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Auteur | Sujet : Arche interstellaire : les étoiles pour nos arrières petits enfants ? |
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Gilgamesh d'Uruk Lui-même | Reprise du message précédent : Message édité par Gilgamesh d'Uruk le 27-06-2014 à 14:57:22 --------------- Nation spatiale : la chaîne de l'Arche interstellaire. |
Publicité | Posté le 27-06-2014 à 14:56:29 |
Yog Sothoth Conchie les religions | Oui, enfin ça suppose que la culture nerd/voyageur/rêveur peut se transmettre efficacement de génération en génération sans que la culture beauf utlra dominante dans nôtre monde ne réémerge. Que faire si les jeunes décident de ne rien foutre, se droguer etc...
Message cité 2 fois Message édité par Yog Sothoth le 27-06-2014 à 21:53:29 |
Hive | Et si nous n'étions que des "survivants" de l'Arche ? |
Gilgamesh d'Uruk Lui-même |
Je ne me souvenais plus de ce passage
Message édité par Gilgamesh d'Uruk le 27-06-2014 à 17:14:22 --------------- Nation spatiale : la chaîne de l'Arche interstellaire. |
Gilgamesh d'Uruk Lui-même |
On est d'accord qu'il ne s'agit pas de se figurer qu'on puisse éradiquer la sottise, la paresse et l'inconséquence du corps social. Simplement qu'il est possible pour un temps arbitrairement long, comme dans nos société terrestre, de le maintenir sous un seuil qui les rendent supportables. Si on reprend le schéma socio-économique qui a été discuté ici, on a donc un statut d'activité mixte. L'arche implique premièrement un certain volume d'activité nécessaire pour la production d'énergie, et l'entretien de l'écosystème, de la structure et de la propulsion (même au cours du vol libre, il faut se garder la possibilité de remettre plein gaz pour une hypothétique manoeuvre d'évitement et on peut proposer pour garantir l'entretien des moyens et des compétence un exercice annuel, par exemple) Point intéressant pour la suite, le volume de travail dans ce but communautaire est fixe. Les archonautes ne peuvent pas faire moins que ça : j'ai tendance à penser qu'une communauté ne peut dériver que parce qu'elle peut se le permettre au temps t. Il existe des cas d'effondrement bien connu, mais il s'agit de sociétés inconscientes de la branche environnementale qu'elles scient progressivement. Dépassé un point de non retour, la branche cède : l'environnement devient stérile, et la société dépérit. Ici il s'agit d'un environnement entièrement sous contrôle. il n'y a pas d'une part la société et d'autre part son environnement, plus ou moins changeant plus ou moins capricieux qui lui donne ses moyens de subsistance. Société et environnement forment un Tout fonctionnel : l'environnement ne peut fonctionner sans la société et la société ne peut pas subsister sans l'environnement qu'elle entretient. On peut se représenter raisonnablement que cette union des deux se traduira par une imprégnation culturelle forte des devoir d'entretiens. Je n'imagine pas plus les archonautes laisser dépérir l'arche qu'un enfant oublier de boire. Les archonautes éventuellement peuvent ne faire que ça. La variable d'ajustement, leur permettant de faire autre chose, c'est la démographie. La population dans l'Arche peut varier quasiment sans dommage d'un facteur 10, entre 10 000 et 100 000 et peut probablement monter jusqu'à un millions mais pour aboutir état de surpopulation. A 10 000, chaque heure de la journée est dédiée aux tâche communautaires, la société forme un grand équipage toujours sur le brèche et personne n'a une minute à lui. A 100 000 on peut consacrer une partie de son temps à une activité libre, soit en pur loisir, soit pour créer de la valeur échangeable, de l'industrie et du commerce. La création de biens meubles accumulables et l'inégale répartition des aptitudes à les accumuler va produire forcément une ségrégation par la richesse. Le point intéressant est que structurellement, le facteur démographique est sous contrôle politique. Les archonautes peuvent collectivement ajuster la démographie au seuil voulu et donc décider par eux même quelle part de liberté est laissé à chacun pour créer des richesses. Message édité par Gilgamesh d'Uruk le 28-06-2014 à 20:57:18 --------------- Nation spatiale : la chaîne de l'Arche interstellaire. |
Gilgamesh d'Uruk Lui-même | Des essaims d'arches cannibales ...à la conquête de l'Univers
