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Auteur Sujet :

Cuba, Fidel Castro, communisme, etc...

n°8454080
csp
y'a quelqu'un ?
Posté le 20-05-2006 à 09:54:17  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

CubasiCastrono a écrit :

C'est sûr ?
 
http://www.granma.cubaweb.cu/cartas/articulo491.html  
« desea enviar un cariñoso y efusivo saludo y mi reconocimiento al valiente y combativo pueblo cubano y su máximo líder Fidel ».
 
(...)
 
... et y'en a d'autres !
 
 
Quand on veut se présenter comme des références absolues sur Cuba, peut-être faudrait-il mieux posséder son sujet ?


 
Oulalaa... avec un moteur de recherche, c'est sûr qu'on trouve l'aiguille dans une botte de foin. Mais la botte est quand même faite de foin, pas d'aiguilles. Si on trouve 50 articles qui mentionnent, et s'il y en a 50.000 qui ne mentionnent pas, bon... ca va.  
 
En tout cas, moi, c'est la première fois que je le vois écrit dans la presse cubaine, que je lis régulièrement.  
 
(Nota : certains articles "cubains" sont des comptes-rendus ou des publications de lettres envoyées de l'extérieur et qui emploient ce terme. La presse cubaine reproduit donc le terme employé. Ce qui ne veut pas dire que le terme soit couramment employé A Cuba PAR les cubains.)
 
Reformulation donc : le terme "lider maximo" n'est jamais employé à Cuba, à part quelques rares exceptions, alors que c'est pratiquement la régle dans la presse occidentale. ( en attendant la prochaine reformulation ...)
 
Y'a un autre lecteur régulier de la presse cubaine qui peut infirmer/confirmer ca ? Ou est-ce que ca dépend des média cubains ?  
 
 

mood
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Posté le 20-05-2006 à 09:54:17  profilanswer
 

n°8458065
Gorri
Posté le 20-05-2006 à 20:49:40  profilanswer
 

"lider maximo" n'est sûrement pas utilisé, ça me semble gramaticalement incorrect.
Par contre, "máximo líder" (c'est à dire, en français, chef suprême) ça se dit, mais on est chef suprême de quelque chose (par exemple, de la révolution) le terme ne s'emploi pas tout seul; autrement dit, c'est pas un titre mais un addjectif.
Au contraire de "commandant" par exemple, qui lui est un titre et s'emploi tout seul.
 
La notion de "liderazgo" en espagnol (je sais pas trop comment dire en français, c'est la notion du fait d'avoir de l'influence, et d'aller de l'avant en premier, et être suivi; "leadership" en anglais) c'est quelque chose de dynamique, quelqu'un a du "liderazgo" a un momment donné précis; avant, ou après, ça peut ne plus être le cas.
Donc, quelqu'un peut être "chef suprême" à un momment et pour quelque chose de précis; c'est une notion qui apparaît lors de batailles idéologiques.
 
Donc, oui, le terme "máximo líder" (et non pas "lider maximo" ) s'emploie, mais pas du tout comme la presse en français le laisse entendre, comme si c'était un titre.
 
La façon la plus courante de parler de Fidel Castro à Cuba c'est "commandant", ou par son prénom, "Fidel".

n°8460158
CubasiCast​rono
Posté le 20-05-2006 à 23:27:40  profilanswer
 

Gorri a écrit :


La façon la plus courante de parler de Fidel Castro à Cuba c'est "commandant", ou par son prénom, "Fidel".


« La façon la plus courante de parler de Fidel Castro à Cuba », c’est... de ne pas en parler ! Et de l’évoquer d’un geste de la main sous le menton, simulant la barbe, ce qui en dit long sur la paranoïa du peuple cubain après 50 ans de régime policier !
 
Merci pour cette intéressante mais très approximative leçon d’espagnol. Il faudra donc faire savoir au Sr Manuel Talens qu’il fait des fautes de grammaire :  
http://www.rebelion.org/noticia.php?id=10283
« engrandece la figura de Fidel Castro como líder máximo del Tercer Mundo frente al imperialismo y arroja nueva luz sobre sus ya legendarias capacidades de estratega. »
 
« máximo » est un adjectif, « líder » un substantif, en espagnol comme en français. Tss, tss, un peu de précision, por favor.  
 
