Reprise du message précédent :

 
Ah mais non, j'ai refusé et elle m'a fait des feuilles de maladie et sans dépassement d'honoraires

T'as pris l'ordonnance pour les médocs en lui disant que c'était la dernière fois que tu la voyais j'espère ?

edit : ah non ok, vu
Bah du coup, thérapie ou pas ?

 
Eh. Non le soucis c'est que je ne sais pas du tout quelle genre de thérapie serait idéal.  
Sûrement une thérapie comportementale cognitive. Mais j'y connais pas grand chose là dedans. Puis on est jamais sur de la compétence de quelqu un.

Les TCC c'est plus pour des problèmes spécifiques, genre attaques de panique, dépendances, phobie sociale etc. C'est plus concret et plus court comme thérapie, mais ça ne convient pas à tout le monde.
Après c'est sûr qu'à part le bouche à oreilles, c'est difficile de trouver quelqu'un de bien du premier coup. Perso j'ai déjà 2 rdv avec 2 psychologues différents, ça va être une vraie perte de tunes mais bon, c'est le prix à payer pour trouver quelqu'un avec qui le feeling passera

 
Oui, mais elle était nulle, je l'ai vue un bon moment parce que pas le courage de chercher un autre psy, mais j'ai fini par arrêter parce que ça ne m'apportait vraiment rien.  
 

 
Tu peux lire ce genre d'articles, il y en a plusieurs sur le sujet sur leur site et même un annuaire des psys :
http://www.psychologies.com/Therap [...] ir-son-psy

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Ça parle à quelqu'un la psychologie adlérienne? la psy que je vais voir bientôt a l'air d'être portée sur ça.  
 
Bon sinon hier soir j'ai pris un rivotril en désespoir de cause pour dormir. Au bout de 2h, vers minuit, je commence à me sentir planer un peu, je me dis que c'est le moment d'aller me coucher. J'ai dormi... 2 heures. à 2h, impossible de me rendormir. Aucune fatigue. Du coup j'ai bien cogité. À 3h30 j'en ai eu marre j'ai pris un vératran. J'ai bien dormi jusque 7h.

Je ris, mais dans le sens où "ok "
 
 
Là je ris, mais dans le sens "ah ah ah "
 
@megumi : dernièrement je vais me coucher le plus tard possible, ou alors je me lève tôt (genre 5h du mat en allant me coucher vers les minuits). C'est pas top, mais au moins ça m'évite de cogiter.
J'avais essayé un peu le dornomyl sur 1 semaine, ça fonctionnait mais dès que je me réveillais, je cogitais, donc ça marchait bof.
Après quand au choix de telle ou telle méthode, ben là je dirais que c'est un peu comme la cuisine : faut goûter pour savoir  
Les descriptions qui peuvent être donnés (comme ici), j'ai lu et relu 2 fois, ça m'a l'air pas mal pour ce qu'il me faudrait aussi, mais après je ne suis pas calé dans le domaine pour savoir si c'est OK ou si j'ai juste besoin de parler. Car depuis que je parle à des amis, la pression qui était en moi se libère, même si j'ai encore eu des contrariétés supplémentaires venant d'une autre personne qui elle, s'enfermait totalement et préférer gueuler sur des choses totalement futiles plutôt que de dire "j'ai ça qui va pas, j'ai ça aussi, ça aussi, etc etc, et toi tu m'en as ajouté une couche", en se concentrant sur "toi tu m'as dit ça" en fermant toute discussion.
Alors que ce qui je lui ai dit, je l'ai mal dit par accident, que ce n'était pas voulu de ma part.
Et elle a préféré fuir plutôt que de parler. Et elle engueule ses amis pour des futilités.
"Bah ok, tu veux pas parler, restes dans ton coin", c'est ce que je pense de cette personne.
 
Perso j'ai pas forcément besoin d'une analyse sur la petite enfance (même si ), mais surtout de l'écoute. Et ça aussi c'est pas facile de trouver quelqu'un qui va pas faire séance de 20minutes/60€/médicament.

Je te déconseille le sevrage brutal, je l'ai fait deux fois ( ), et je ne recommencerai pas
Tu ne peux pas voir un généraliste ?

Depuis presque 2 mois j'avais un traitement fixe Dépamide (un matin, un soir) + Xeroquel 100mg le soir ( + Xanax pour dormir), et ça allait super bien, voire un peu trop bien.
 
J'suis retournée voir le psy pour un renouvellement de traitement, j'lui ai raconté ma nouvelle vie débridée depuis que je suis sortie de l'hosto et que j'ai repris le boulot. Il m'a dit "ohlalalala mais vous êtes beaucoup trop haute, faut calmer tout ça"
 
Du coup il a triplé ma dose de Xeroquel, doublé ma dose de Dépamide et doublé ma dose de Xanax.  
 
Depuis je dors 18h/jour et j'ai plus envie de rien (Bon ça fait juste 48h). Je change (encore) de psy ou je reste condamnée à avoir toutes mes émotions lissées dès que je suis en période haute ?

