ne marche pas pour lui, plus tard, ben je pourrais répondre".
 
C'en est trop pour moi. Je lui dit "tu ne sais pas censé me dire ça en rencard", avec un sourire. Elle hallucine. Je lui explique calmement et avec décontraction que bien que je comprends, en rencard ça ne se fait pas. Question de respect. Elle semble étonnée et me dit "oui mais je considère pas ça comme un rencard officiel en fait". Ah ok. Curieuse conception donc. Là c'est plutôt un entretien alors. Un entretien dans lequel vous êtes obligé d'écouter les pubs pour son ex avant d'avoir votre Ain't No Sunshine sur youtube. Bonus cadeau, elle vous annonce qu'elle a des possibilités à droite à gauche pour les semaines suivantes. Et vous dans tout ça ? Vous êtes juste là pour voir si ça peut le faire. C'est ce qu'il se trame derrière chaque rendez-vous en fait, mais on déteste tous savoir la vérité.
 
Je me sens bousculé. Y a un blanc qui marque une gêne. Je rebondis en passant outre. La conversation repart. Je n'arrive pas à voir ce qu'elle pense. Pas de sexualisation, juste une discussion lambda. Je me sens pas attiré. Je regarde les hordes de femmes qui rentrent dans le bar depuis 2h. Je décrypte les codes en lui expliquant que c'est un passe-temps que j'adore. Je lui montre qui est leader dans le groupe des femmes, les mecs qui sont venus pour s'amuser et ceux qui cherchent des cibles, ce qu'il se joue en coulisse derrière les apparences. Ça à le don de la faire sourire.
 
Elle est difficile. Elle n'est pas du matin, elle se couche tard. Elle déteste ci et ça, elle n'aime pas rester seule et je détecte une Nitescence et Amrazance. Je lui donne mon mode de vie, je pense que ça la fait tiquer. Je me couche sans doute à l'heure des poules pour elle. Ce passage marque la fin.
 
Minuit passé, le temps est passé vite au final. Je n'ai plus de voix, la musique étant progressivement montée au fil de la soirée pour finir en mode boite de nuit. Elle me dit "on y va ?". ok. Elle me dit qu'elle paye. Je me dis que c'est mort, hormis Marie-Jeanne, chaque fois que c'était payé, c'était la fin. Elle va pisser et revient, je lui ouvre la porte dehors et nous voilà dans le froid. "Merci pour la soirée en tout cas" me dit-elle rapidement, puis elle remet son blouson avec les écouteurs déjà dans la main. Elle me dit de m'envoyer une vidéo dont on avait parlé, me fait la bise, et me dit "bonne soirée ".
 
Je me retrouve sur le passage piéton, feu rouge. Je siffle une dernière fois dans le froid avec la vapeur, comme dans JSA https://youtu.be/8p71fTAZnYw?t=1m8s
 
 
TL;DR : soirée avec une fille de Tinder. C'était bizarre. Elle a évoqué son ex trop souvent, et je n'ai pas réussi à sentir de connexion particulière malgré que j'ai tenu 4h avec elle. Cette rencontre m'a laissé un goût amer, la classe et une certaine forme de respect qui sont noyées au profit d'une vérité et d'une ouverture totale de l'autre : tout ça manque de mystère et de romantisme pour Budy.

Tagcr - Eyecontact et whisky

Son profil Tinder claque, une phrase drôle, deux photos de gossbo, deux photos marrantes, une photo casual. Je sais qu’on va s’entendre, je le SENS tavu. Enfin, que moi je vais m’entendre en tout cas, pour la réciproque, ma foi… Au pire, y’a le ghb.

On match, j’attaque. Sa réponse arrive après deux heures, elle est parfaite mais je dors. Quand je reprends, il répond plus. Dammit.
Après une journée, je relance comme une grosse morte de faim. Il reprend, et le ping-pong qui suit est d’un génie terrible. Ça fait un an que je suis sur Tinder, c’est la troisième discussion qui atteint ce niveau. La dernière, ça s’est fini en Stalkeur Fou. Mais là, en lui répondant, je pense pas du tout au Stalkeur Fou. Si vous voulez mon avis, c’est bon signe.

Je propose un verre, vendredi ? Il a une soirée de boulot-mais-beuverie, qui finit à 22h30, sinon il est dispo dimanche. Qui a envie d’attendre dimanche ? Pas moi. Pas lui non plus.

En retard comme tout le reste de ma vie, j’ai qu’une petite heure de ki pour m’enjailler. Challenge accepted. Les nigauchoux me regardent me décomposer de flippance, ils se moquent pas trop. Je pars même sous les encouragements, telle une conquérante des Amériques, mais sur la ligne 10.

Ma pinte m’a rendue guillerette – comme si j’en avais besoin. Je lui chante ma playlist par écrit sur le chemin pendant qu’il me hurle qu’il est en train de mourir de froid. Je lui dis qu’il exagère, me faire culpabiliser pour quelques doigts perdus, franchement.