En résumé, on est donc passé d’une « invention journalistique » « jamais utilisée à Cuba (bis repetita) » et « grammaticalement incorrecte » à une expression employée couramment en Amérique latine y compris dans Granma ! On progresse, on progresse...

n°8463081
csp
y'a quelqu'un ?
Posté le 21-05-2006 à 12:00:45  profilanswer
 

CubasiCastrono a écrit :

Merci pour cette intéressante mais très approximative leçon d’espagnol. Il faudra donc faire savoir au Sr Manuel Talens qu’il fait des fautes de grammaire :  
http://www.rebelion.org/noticia.php?id=10283
« engrandece la figura de Fidel Castro como líder máximo del Tercer Mundo frente al imperialismo y arroja nueva luz sobre sus ya legendarias capacidades de estratega. »


 
l'exemple illustre au contraire les propos de Gorri. Fidel Castro n'est pas LE Lider Maximo, mais le lider maximo de quelque chose.
 
Ce n'est pas la même chose de dire (par exemple)  
 
- "Charles de Gaulle, le plus grand président de la 5eme République, a déclaré..."  (version cubaine)
- Le Plus Grand Président a déclaré...  (version journaliste occidental)
 
La nuance est évidente.

n°8464549
CubasiCast​rono
Posté le 21-05-2006 à 15:18:32  profilanswer
 

¡Qué lástima! Figurez-vous que le pauvre vieil homme ne touche qu’un salaire de 900 pesos cubanos ! Du moins, c’est ce qu’il a mis plus de quatre heures à expliquer à la télévision à la population ébahie.
 
C’est sans doute pour ça qu’il n’a pas encore pris sa retraite et qu’il ne sort plus beaucoup du pays... En effet, comme n’importe quel citoyen cubain, il doit d’abord trouver quelqu’un qui lui fasse une lettre d’invitation (bon, en cherchant bien, ça doit encore pouvoir se trouver...). Ensuite, il doit faire la queue à la Cadeca pour changer puisqu’à Cuba, où les gens sont payés en pesos cubains, tout, et particulièrement les formalités administratives, se paie en « pesos convertibles ». Ensuite, il doit faire une demande de passeport, si le sien a expiré (1 mois et demi de salaire), payer la lettre d’invitation (4 mois de salaire), l’éventuel visa (1 mois de salaire), le permis de sortie (encore 4 mois de salaire), la taxe d’aéroport (3 semaines de salaire), le billet d’avion (vaut mieux pas partir trop loin, et en classe éco !) plus quelques frais annexes... Tout ça nous amène quand même pas loin de deux années de salaire (à condition d’y consacrer la totalité de ses revenus) !
 
¡No es fácil!

n°8465263
csp
y'a quelqu'un ?
Posté le 21-05-2006 à 16:40:43  profilanswer
 

touché. J'avais oublié que dans le reste du tiers monde, les visas sont distribués à la volée, les passeports sont donnés, quant aux billets d'avion, il suffit d'apporter un plat de manioc.

n°8469250
Gorri
Posté le 22-05-2006 à 00:44:05  profilanswer
 

Euh, c'est le chef de l'Etat en fonction tout de même; à Cuba, ainsi que dans la plupart des pays du monde, les voyages officiels, et en fait toute depense afférente aux fonctions officielles, est prise en charge par l'Etat.
Ainsi, l'équipe de base-ball officielle cubaine, quand elle s'est officiellement rendue aux differents stades pour participer aux championats du monde de base-ball (où Cuba gagné la deuxième place après le Japon) les jouers n'ont pas dû payer le voyage de leur poche, ni leur équipemment.

n°8470188
Profil sup​primé
Posté le 22-05-2006 à 09:38:19  answer
 

http://www.legrandsoir.info/articl [...] ticle=3634
 
je met ce lien uniquement parce que je le trouve très intéressant
cubasicastrono, tu es déplorable dans ton attaque...
pourquoi en effet ne pas accuser tous les chefs d'état du monde, ainsi que tous les sportifs de haut niveaux? ils volent tous l'argent pour le déplacement? mdr....

n°8474608
csp
y'a quelqu'un ?
Posté le 22-05-2006 à 19:03:50  profilanswer
 

Le blocus s’étend à Internet
 
La Havane, 22.05.06 (ACN)  Le blocus étasunien contre Cuba, en vigueur depuis déjà 45 ans, est en même temps le plus prolongé de l’histoire et le plus vaste.
 