Imaginons qu'il faille environ 300 ans pour faire une arche. On n'est pas spécialement pressé. En 6000 ans, nous avons 20 générations soit 2^20 ~ 1 million d'arches. Et le front de progression (~ 1 année-lumière par siècle) n'a avancé que de 60 années-lumières. Il y a dans ce volume plus d'arches que d'étoiles, d'un facteur 100 environ. On peut reprendre le calcul avec des hypothèses beaucoup plus restrictives, mais si le temps de génération se compte en siècles il est assez prévisible que la croissance démographique excède rapidement le volume exploré. Il n'y a évidemment aucune contrainte interdisant à un système stellaire d'abriter cent, mille, voire un million d'arches. Elles peuvent même sur le papier toutes s'ignorer et former des mondes autonomes. Mais il est intéressant de constater que bien avant d'atteindre ne serait ce qu'un cent-millionième du volume galactique on dispose d'une telle profusion, sans forcer la dose. Cela rejoint une autre réflexion. La puissance propulsive représente environ un million de fois la puissance d'entretien. Pour éclairer l'arche et entretenir la vie, il faut brûler de l'ordre d'un gramme/seconde de carburant. Pour lui donner une accélération de l'ordre du mm/s² et lui faire atteindre c/100 puis la freiner en un siècle il faut brûler de l’ordre d'une tonne/seconde. Le trajet d'une arche consiste en une phase d'accélération, une phase de vol libre, et une phase de freinage. Appelons durée propulsive la phase d'accélération et de freinage et durée quiescente le vol libre. Si on augmente de un millième le volume de carburant, on augmente de mille ans la durée quiescente. Si on la double, on l'augmente d'un million d'années. Un millions d'années cela semble trop pour une seule arche. D'une part elle est faite de matériaux volatiles (de l'eau essentiellement) et en une telle durée on va obtenir une momie d'arche. D'autre part la civilisation a l'intérieure est contrainte démographiquement à moins de un million de personnes en interaction proche. Les fluctuation de l'Histoire au sein de cette population restreinte risque fort de l'amener à zéro, nombre au delà duquel il n'y a plus de futur. Mais pour un million d'arches ? Alors toutes les contraintes s'envolent. Un essaim d'arche constitue une solution viable à ce double problème, à condition de s'astreindre à un cannibalisme ordonné. Prenons un millions d'arche réparties dans une sphère d'un siècle lumière de rayon (soit pas loin en gros d'une hauteur de disque galactique, pour le disque fin), au bout de disons 10 000 ans. Une telle distance autorise encore une coordination des actions. Elles se fixent entre elles des points de rendez-vous successifs de sorte qu'aucune n'ait à voler en solitaire plus d'un millénaire en direction d'une autre galaxie. Disons un des Nuage de Magellan situé à 180 000 années lumières. Soit un trajet qui se chiffre en dizaines de millions d'années mais au sein d'un essaim d'un million arches solidaires et cannibales. Le cannibalisme dont il est question implique que dès qu'une arche devient inhabitable parce qu'elle a trop perdu d'eau ou d'homme, elle fusionne avec une voisine située à moins de quelque jours de trajet voir moins si elles se sont coordonnées. Et que l'arche de destination recueille en même temps l'ensemble de la matière de l'arche moribonde : homme, eau, matière organique, métaux, carburant : tout, sans exception. Les arche évoluant à la même vitesse et l'accélération moyenne étant nulle, bien que l'hôte voit sa masse doubler l'opération est blanche. Si ce n'est que le surcroît de carburant permet de redonner un gain de vitesse, en gardant le nécessaire pour le freinage. il est prévisible que de la sorte les arches deviennent obèses mais ça n'a rien de problématique, même au plan mécanique. Le bouclier carburant peut décupler de masse sans problème. Cette masse additionnelle ne posera problèmes qu'au moment de la phase de freinage, c'est à dire un demi-siècle avant l'arrivée et il sera temps alors de s'en débarrasser. Entre temps, elle sera comme une assurance vie matérielle que l'arche transporte au devant d'elle. Si vraiment il y a excès, cette masse peut être laissé dans l'espace et d'autre arches sur le trajet dans la Grand Vide pourront en tirer profit. Au plan démographique, l'hôte voit également sa population doubler, mais la population est une variable contrôlée en routine dans le cadre d'une nation spatiale archéenne, en moins d'un demi millénaire on redonne à la population