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ok merci beaucoup. Le lysanxia je vais diviser par deux alors.

Ca existe les contres coups suite à l'arret ? Plusieurs semaines apres ?
 
Il y a 1 mois et quelque, arret du traitement de mirtazapine.
Pendant 10 jours environ, prise parfois de 1/4 ou 1/8 des 2 maigres cachets qu'il me restait.
 
Et la on va dire depuis 10/15 jours j'ai rien pris du tout.
Et j'ai un peu les trucs que j'avais il y a 1 an (avant le traitement) qui reviennent. 0 sentiments de faim. Un peu nauséeux au reveil. Ca part au fil de la journée mais je suis toujours dans un etat "malade", pas au top.
 
Donc j'avoue pas trop savoir comment le prendre.
Si c'est normal et passager.
Si c'est la meme merde qui revient.
Si c'est autre chose mais avec symptomes similaires.
 
Casse couille en tout cas.
 

J'ai eu pareil après l'arrêt de traitement.  
Pas faim, chute de poids et sommeil de merde.
Les choses redeviennent normales après quelques semaines.

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C'est beaucoup trop. Il faut vraiment le faire par paliers et sur des durées assez longues. Sans avis médical, c'est vraiment pas une bonne idée

Pas grave. Mais je te remercie quand même pour ton avis.

Jamais trouvé que les AD me fassent tant de bien que çà, ils "endorment" ou "filtrent" les sentiments, bon comme mauvais mais c'est tout de mon coté...
 
Je ne suis ni vraiment malheureux, ni vraiment heureux, rien ne me touche vraiment, alors oui j'ai pas ou peu d'angoisses etc... mais j'ai perdu tout le reste aussi, le plaisir de pleins de petites choses etc.
 
Quand au coté "motivation/coup de pied au cul" des AD, jamais j'ai ressenti un regain de motivation avec, au contraire ils sont super pour oublier que le temps passe et que tu ne fais rien pour changer
 
Après ce c'est que mon expérience et non pas une généralité, peut-être que çà fonctionne mieux pour d'autres  

oui mais non fait pas le sevrage de AD plus du lysanxia en même temps, tu va morflé sévère    prend ton temps  
 
ça fait quelques jours que je te lis, je m’inquiète pas mal de ton état, fait attention

Merci à toi. On se tient au jus de la suite des événements.

Pas de connerie ? parle si ta besoin  

J'arrive après mais je ressens bien ça :  
 

A me faire des films sur le futur en me disant que pleins de choses seront mieux. En vrai je n'ai pas un jugement lucide sur ma situation, ça me réconforte et m'empêche d'agir plus qu'autre chose.
 
Depuis que j'ai vu mon psy je "fonctionne" beaucoup moins comme ça.
 
 
Et aussi ça :  
 

Le soir après une journée reposante je suis bien lucide sur mon état, ce que j'aimerais faire et changer dans le futur. Après une nuit de sommeil, plus rien...
 
 
à ceux qui diminuent les médocs.

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Pas de loisirs en dehors ? Ciné/Théatre/Cours de sénégalais/Assemblage de puzzles/Sport ? Ca permet de voir un peu de monde. Sauf quand t'es défoncé h24, certes.
 

Ben ça peut servir et avoir une utilité. D'autres ont répondu avant moi Mais je me balancerai sans doute au bout d'une corde sans traitement.
 
 
Tu vas en chier. Pire idée jamais

 
Je me dis que comme les gens en dépression n'en parlent pas, tous le monde est plus ou moins en dépression.

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je comprends cette sensation.
Profites-en.

Ma psy hésite à me refoutre sous AD mais à visée anxiolytique cette fois
Faut vraiment que je me foute au sport
 
XaT

Après un premier rendez-vous chez une psychiatre, j'ai toujours du mal à réaliser que ce soit une maladie, mais j'ai été diagnostiqué bi-polaire, comme nombre d'entre vous ici je suppose.