Il englobe tous les aspects de la société cubaine, ce qui a été démontré par Cuba à l’Assemblée général de l’Onu à travers des rapports détaillés.
 
Internet ne constitue pas une exception. Depuis 1996, lorsque Cuba a adhéré le réseau international d’ordinateurs, Washington a créé des difficultés diverses. Ainsi, Cuba n’a pas d’accès au câble à fibres optiques, qu’ils gèrent et qui est le support pour la transmission de la quasi-totalité des données.
 
Ce câble passe autour de l’archipel, mais c’est interdit qu’il touche les côtes cubaines, de sorte qu’il ne reste que l’alternative satellitaire, beaucoup plus lente, dont la qualité et la capacité sont inférieures et, évidemment, beaucoup plus chère.
 
La Maison-Blanche, dans sa campagne de propagande contre Cuba, cache ceci et met en relief, comme une agression aux libertés individuelles, les réglementations existantes à Cuba pour l’accès à Internet, étant donné les limitations techniques susmentionnées.
 
Ils ne parlent pas non plus du modèle choisi par Cuba, qui privilégie l’informatisation des services sociaux, notamment l’éducation et la santé, de sorte que les services Internet arrivent aux secteurs populaires les plus larges : 790 000 professionnels, médecins, enseignants et étudiants accèdent ainsi à Internet à Cuba.
 
Le Programme d’informatisation de la société cubaine avance soutenu par l’Institut des sciences informatiques, centre de hautes études doté de la technologie la plus moderne, avec 8 000 étudiants choisis en raison de leur rendement scolaire. Par ailleurs, 40 000 étudiants suivent des cours de niveau moyen dans des centres de formation dans toutes les provinces.
 
Voici les ressources humaines qui permettront, malgré tout, le décollage de l’informatique à Cuba.
 
-------------------------------
 
Service en langue française  
 
Agence cubaine d'information
 
frenchnews@ain.cu  
 
www.cubainfo.ain.cu


Message édité par csp le 22-05-2006 à 19:22:41
n°8484035
csp
y'a quelqu'un ?
Posté le 23-05-2006 à 18:39:11  profilanswer
 

Le 4 mai 2006, la revue Forbes a publié la liste des gouvernants les plus fortunés du monde. De la même manière que l’année précédente, Forbes inclut dans ce classement le président Fidel Castro, à qui il est attribué une fortune personnelle de 900 millions de dollars. Ainsi, le chef d’Etat cubain serait le 7ème dirigeant le plus riche de la planète. La presse internationale a immédiatement repris l’information pour la divulguer de manière retentissante et disproportionnée (1).
 
En 2003, Forbes attribuait déjà à M. Castro un butin personnel de 110 millions de dollars. Deux années plus tard, en 2005, la somme était subitement multipliée par cinq pour atteindre les 550 millions de dollars. Désormais, elle serait de 900 millions de dollars.
 
La presse internationale n’a pas daigné s’attarder sur la manière, fort révélatrice, dont s’effectue le calcul de la supposée fortune du président cubain, légitimant de facto les affirmations de la revue étasunienne. Forbes, en personne, avoue tout simplement que son calcul relève « plus de l’art que de la science ». En effet, jusqu’à 2003, Forbes se contentait d’attribuer, de manière arbitraire, une partie du PIB cubain, environ 10%, à M. Fidel Castro (2).
 
Pour ce qui est de 2006, Forbes « assume que [Fidel Castro] exerce un contrôle économique sur un réseau d’entreprises d’Etat, y compris le Palacio de Convenciones, un centre de convention près de La Havane ; Cimex, un conglomérat de ventes au détail ; et Medicuba, qui vend des vaccins et d’autres médicaments produits à Cuba. D’anciens hauts fonctionnaires cubains insistent sur le fait que Castro, qui se déplace uniquement dans un cortège de Mercedes noires, a tiré profit de ces commerces pendant des années. Pour arriver à un chiffre concret, nous utilisons une méthode qui calcule les entrées d’argent liquide pour évaluer ces entreprises, et ensuite nous avons assumé qu’une partie de ce flux de profits va à Castro (3) ».
 
