Reprise du message précédent :

Oui le cholera au moins y a un traitement.

Ben pas moi.

 
Je me doute. Si j'étais célibataire, sans enfant, je ne me poserai pas la question plus de 5mn

 
C'est ce qui me semble le plus probable. Sinon tu fais comment? Carte de séjour? Obtention de la nationalité locale et installation sur place?

 
Si je partais pour la ville, je serais restée à Paris.

Visa H1B puis carte verte.
 
Mais je suis d'accord que ce n'est pas tout a fait la meme definition d'expatrie.

 
A Bordeaux, c'est pas la jungle d'une ville de bobos de gauche !    
 
http://www.sudouest.fr/2014/08/27/ [...] 8-4584.php

Et bien j'en connais un sur les 5 qui est donc revenu en France et a démissionné peu de temps après pour se faire embauché par le pays dans lequel il avait fait son expat.

EDIT : La norvège

 
   
 
Ca a le mérite de démontrer ta connaissance du sujet

C'est un processus extraordinaire parmi les gens qui vont bosser aux US?

 
 
Ce qui est extraordinaire, c'est de faire le raccourcis Expat = US

On est sur le topic convenablement...

Et puis :
 

 
Suisse et US 1 2.
 
Pas des pays pauvres ou on envoi des gens pour qu'ils gardent les clés.

Google Image me dit que ça représente le nombre de français dans les pays en question. Je m'étonne de ne pas voir "dans les chiffres" la fameuse explosion du nombre de français en Australie dont j'entends régulièrement parler.

Edit : Auto-tempérage C'est vrai que c'est l'un des pays pour lesquels ça augmente le plus. Mais je pensais que les chiffres seraient bien plus importants que ça.

Les français en Australie c est pas mal de pvt, je pense pas qu ils soient considérés comme expats

11 pages depuis 10h30 ce matin !???

Je suis en congé moi,  donc internet seulement quand les petits dorment

Question d opportunités.

 
Comme je l'avais dit au début en lançant le sujet, il y aura toujours des gens pour ne pas comprendre notre point de vue d'expat long-terme.
 
Les différences d'opinion existent toujours mais là on se trouve plutôt dans de la conviction nourrie d'obscurantisme de ceux qui n'ont jamais réellement mis les pieds en dehors de chez eux (je ne compte pas les vacances de 2 semaines en Italie) et font donc preuve d'une incapacité totale à se projeter.
 
C'est pas grave au final, mais il ne faut pas s'attendre à s'entendre ou se faire comprendre...
 

La preuve par l'exemple, j'ai envie de dire...
On parle d'impatriation, de malaise au retour. Une ressource intéressante (même si superficielle) d'une organisation travaillant dans ce domaine est postée, mais non, on ne lit pas plus loin que le titre.  
 
A ce niveau, c'est même plus la peine de discuter...

Tiens après un mois de vacances, de repos, de prise de recul et deux discussions avec mon DG plus tard.
J'ai fait un burn out.
Mon DG me propose de me "mettre au vert" jusqu'à la fin de l'année, de choisir une mission dans une zone de confort pour moi puis de réfléchir ensemble à ce que je vais faire à moyen/long terme.
Alors bien sûr le but c'est de ne pas me perdre, mais quand même, je trouve ça plutôt classe et intelligent de sa part    
Il ne me reste plus qu'à me trouver ou m'inventer un boulot pépère et intéressant dans la boîte. Je vais regagner un peu en convenabilité, on dirait.

 
C'est vrai que vu comme ça, tes loisirs (qui plus est pendant les vacances) n'ont pas l'air très fun    

 
Un employé qui ne compte pas ses heures, bosse le week-end et jour férié et est dévoué à son travail, tu le laisse pas partir comme ça même si y'a des dépressions qui viennent s'en mêler.

 
Comment on peut en arriver là pour son boulot ? Je comprends pas ... On vit pas pour travailler, on travaille pour VIVRE !
 
Désolé de le dire, mais ça m'a toujours énervé les gens qui en font beaucoup trop au boulot ...

C'est un peu simpliste, tu fais pas un burn out du jour au lendemain, ça suit un long processus, pleins de petites choses qui se greffent ensemble.

c'est un peu comme les gens qui pensent que la dépression n'est pas une maladie... Comme ils peuvent pas "palper" les symptomes ça n'existe pas. Sauf qu'au niveau bio il me semble que la dépression est visible sur certaines molécules de l'organisme, enfin bref cest un autre sujet.

D'accord avec ta première phrase par contre

 
Ca explique sans doute là où tu en es aujourd'hui  

Le slogan des fainéants
 
/BPP

T'as pas genre la trentaine, toi?

 
Et ? Je vis à l'étranger depuis que j'ai 22 ans, je pense qu'on peut commencer à parler de le long-terme, oui  

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Non.

Et puis le drame psychologique de quitter le poulailler hongkongais, hein...

 
Plaît-il ?    
 
Je considère que vivre plus du quart de ma vie (en comptant la petite enfance) et la majeure partie de ma vie d'adulte à l'étranger, ça devient du long-terme, oui.
 
Et toi, dis moi, combien de temps t'as foutu les pieds à l'étranger, qu'on rigole un peu de tes prises de position "éclairées" sur le sujet ?  

C'est bon c'est fini la cour d'école la?

Selon ma définition rien qu'a moi, ton cas relève plus de l’émigration familiale que de l'expatriation...

Allez, casse toi au lieu de continuer à t'enfoncer

En tout cas pas assez pour t'imprégner de la culture du respect de ton pays d'adoption à ce que je vois.

Faut lui pardonner, il a le mal du pays.

 
Et ?
 
Qu'est ce que ça change au niveau de l'expérience vécu ? Rien.
Si il retourne en france, émigration ou expat, le retour sera le même.

T'es vraiment à côté de tes pompes The NBoc.
C'est en partie à cause / grâce à des gens comme toi que je suis parti, je constate à l'envie que je ne regrète pas un seul instant ma décision.
 
Rien qu'à l'idée de devoir entendre ce genre de conneries dans le travail ou à la boulangerie, ça me déprime.

 
 
Pas toujours facile de souffrir la comparaison après, c'est sûr

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