Il me tourne le dos mais se retourne pile au bon moment pour me voir débarquer avec un pas de danse sur Brad Pitt's cousin. C’est le même que dans mon téléphone. Vous voulez peut-être toujours pas mon avis, mais ça me semble plutôt une bonne nouvelle. Je me demande si je suis conforme, moi aussi – de toute façon c’est trop tard pour changer mes photos Tinder.

On échoue dans le premier rade qui passe parce qu’il faut que j’aille aux toilettes, d’ailleurs je le plante là dans la foulée. Quand je reviens, il est toujours le même que dans mon téléphone, c’est fou, la vie. Je comprends rien aux descriptions ampoulées des différentes bières alors il choisit pour moi en me lisant les descriptions comme dans une pub. Il m’en prend une pas trop risquée mais pour lui, il tente celle qui est tapissante et un peu piquante. On a tellement ri par message pendant trois jours (on est de joyeux drilles, qu’est-ce que je peux vous dire de plus) qu’on peut pas s’empêcher de rire aussi, là. Ou alors c’est un mélange de pinte et de malaise – mais non, parce que je suis pas du tout mal à l’aise.

Parfois, il y a un blanc, on plante tous nos yeux les uns dans les autres et c’est des regards de défi, comme des gosses. Eye contact, personne perd, alors on reprend la conversation. C’est l’échange de l’insolence choupie. Comme prévu.

Par messages, j’avais blagué sur un bouquin pour enfants que j’ai écrit et il avait exigé un exemplaire. Je l’ai ramené et il réclame un stylo au serveur tout confus pour que je le lui dédicace sur-le-champ. Je suis tout à coup incapable de trouver un truc drôle à écrire, alors je gribouille « Pour Chou, grand fan de bière tapissante, Grande Greluche. » C’est nul mais il la lit pas devant moi, l’honneur est sauf. On décide de changer de bar, quand le serveur nous apprend le décès de sa machine à carte, il envoie mon Chevalier dans le froid retirer de la thune, et me garde en otage.

Finalement il revient, paye tout, le serveur nous arrose de Limoncello et on bifurque vers un autre bar, à deux doigts de fermer aussi. Fuck it, on s’installe. Je reprends une bière, il reprend un whisky, on reprend l’eyecontact.

D’un côté, le comptoir tapissé de phares de voitures rouges, de l’autre un mur végétal, entre les deux, il lève sa main vers la mienne, on s’embrasse ici. Ça déclenche l’apocalypse.

Le serveur pose les verres sur la table, j’entends la fille d’à côté critiquer les gens qui s’embrassent en public, on continue quand même, il me renverse dessus l’intégralité de son verre de sky, le bar ferme pour de bon, je découvre l’écran de mon portable, tombé plus tôt dans la soirée, complètement explosé, il commande un Uber et on monte dans celui de quelqu’un d’autre appelé « Lolita ».

Entre-temps, il a eu le temps de prendre ma tête entre ses mains et de me dire :
- Tu me plais, j’aimerais que ce soit différent, si ça te va. Qu’on fasse les choses tranquillement. Qu’on rentre ce soir, mais qu’on se revoit vite.
Ça me va. Alors il continue.
- En début de semaine ? Lundi ?
GB’s rule. Et j’ai pas eu à le faire moi-même.

TL ; DR C'était bien.

 
Ça devrait même pas être une règle, ça, tellement ça devrait couler de source, les choux.

BAM Buddy  

Bordel    
Bon courage sinon, c'est bien une situation de marde !

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le problème c'est quand dans la vie de tous les jours, j'arrive a "séduire" sans trop de souci : j'arrive a être drôle, piquant, sur de moi... mais des qu'il s'agit de plaire à une personne qui m'attire c'est une autre histoire. Les premiers contacts se font toujours bien, c'est le moment où je me dis qu'il faut  que je passe en mode casanova que je foire. Impossible de passer à la tactilance et tout ce qui va avec, donc les trois quarts du temps ça se finit dans les méandres du bon pote zone (je remets pas une pièce pour le débat FZ )

GG GG

gg GG, je le sentais.

 
Je me gargarise des qualités que je suis certains d'avoir.
La note, encore une fois, c'est l'avis d'une meuf, et je suis meme pas d'accord avec elle. (Dire qu'elle a le meme metier que toi en plus )

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GG, ca m'a mis des papillons dans le ventre, ton CR.

 
En fait je voulais mettre #fragiliténonassumé
 
C'est compliqué mais la façon dont tu triomphera sera une compétence pour mieux gérer tes relations avec les hommes plus tard.
 
Faut savoir vivre (et non pas survivre) pour soi, etre heureuse grace à soi... L'amour et l'estime de soi c'est qu'il y a de plus important...  
 
 
 

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Toujours fusionnel

GGchou

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