La présentation de Forbes ne résiste pas à l’analyse et est parsemée de maladresses grossières. Tout d’abord, le Palacio de Convenciones est un édifice public où se tiennent les réunions de l’Assemblée nationale, les différents congrès internationaux, et il ne génère aucun revenu à l’Etat Cubain. Ensuite, Cimex et Medicuba sont des monopoles d’Etat. Il convient de signaler la législation cubaine ne permet pas aux particuliers d’être propriétaires d’entreprises de cette taille. Donc, si l’on suit le raisonnement de la revue, le président français, M. Jacques Chirac, serait multimilliardaire car il possèderait les entreprises nationales telles que La Poste, Air France, EDF-GDF et France Télécoms. Enfin, le magazine s’étonne que le président cubain se déplace dans un cortège de Mercedes qui, au passage, datent des années 1980. Sans doute, assume-t-il que le président Bush se déplace en taxi et que le président Chirac utilise le métro.
 
La revue admet ne disposer d’aucune preuve quant à d’éventuels comptes bancaires du président cubain à l’étranger (4). Forbes reconnaît également que la fortune attribuée à M. Castro est calculée de manière fantaisiste, et c’est la raison pour laquelle elle est passée de 110 millions de dollars à 900 millions de dollars en l’espace de quatre ans. Nul doute, qu’elle atteindra d’autres sommets en 2007 (5). Cependant, la presse internationale n’a pas hésité à divulguer l’information malgré son manque flagrant de crédibilité.
 
Quant à M. Forbes, qui lui-même est multimilliardaire, il n’est pas inutile de rappeler qu’il est proche des néo-conservateurs étasuniens en général et du président Bush en particulier. Il a été candidat à la présidence du parti républicain à deux reprises, en 1996 et en 2000. Il est également président d’honneur de la Fondation nationale cubano-américaine (FNCA), une organisation créée par Ronald Reagan dans les années 1980, dirigée par les descendants de l’oligarchie cubaine prérévolutionnaire. Celle-ci n’a de but que de renverser le gouvernement cubain par tous les moyens, y compris le terrorisme. Mais ces détails ont apparemment échappé à la sagacité des journalistes internationaux qui ont avalisé le rapport de Forbes sans aucune réserve (6).
 
De son côté, le président cubain a répondu à ces attaques en lançant un défi : « Je défie le président Bush, la CIA, les 33 services de renseignements des Etats-Unis, les milliers de banques qu’il y a dans le monde, les serviteurs de la revue Forbes, qui m’attribuent une fortune de 900 millions de dollars, de prouver que je dispose d’un seul dollar à l’étranger. [.] S’ils prouvent que j’ai un seul dollar, je renonce à mes fonctions et ils n’auront plus besoin ni de plans ni de transitions [pour me faire disparaître]. Je leur offre également toute cette supposée fortune s’ils trouvent une seule preuve. Pourquoi voudrais-je de l’argent, alors que je vais avoir 80 ans et que je n’en n’ai jamais voulu avant ? [.] Je ne suis pas né totalement pauvre. Mon père possédait des milliers d’hectares de terre. Au triomphe de la Révolution, ces terres ont été remises aux ouvriers et aux paysans (7) ».
 
Cette nouvelle campagne médiatique s’inscrit dans la stratégie de désinformation de la Maison-Blanche. La presse internationale n’est pas exempte de tout reproche. Par exemple, au lieu de participer à cette hystérie collective, elle aurait pu informer l’opinion publique que l’Etat de Floride vient d’interdire à ses universités de financer les échanges académiques avec Cuba, en adoptant une loi, que beaucoup d’universitaires considèrent comme étant illégale (8).
 
Dans le même registre, la ville de Miami veut interdire la présence d’un livre de photos d’enfants cubains, réalisé par M. George Acona, dans les bibliothèques municipales et scolaires car il serait idéologiquement orienté. En effet, le livre ose dresser des portraits de jeunes d’enfants souriants, blasphème la morale en soulignant que l’éducation et la santé sont gratuites à Cuba, et que les sanctions économiques étasuniennes portent atteinte au bien-être des Cubains, et de surcroît, commet même l’épouvantable crime de montrer une jeune fille souriante face à son gâteau d’anniversaire, alors que « qu’il n’y a même pas de bonbons et de farine pour faire un gâteau » à Cuba, selon les détracteurs du livre. Mais ce genre de censure n’intéresse pas la presse. En effet, la scène se passe dans le mauvais pays, c’est-à-dire aux Etats-Unis et non à Cuba (9).
 
