Reprise du message précédent :
Je sais, ça me déprime un peu vu comment j'ai galéré

 
Il y a certes une consultation nationale, mais à qui revient la décision finale ?

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et tu peux pas nous donner un lien vers ce pdf ?
c'est bien qu'y ait tout ça du coup

y a plein de raccourcis clavier pratiques/utiles de l'OS avec la touche Windows (et sous Linux aussi) donc ils ne peuvent ni la virer ni la réassigner
une touche de plus que le altgr ça me semble lourd tout de même, pourquoi pas juste altgr+shift ?
edit: vu deux touches super pour une seule altgr, ça semble étrange

J'ai lu le PDF. Je ne vois pas ce qu'ils appellent BÉPO amélioré alors que c'est strictement la même chose.  
 
@Pota : Ils proposent, mais un seul sera choisi je pense. Après il y a quelques partisans du BÉPO dans la commission.

Disponible sur le site de l'AFNOR : http://norminfo.afnor.org/consultation/31290
 
Sinon pour les fainéants.
https://www.erwangueguen.com/temp/N [...] 7-cor2.pdf
 

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Oui, j'ai compris le texte. Mais je pensais aux fabricants. Mais si t'énonces qu'ils n'ont aucune contrainte pour suivre la norme. Ça règle le problème.

 
Mais ça va être une putain de galère au boulot !
 
Tu t'es formé au BEPO mais on te fait débarquer sur un poste avec clavier AZERTY, t'es comme un con...
 
Tu vas demander à ton chef de te remplacer ton clavier ? Au service informatique ?
 
Encore que si t'apprends la dactylo, tu t'en fous de ce qui est gravé sur le clavier, mais même sans ce problème, quid du système d'exploitation ? Il donneront le choix du layout logique dans les paramètres ?
J'ai du mal à le croire : d'habitude, tout paramétrage du système d'exploitation est bloqué par le SI de la boîte.
 
Connerie en perspective tout ça.
 
Il faudrait un seul layout, point.

pas mal l'utilisation de µ en touche morte pour les lettres grecques et ¤ en touche morte pour les symboles monétaires
y a pas mal de combinaisons spéciales qu'ils ont fait un peu comme ce que j'avais fait avec msklc, genre un / en touche morte qui, associé à =, donne un ≠
 
et le 4e caractère est bien accessible via altgr+shift ; la touche "super" c'est juste la touche Windows qui n'intervient pas pour tout ça

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Je ne vois pas trop le problème.  
Soit tu as besoin d'une disposition particulière que tu peux justifier pour ton boulot, de la même façon que certains ont besoin de logiciels particuliers, et ton chef est censé te supporter dans la demande ou la mise en place.
Soit tu préfères simplement avoir une disposition particulière, et tu peux changer la disposition, et tu ramènes ton clavier s'il n'est pas fourni.
Soit tu préfères simplement avoir une disposition particulière, et tu ne peux pas changer la disposition, mais tu vis avec. Pour moi c'est au même niveau qu'un débat sur souris/trackball ou le type de stylo et autres fournitures de bureau.
Soit tu préfères simplement avoir une disposition particulière, et tu ne peux pas changer la disposition, et ça t'insupporte au point de changer de boite.
 
J'oublie des cas ?

Super = Windows sous Windows, ça ne va pas changer, et ça n'a rien à voir.

¾ est sur la 4e couche (shift + alt gr + |) sur ton image.

Edit: grillé par antp, j'avais pas vu.

 
 
 
Demande à la DSI de ma boîte.  

 
Je ne suis pas d'accord : si l'AFNOR spécifie une norme, ça doit être supporté par toutes les entreprises, sinon ce n'est plus une norme.
 
Donc, si l'AFNOR spécifie deux layouts possibles, il faudrait que les entreprises supportent les deux layouts.
 
Et j'ai du mal à y croire : autant ils autoriseront peut-être la modification de layout logique (une fois que les salariés auront fait le forcing, comme d'hab'), autant je ne les vois pas du tout gérer un double stock de claviers pour satisfaire les gens qui ont besoin de l'affichage des caractères sur le clavier.

ISO 9001 est aussi une norme. On la respecte ou pas, ça n'enlève rien à sa qualité de norme. Le but d'une boite n'est pas de respecter le maximum de normes, si ce ne sont pas des lois.