Tu vas mieux, donc plus (+) de médocs ? Vive les vendeurs de bonbons...

Sur le constat qu'elle est trop haute le doc a ptête raison non ? (elle a utilisé le terme "débridé" )
Après pour le dosage c'est une autre histoire  

 
période haute ? t'es bipolaire    
ta vie débridée c'est quoi  

Elle est parti la conductrice de taxi ?    

(Pas quoter, merci)

J'ai l'impression que la psychanalyse ne fait que remuer la merde que je veux maintenant oublier pour de bon.
L'impression qu'il ne me sera jamais possible de passer à autre chose.

Je vois mon histoire se répéter encore et encore, les protagonistes changent mais le résultat reste à chaque fois le même.
Je m'attache émotionnellement à des gens, mais ce n'est jamais réciproque.
Je n'arrive pas à accepter que je ne reverrai plus certaines personnes qui ont tant compté pour moi.

Seul. La solitude me rattrape systématiquement, dès que quelque chose de positif pointe son nez.

.
.
C'était le message d'un insomniaque.

Tu ne veux pas essayer un truc qui marche ?
 
Sinon N-ième week-end sans voir personne, avec abus de substances diverses  . Je crois que je vais contacter un service d'addictologie dans la semaine, c'est ça ou je ne sais pas comment tout ceci va finir.

Faut dire de base une psychanalyse c'est fait justement pour remuer ce qui ne va pas, de manière à s'en détacher.
Ton histoire qui se répète encore et encore, c'est qu'à la base il y a dans ton attitude quelque chose qui ne va pas. Chose que ton psy aurait dû voir et te faire réfléchir dessus.
Là go en lui en parler, ou voir pour en changer.

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si tu avances pas il faut en parler à ton thérapeute, en parler, attendre, éventuellement changer par la suite
après faire le deuil de certaines personnes c'est le travail d'une vie, ça laisse des cicatrices, je pense qu'il y a des deuils impossibles à faire
on apprend juste à mieux vivre avec et cela nous affecte moins au bout d'un moment
 
la psychanalyse je pense que ça marche sur des trucs bénins, pas plus
 
et c'est aussi normal d'avoir l'impression de stagner faut pas vouloir aller trop vite non plus
je connais pas ton histoire mais c'est plus ou moins habituel que ça prenne du temps
 

Bonne putain de st valentin les namoureux
 

Trompé de topik

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Moi aussi, depuis deux semaines jour pour jour.

OSEF, je m'en bats les reins avec le Seroplex et j'irai boire un verre ce soir

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Il paraît    
 
 

 
Franchement, maintenant je trouve ça suicidaire de vouloir étouffer les périodes hautes. J'en suis qu'à quelques jours du nouveau traitement, ça fait des mois que j'avais pas été aussi mal.
Déjà, le simple fait de pas pouvoir me lever avant 14h me met un coup au moral dès le réveil...  

Chui complètement en roue libre.

Salut
 
Vous pensez qu'un medecin généraliste peut prescrire des AD/anxio ? J'ai essayé d'avoir un rdv avec un psychiatre (au hasard dans l'annuaire) mais ils sont tous en congés/répondent pas au téléphone. CMP me propose un rdv.... Le 10 mars. Je suis pas certain de tenir jusque là (dans le sens "péter un plomb).

oui, sans problème
ils le font souvent

Super merci, j'essaie d'y filer demain.

 
Mais au moins t'es là
 
Ca va mieux ?

 
Rha ça me rend triste d'être mise sous contrôle quand même... Même si les conséquences sont fâcheuses (moi aussi je dépense trop mais comme j'ai un salaire minable je suis pardonnée, ça reste relatif )
Le problème principal, c'est que j'ai toujours pas de psy. C'est un nouveau psy que j'avais jamais vu, qui en 20mn de consult a triplé mes doses, j'avais de nouveau RDV avec lui aujourd'hui, et du coup j'y suis pas allée... Je vais reprendre mes anciens dosages et aller voir mon généraliste pour qu'il m'en conseille un autre.  
 
Avec les nouveaux dosages j'me suis tapée des petites hallucinations auditives comme à l'époque où j'essayais de me sevrer du Valium, c'était fuuuun.

Je comprends pas le problème d'être trop "haute". Ton psy a peur que tu retombes de plus haut?

Vendeur de bonbons

faut payer l'essence de la Porsche, ça suce ces bolides

Comme dirait Coffee monster, ce sont les conséquences le problème. Financièrement d'abord, et pourquoi pas sur la santé, et relationnelles... et éventuellement professionnelles

Qui nous fait un diff entre le DSM 4 et 5 ?
 
XaT

pas plus qu'une camaro V8 SS de 2016    
Mais bref.

Une période haute, ça correspond à de l'euphorie +++ ?

Les phases up, elles m'ont manqué un an ou deux, mais putain avec le recul je regrette pas de m'en être débarrassé également.

Faut déjà en avoir vécu pour comprendre.

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