Autre fait marquant, les Etats-Unis ont interdit à leurs boxeurs de participer à la 3ème Olympiade du sport qui se tenait à Cuba en avril 2006, alors que 153 pugilistes de onze pays étaient présents à La Havane. Cette flagrante violation de la liberté de mouvements de jeunes citoyens étasuniens n’a également ému personne au sein de la presse « démocratique » de la planète (10).
 
Le ministre de la Santé du Pakistan, M. Nazim Khan, a déclaré que le tremblement de terre du 18 octobre 2005, qui avait causé la mort de plus de 75 000 personnes, aurait été encore plus meurtrier sans la présence des médecins cubains. En effet, près de 2 500 médecins et personnels de santé, envoyés par le gouvernement de La Havane ont permis de soigner plus 1 700 000 victimes pakistanaises frappées par le séisme. Le président pakistanais, M. Pervez Musharraf, a tenu à remercier M. Fidel Castro et les médecins cubains qui ont exercé leur fonction dans des conditions climatiques terribles (en hiver, les températures frisent les moins 50°). La présence des professionnels cubains dans ce pays s’est achevée le 18 mai 2006, dans l’anonymat le plus total. En effet, les missions humanitaires cubaines, uniques au monde, n’ont jamais mérité l’attention de la presse internationale (11).
 
Qu’un allié de la Maison-Blanche tel que Forbes, lié à l’extrême droite cubaine, dont le voeu le plus cher est l’anéantissement du projet socialiste cubain, stigmatise M. Fidel Castro n’est guère surprenant. Par contre, le fait que l’ensemble des transnationales de l’information reprennent en choeur, avec une jubilation manifeste, une invention de toute pièce, uniquement pour discréditer les autorités cubaines et jeter un voile noir sur la réalité de l’Île, indique à quel point la déontologie journalistique a été jetée aux oubliettes.
 
Salim LAMRANI
 
Notes
 
(1) EFE, « Castro es el séptimo gobernante más rico », 5 mai 2006.
 
(2) Luisa Kroll, « Fortunes of Kings, Queens and Dictators », Forbes, 5 mai 2006.
 
(3) Ibid.
 
(4) Gerardo Reyes, « Castro : un millonario detras de la fachada », El Nuevo Herald, 21 mai 2006.
 
(5) Luisa Kroll, op. cit.
 
(6) Cuba Debate, « Cinci personalidades contra las infamias de la Revista Forbes : ’Las verdades reales son los hechos’ », 18 mai 2006.
 
(7) María Julia Mayoral, Pedro de la Hoz & José A. de la Osa, « Fidel desmiente a Forbes.¡Los emplazo a que prueben que tengo un solo dólar ! », Granma, 16 mai 2006.
 
(8) Joaquim Utset, « Prohíben a universidades de Florida financiar viajes a Cuba », El Nuevo Herald, 4 mai 2006.
 
(9) Ketty Rodríguez, « Nuevo libro escolar enciende más la polémica », El Nuevo Herald, 2 mai 2006.
 
(10) Granma, « EE.UU. niega permiso a sus boxeadores para asistir a Olimpíada cubana », 25 avril 2006.
 
(11) Granma, « Médicos cubanos impidieron en Paquistán una segunda ola de muertes », 19 mai 2006.

mood
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Posté le 23-05-2006 à 18:39:11  profilanswer
 

n°8484082
Ernestor
Modérateur
modo-coco :o
Posté le 23-05-2006 à 18:46:05  profilanswer
 

CSP, faudrait peut-être arrêter de prendre ce topic pour un clone de ton site :o
 
Bon, aller on ferme. Ce topic de toute façon est devenu le rendez-vous de nouveaux inscrits venant uniquement parler de Cuba sans s'intéresser aucunement au reste du forum ... Et comme on retrouve encore et toujours les mêmes fights stériles, on va en rester là.


Message édité par Ernestor le 23-05-2006 à 18:46:46

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Idéaliste pragmatique gauchiste cherche camarades pour fonder un parti
mood
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Posté le   profilanswer
 

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