Elle m'a filé du dépakote 250mg (un le matin, un le soir) et je doit dire que ça " fonctionne " plutôt bien.

Mais du coup, comme lu plus haut, j'ai le sentiment d'être lisse au niveau sentiment et humeur (Oui, je sais, c'est le but...) et c'est pas forcement agréable, d'autant plus que j'ai quand même des petits down de temps en temps sans avoir les UP.

Par contre je suis en même temps un traitement de tramadol qui me rend euphorique et ça aide pas mal !

Bref, c'est quand même la misère...

Et XaT, perso pour le sport évite la salle si la routine te plombe le moral, c'est encore pire !

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Je suis pas du tout dans cette optique, je préfère largement m'isolé (balade en forêt ou autre), j'arrive pas du tout à faire abstraction des gens qui m'entour    
Je continuerais quand même, mais uniquement pendant les UP, sinon j'irais jamais !

Les balades en foret m'emmerdent, donc chacun son truc     Et pourtant j'adore la nature, mais pas dans une optique de promenade.

Moi j'ai besoin de me défouler, pour d'autres ce sera se changer les idée ou se détendre. Y a une grosse nuance, même si l'origine (état dépressif majeur) peut être commune. Finalement ça dépend du tempérament de chacun.

 
Essaie le detecteur de metal en forêt  

C'est si intéressant que ça? Vous trouvez des surprises?
Y a un topik là dessus?

C'est plus qu'intéressant si tu accroche ca va vite devenir ta raison d'etre et de te bouger fait moi confiance.  
Il y a un topic ici mais il est un peu mort mieux vaut aller sur les forums spécialisés comme detecteur.net

 
Non clairement pas, j'ai arrêté une semaine, c'étais la misère, fatigué, difficulté à ce concentré et baisse de motivation !
 
Mais ça aide tellement !!

J'sors de mon sous-marin pour venir poser des questions sérieuses (pour un ami  )
 
- Vous dites comment à un psychiatre que vous voulez arrêter de le voir et changer pour un autre ? Est-ce que y'a un transfert de dossier ?  
- Si on arrête d'un coup un traitement de 15mg de prazépam/jour, on souffre combien de temps ?

Pourquoi souhaites tu arrêter avec lui ?
Si tu diminues les doses progressivement, je dirais d'une semaine à un mois "d'adaptation"

- Tu as juste à lui dire que tu souhaites arrêter car tu as besoin de voir quelqu'un d'autre, et tu peux lui demander de faire une lettre à son confrère, ton nouveau psychiatre.
- La dose n'influence que très peu la durée de sevrage en général, c'est pourquoi il est important d'établir un protocole d'arrêt progressif

Parce que je lui crachais 100 balles toutes les semaines depuis 9 mois
- que les rdv servent pas à grand chose (la dernière fois elle m'a répondu "je sais pas quoi vous dire" alors que je venais de lui annoncer un truc assez grave)
- qu'on a jamais discuté les 136 diagnostics qui ont été faits à mon égard avant que je la vois
- qu'elle me faisait des ordonnances sur demande et me laissait me constituer mon petit stock de benzo/neuro/AD sans jamais me donner aucune indication sur la posologie, les doses...  
- que la dernière fois qu'elle m'a demandé confirmation pour le prochain rdv, j'ai dit que je n'avais pas les moyens de payer la consultation suite à changement de situation pro et... elle a pas répondu  . Et puis, silence radio. J'ai pas envie d'y retourner, et de toute façon j'ai pas les moyens.  
 
Faut que je trouve quelqu'un d'autre et pour le moment je trouve pas, et je suis bientôt en rade de benzo.  
J'ai arrêté brutalement les AD et le Tercian sans effet secondaire particulier y'a un petit moment. Par contre les benzos ça me fait flipper, mon stock s'épuise. J'étais initialement à 30mg de diazépam/jour, j'ai réussi à passer de 1mg d'Alprazolam (j'en ai plus du tout, aucun des deux), puis en passant au Prazépam, j'avais des bouteilles en rab, j'ai réduit à 15mg.  
Ca fait plus d'un an que j'ai pas dormi sans médocs, ma bouteille est bientôt vide, j'ai déjà le sommeil complètement chaotique et si j'ai pas un nouveau psy asap, je pense que je vais devoir endurer l'arrêt brutal.