l'effectif voulu sans violence, ni contrainte excessive. A l'échelle du trajet les arches fusionnent les une après les autres sans que rien ne change en leur sein, si ce n'est un surcroît de masse et de vélocité. Cette immense population d'arche représente initialement une surface et une population équivalente à celle de la Terre. On peut imaginer structurer tout ceci de manière assez fine pour rendre impossibles des contagions fatales, qu'il s'agisse de contamination biologique ou de violences politiques, en structurant le million d'arche en mille essaims de mille, séparés par un siècle de trajet. On peut même proposer des les séparer au plan de la diffusion d'information, par exemple en fixant qu'un essaim corresponde avec ne fréquence décroissante aux différents essaims et en garder un qui se renouvelle tous les mille ans et qui ne communique avec aucun autre durant cette durée. Et dans un essaim de mille on dispose d'un nombre suffisant pour par exemple ne consacrer une arche qu'à un seul écosystème donné, et permettre aux archonautes de vivre d'une arche sur l'autre. Il faudra ici assurer des aller retour d'une arche sur l'autre qui se fassent en des durées confortables (moins d'une demi journée) sans éjection de matière, car toute matière dispersée dans le vide réduit la durée de vie intrinsèque d'une arche. Tous les siècles, la Galaxie se peuplant va envoyer une nouvelle salve de centaines puis de milliers d'essaims d'arches, de sorte qu'on se garantisse que toute arche trouve une consœur à moins d'un siècle de trajet. Sans rien changer du mode de construction, sans surdimensionner l'appareil propulsif ou la consommation de carburant initiale, sans bouleverser le mode de vie interne, sans excéder l'esprit d'aventure qui préside à la conquête initiale au sortir du Système solaire et en se fixant une organisation d'essaim très légère mais bien pensée, on peut ainsi passer d'une aventure galactique à une aventure universelle. Message édité par Gilgamesh d'Uruk le 26-07-2014 à 04:32:23 --------------- Nation spatiale : la chaîne de l'Arche interstellaire. |
tarator | Ok. |
toninus tête de cône | Et quand la galaxie est pleine d'arches mais avec seulement 3 planètes habitables et défoncées pour en piller toutes les ressources on fait quoi ? |
Gilgamesh d'Uruk Lui-même |
Message édité par Gilgamesh d'Uruk le 01-10-2014 à 17:43:18 --------------- Nation spatiale : la chaîne de l'Arche interstellaire. |
Hunters |
Publicité | Posté le 16-09-2014 à 19:10:26 |
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Gilgamesh d'Uruk Lui-même | Pour l'instant, je prie les grands dieux de l'Egypte pour que Philae parviennent à analyser chimiquement la comète Tchouri. C'est à partir de ce genre de matériau qu'il serait possible de faire pousser le corps de l'Arche, et une première avancées serait de disposer de données précise sur la composition des glaces (et de la poussières). Notamment concernant la richesse en molécule carbonées et azotées. --------------- Nation spatiale : la chaîne de l'Arche interstellaire. |
Profil supprimé | Posté le 15-11-2014 à 16:24:14 |
Gilgamesh d'Uruk Lui-même | Hello et welcome S'il y a une chose que les archonautes ne peuvent ignorer, c'est leur futur : contrairement à nous, ce futur est déjà écrit et personne ne peut le dévier de ses grandes lignes. L'Etoile est devant eux et ils connaissent exactement l'année où il va falloir inverser la corolle, remettre les moteur en route, quelle sera l'accélération de freinage, et sa durée. Cette année adviendra dans plusieurs siècles aussi surement que le soleil revient le matin. Ils disposent de tout ce qu'il faut pour observer le but avec la capacité à mettre de grandes paraboles sur l'avant (avec un diamètre qui pourrait dépasser le km, si on veut ), adossée au bouclier carburant, en microgravité et en environnement cryogénique : tout ce dont on peut rêver pour faire de l'astronomie. Par ailleurs, je ne pense pas qu'un tel voyage puisse s'entreprendre sans avoir reconnu au préalable le système. Le trajet de l'arche se fait à ~c/100 pour des raisons de disponibilité du carburant et de puissance motrice. Mais on peut imaginer propulser au préalable depuis le système solaire des milliards de nanosondes à c/10 à coût énergétique raisonnable avec un guidage laser de la trajectoire. Au bout d'un siècle les sondes renverraient des résultats difficiles à mesurer à distance comme