Si ce n'est que le clavier physique le problème, et que la disposition logique est libre, chacun peut ramener son clavier.
Et encore une fois, si c'est un besoin spécifique à ton boulot, soit tu négocies un aménagement des restrictions, soit tu vis avec. Autre exemple, si mon collègue thermicien a besoin d'un logiciel spécifique de simulation, soit la boite lui paie, soit il fait ses calculs autrement, soit il démissionne !

En fait, pour une meilleure transition, il faudrait faire cohabiter les deux : l'AZERTY2 pour les déjà habitués qui ne veulent pas changer, et le BÉPO2 pour les enfants (et ceux qui veulent prendre le temps de changer d'habitude).
 
Déconnons pas, un clavier coute que dalle (et sont de plus en plus intégrés à la dalle ), en avoir deux par poste (et encore) ne va ruiner personne.

Faisant l'éloge de l'acteur, il déclara qu'il était « le seul Français qui soit plus célèbre que [lui] dans le monde ».  
 
Souvent, je ne comprends pas les termes substitués dans les citations.
 
Dans cet exemple, qu'a donc pu bien dire la personne s'exprimant autre que : "moi" ?    
 
 
 
 
 

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C'est ce que voulais dire.
Pourquoi remplacer le moi par lui ?  

C'est le principe du discours rapporté, non ?

Alors pourquoi remplacer juste un mot ?

Tout le monde comprendrai sans ambiguïté que le moi se rapporte au cité et pas au citateur.

Je parie mon chapeau sur une énième masturbation intellectuelle de la langue française.    

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Si on ne remplace pas "moi", le moi devient le locuteur. Donc moi si c'est moi qui dit la phrase, toi si c'est toi. Alors on peut (ou pas) comprendre qu'il y a une erreur et qu'on parle d'une unique tierce personne, mais ça ne rend pas la phrase correcte pour autant.

Et je pense même que ça peut devenir incompréhensible pour quelqu'un qui apprend la langue si on n'écrit pas correctement le discours rapporté.

 
On est à l'écrit là.
 
Faisant l'éloge de l'acteur, il déclara qu'il était « le seul Français qui soit plus célèbre que moi dans le monde ».  
 
Tu vois un quelconque risque d'incompréhension ?
 
Mais je comprends un peu votre point de vue cependant.  

À l'écrit non, effectivement.
 
Ça me rappelle le couvreur qui m'a parlé de vous.

En fait, mon problème vient que je m'identifie immédiatement au personnage qui est cité.    
 
 
Je me place tout de suite dans la peau de "il", ce qui fait que je ne comprends pas ensuite pourquoi il parle de "lui", façon    
 
 
 
Bref

Ça a beau être de l'écrit, il ne faut pas oublier que l'article peut être lu à haute voix à un auditoire quelconque.
 
Et là, c'est clairement ambigu/incompréhensible.
 

Arf, même lu à haute voix, avec la bonne intonation (limite imitation du cité par exemple), ça passe crème.
Et ensuite, un article d'encyclopédie n'est pas censé être lu à haute voix. ^^

Ta phrase :
Faisant l'éloge de l'acteur, il déclara qu'il était « le seul Français qui soit plus célèbre que moi dans le monde »
 
est un ensemble d'un seul tenant.
Les guillemets ne sont là que pour préciser qu'il s'agit d'une citation, mais aucunement pour "changer de contexte" : il faut lire et penser la phrase comme si les guillemets n'existaient pas.
 
Pour comprendre le sens de la phrase, je ne dois pas avoir à m'arrêter à un couple de guillemets et à en faire l'analyse pour déterminer qui est désigné par quoi. Ça doit couler de source.
La phrase se lit d'une traite, dans le seul contexte du discours rapportant ce qu'a dit celui qui fait l'éloge : le monsieur qui fait l'éloge de l'acteur a dit que ce dernier était le seul qui soit plus célèbre que lui.
 
La phrase citée est insérée dans le discours. Si on veut prendre une citation telle quelle, il faut extraire la citation du discours, comme l'a montré Pota :
 
 

Bah oui mais non quoi.

Oulala vous n'êtes pas au point, c'est du niveau collège. Il va falloir réviser tout ça
 
Pota se plante sur le temps des verbes, le Belge place les guillemets n'importe comment, je prescris un cahier de vacances de français cycle 4  

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Au fait elle vient d'où ta source campedel ? Normalement le changement de pronom se fait tout seul dans le discours indirect (ou paroles rapportées indirectement, pour faire plaisir à l'inspecteur), les crochets ne sont pas nécessaires.

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Moué, cette source sent le pâté, permettez-moi de le dire  

Une phrase de Wikipedia.

Ainsi parlait le Général de Fernandel...