Sans motivation pour le sport  

J'ai peur que les médocs ne marche pas sur moi. Je pense que mon problème vient plus de moi, je suis empoté, sans mémoire , vite déstabilisé, j'arrive pas à être 'dans le coup' je fait pas le liens avec différentes info. Je sais pas comment réagir.. Du coup j'ai l'impression que les médocs m'aideront plus sur le morale que sur mes problèmes (donc le moral redescendra , ou tout du moins mes problèmes me mettront toujours à mal).

EDIT: on ta prescrit du tercian?!? C'est assez puissant et je suis pas sur que sa soit adapté

 
Tu lui as déjà dit que tu arrêtais en fait.  
C'est fou ce manque de réaction de la psy
Surtout que beaucoup de psys font des tarifs en fonction des revenus de leurs patients...
Pour tes benzos, tu peux voir ça avec ton généraliste en lui expliquant la situation, le temps que tu trouves un autre psy et que tu obtiennes un RV.

mais tu fais une analyse donc c'est ça?
et elle te prescris des médicaments ? C'est bizarre d'habitude ils sont contre pour la plupart
désolé mais tu t'es fait arnaquer visiblement
la bonne réussite d'une psychothérapie n'a strictement rien à voir avec l'argent que tu injectes dedans
c'était des séances express en plus ?....

Cavatines, en effet, ton psy manque de professionnalisme.
Pour les médocs, faut y aller en douceur. Les benzo, faut éviter de les prendre en continu et ça s'arrête pas du jour au lendemain. Il te faut peut-être un AD type ISRS pour compenser l'arrêt du benzo sinon ça va être difficile. En attendant de trouver un psy qui te convienne, rien ne t'empêche d'aller voir un médecin généraliste pour te prescrire la dose de médicaments qui te permette de gérer la transition.

Elle fait flipper ! Et 100€ !! Mon psychiatre je payais 90€ (remboursé 86€), et ma psy c'est 77€ remboursé 30€
Tu as raisons de changer là  
essaye d'économiser tes cachetons pour un arret progressif (coupe en 2, puis en 4), mais va voir un généraliste pour t'aider

Quand j'ai arrêté mon psy (TCC), j'ai juste dit que je reprendrai rendez-vous mais pas de suite.. je voulais une pose avec lui sachant que je voyais en parallèle ma psy pour une analyse. Au final j'ai jamais rappelé

 
Oui, j'en ai eu assez longtemps. Y'a une période où je devais bien niquer mon foie avec des combos Diazépam/Tercian/AD/Zopiclone
 

 
En fait quand je lui ai dit que je pouvais pas payer la consult', je voulais pas spécifiquement arrêter, je pensais qu'elle allait me proposer d'encaisser le chèque plus tard par exemple. Mais en fait apparemment elle s'en bat la race et ça confirme les mauvaises impressions que j'avais sur elle depuis quelques semaines.  
 
J'ai pas de généraliste, la psychiatre c'était mon médecin traitant. De temps en temps j'allais voir des généralistes un peu au pif, ils étaient frileux car ils me connaissaient pas mais ils me faisaient une micro-ordonnance d'Alprazolam pour tenir une semaine ou deux.  
Et la galère de recherche de psy ça me fait chier d'avance. Genre devoir raconter les mêmes trucs en boucle à un nouveau médecin toutes les semaines pour qu'il rattrape ton historique psy, bof..
 

 
Non c'était pas une analyse.
C'était pas une psychanalyse. C'était une comportementaliste mais on a jamais fait de TCC non plus.
En fait on faisait rien je crois. A part me filer des ordonnances de médocs à tire-larigot.  

Y a vraiment des psys qui sont nuls