l'allure du champ magnétique, le sondage sismique et l'analyse chimique de la surface des différentes planètes et petits corps du système candidat. Donc dans l'idée : on ne s'embarque pas vers l'inconnu et on continue de l'observer activement pendant tout le trajet. Je pense que tous les petits écoliers connaîtront le nom et l'ordre des planètes du système de destination et seront familiers de leur allure générale. Et par ailleurs, la relation active avec la Terre continue. L'arche communiquera officiellement avec la Terre et chaque archonautes pourraient avoir un genre de relation épistolaire privilégiée avec un terrien, citoyen de la nation spatiale, membre de sa famille, ou autre. Certes, l'échange de courrier prendrait une durée inexorablement croissante : des mois, puis des années, mais c'est le rôle de l'institution et de la culture de permettre de telle choses. Message cité 1 fois Message édité par Gilgamesh d'Uruk le 16-11-2014 à 12:45:37 --------------- Nation spatiale : la chaîne de l'Arche interstellaire. |
Profil supprimé | Posté le 15-11-2014 à 17:41:17
merci pour la réponse tu penses à tout c'est pas possible discussion très intéressante en tout cas, ça fait rêver edit : je reprend depuis le début du topic, j'ai du temps à rattraper Message édité par Profil supprimé le 15-11-2014 à 17:43:45 |
Profil supprimé | Posté le 15-11-2014 à 18:06:25 et si on modifie l'adn de l'arche afin qu'elle se décompose ? je retourne page 7 edit : je vois que de toute manière tu entrevoies également l'échec de la mission, c'est un point positif et donc ma question remarque n'a plus vraiment de sens Message cité 1 fois Message édité par Profil supprimé le 15-11-2014 à 18:08:36 |
Gilgamesh d'Uruk Lui-même | Disons que c'est un peu comme demander ce qui se passerait si on modifiait l'adn d'un forêt, on ne vois pas bien concrêtement comment s'y prendre Note qu'en fait, si y'a un moyen que j'envisage à ce sujet, pour stocker de l'information dans les cellules de l'arche. Y'a en gros 1e23 cellules. Le génome représente quelque Go d'info, et y'a une grande partie de séquence non codantes là dedans. On peut bien imaginer mettre 10 Mo d'info anthropique par cellule, soit un truc comme 1e30 octets, ce qui représente plusieurs milliards de fois le volume d'info stocké actuellement sur Terre. Vu que pour l'Arche on se projette dans quelques siècles, ça pourrait représenter quelque chose comme la totalité de la mémoire terrestre sans redondance au moment du départ, en un millier d'exemplaires répartis sur toute la structure (pour éviter les pertes accidentelle). Cette mémoire serait peu dynamique (temps d'accès long), ce serait une mémoire de stockage complètement éclatée mais l'idée c'est que l'Arche partirait avec tout ce qu'il est possible d'emporter de la Terre sans surcoût énergétique.
Message cité 1 fois Message édité par Gilgamesh d'Uruk le 16-11-2014 à 12:42:38 --------------- Nation spatiale : la chaîne de l'Arche interstellaire. |
Gilgamesh d'Uruk Lui-même | C'est un des menus intérêts d'avoir un sol en flottaison sur une surface liquide. L'océan prend une pente du fait de l'accélération, et pour ceux qui flottent dessus, la verticale (composée des vecteurs accélérations centrifuge et linéaire) est toujours normale (perpendiculaire) à la surface. L'accélération maximale est donnée par la pente maximale de l'océan, elle même définie par sa largeur (de la poupe à la proue), par sa profondeur et par le tirant d'eau des caissons : si la pente est trop importante, les caissons situés en proue vont racler la paroi. Message cité 1 fois Message édité par Gilgamesh d'Uruk le 16-11-2014 à 12:41:02 --------------- Nation spatiale : la chaîne de l'Arche interstellaire. |
Hunters | Vraiment pas con |
Profil supprimé | Posté le 16-11-2014 à 15:04:30
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Gilgamesh d'Uruk Lui-même |
POUQIE pouqie |
--------------- salut c pouqie |
toninus tête de cône | http://fr.wikipedia.org/wiki/Force_d%27inertie
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POUQIE pouqie | ok je capte mieux
--------------- salut c pouqie |
Gilgamesh d'Uruk Lui-même | L'accélération centrifuge g est du au fait que le vecteur vitesse change *de direction* en chaque instant, ce qui implique une accélération, d'autant plus que la vitesse est grande et le rayon de courbure de la trajectoire petit : g = v²/R si on considère plutôt la vitesse angulaire w, on a : Le vecteur accélération centrifuge est perpendiculaire à la surface et on choisit w de telle sorte que g = g0 = 9,8 m/s². Le vecteur accélération linéaire a est parallèle à la surface et varie avec la masse de l'Arche M et la poussée F. a = F/M Il est minimum au départ, et augmente progressivement au fur et à mesure que la masse de carburant diminue. A la fin de l'accélération, sa valeur est de ~4 mm/s². A l'extinction des moteurs pour la longue phase de vol libre, il s’annule. Une quarantaine d'années avant l'arrivée on rallume les moteur et sa valeur est de -4 mm/s² et augmente jusqu'à sa valeur maximal d'environ -9 mm/s² à la fin de la phase de freinage, quand tous le carburant est consommé. L'angle que fait l'océan avec le l'axe de rotation est Et la différence de profondeur entre la proue et la poupe est en fin d'accélération la différence atteint 4 m et en fin de freinage 9 m (dans l'autre sens). C'est un ptit peu élevé pour la fin, faudra voir à doser un peu la pédale de frein Message édité par Gilgamesh d'Uruk le 19-11-2014 à 05:53:07 --------------- Nation spatiale : la chaîne de l'Arche interstellaire. |
POUQIE pouqie | ok merci l'ami je vois mieux --------------- salut c pouqie |
Gilgamesh d'Uruk Lui-même | Pour le mediawiki qui plante, j'ai ce genre d'erreur PHP faut que j'upgrade la version... grmbl... Message édité par Gilgamesh d'Uruk le 18-11-2014 à 18:21:13 --------------- Nation spatiale : la chaîne de l'Arche interstellaire. |
Profil supprimé | Posté le 18-11-2014 à 21:00:21 |
Gilgamesh d'Uruk Lui-même | Sur la croissance de l'Arche : pipeline spatial L'idée initiale consistait à extraire des glaces planétaire à l'aide de mineuses cad d'engin mobile autonomes qui vont engloutir de la glace et la raffiner grossièrement pour séparer la glace d'eau, de CO2, de CH4, de NH3, etc Ensuite dans l'idée les différentes glaces étaient stockées sous forme de grands blocs gelés à expédier en orbite, direction une arche en croissance, orbitant à distance. Dans un des scénario l'arche croissait même en orbite terrestre et il fallait désorbiter les glaces de 5,2 à 1 UA. Je pense maintenant à un scénario plus direct. Imaginons un troyens gelé, comme avant, et une arche cette fois en orbite géostationnaire autours, avec un ombilic de quelque dizaine de km la reliant à la surface de l’astéroïde. Au pieds de ce mini ascenseur spatial, en fait un pipeline spatial, un raffinerie à glace avec une grande tour de fractionnement et une grosse génératrice de vapeur sous pression. La vapeur circule dans des conduits mobiles à la surface de l'astéroide sur quelque dizaine de km jusqu'au point de forage où on injecte le jet de vapeur dans des puits pour recueillir en retour de la glace planétaire vaporisée, direction la raffinerie. Le pipeline spatial comprend disons une douzaine de tube qui envoie les différents composants prétraités pour former le liquide nutritif des parois (eau + KNOP), l'eau océanique (eau + NaCl + autre sels dissous), des boues liquides qui vont former les sols de l'arche, les gaz de l'atmosphère. Message édité par Gilgamesh d'Uruk le 06-12-2014 à 16:50:58 --------------- Nation spatiale : la chaîne de l'Arche interstellaire. |
Schimz Bouge pas, meurs, ressuscite ! |
SebPeps | |
masklinn í dag viðrar vel til loftárása | D'une ça a pas des masses de sens, tu retournes à un endroit quand c'est physiquement faisable, la majorité des gens qui se sont barrés aux US ou en Australie au 19e et début du 20e ne sont jamais "rentrés au pays", ils n'en avaient tout simplement pas les moyens (et pour beaucoup, probablement pas le désir non plus). L'arche c'est pareil quand le truc est barré depuis 1 génération, il n'y a tout simplement pas moyen de rentrer visiter la terre. Tu peux essayer d'aller y faire un tour, tu vas juste te retrouver a flotter dans le vide. De deux, un natif de l'arche n'aurait probablement pas passé sa vie à 1G de moyenne et prendrait très très cher à la descente. De trois, ce serait pas une "planète pleine de merveilles" ce serait un trou insalubre dans lequel on se marche dessus. Message cité 1 fois Message édité par masklinn le 05-02-2015 à 14:17:16 --------------- Stick a parrot in a Call of Duty lobby, and you're gonna get a racist parrot. — Cody |
Schimz Bouge pas, meurs, ressuscite ! |
--------------- çà s'est HFR | Music for the Galaxy |
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