Reprise du message précédent :
À part que ce genre de personnes souffre "souvent" (guillemets, c'est pas quelque chose que je peux affirmer) de dépression, non en effet.

Real-time emotional voices    
 
 
 
http://cream.ircam.fr/?p=44
 
 
http://www.futura-sciences.com/mag [...] oix-61324/

drap en berne

 
je prescris une kimouss préventive

Et la meditation vous connaissez ?  
 
Zazen asser accessible mais ne rentrer pas dans la theologie car c est d un niveau sectaire asser cheper.
 
Juste la pratique posture et respiration.

Xatrix saicte tout ca tout ca je sais

Je valide    

Ceux qui travaillent, vous avez parlé de votre dépression avec votre chef ?

Hors de question d'en parler pour moi, du moins en ces termes. Surtout que je ne m'entends pas avec lui. Ça serai un autre manager, peux être que je réagirais autrement.
Par contre on travail avec souvent beaucoup de stresse et pression. Les RPS (risques psycho-sociaux) sont assez surveillés bien qu'il n'y ai jamais vraiment d'actions menées par la suite. Je fais passer mon comportement/état là dessus, en tant que semi burnout, épuisement professionnel, bien que ça ne soit pas le vrai problème. Disons que c'est peut être une façon pour moi de faire un appel a l'aide, mais je sais que rien ne changera.

Ceci dit, je vais démissionner...

Edit : je crains le retour des insomnies...

 
surtout pas ! J'ai assez d'emmerdes pour pas qu'il trouve une raison pour me virer avant que je ne me barre.

Par contre mon manager est au courant de mon changement de situation familiale

J'en ai parlé comme je m'entends bien avec lui et que l'ambiance est cool (pas de pointage). Ca m'a permis de rester sans problème au taf jusqu'à 23h les soirs où je voulais pas rentrer chez moi, comme de ne pas venir certains jours où je le sentais pas. L'essentiel est que le boulot soit fait. Cela dit ça peut sans doute poser quelques soucis en cas d'accident du travail par ex.
 
Sinon j'ai un truc un peu pénible en ce moment, les réveils en sursaut au moment où je commence à sombrer et à m'endormir. Souvent suite à des espèces de rêves éveillés à contenu anxiogène.
 
A part ça j'en suis à six semaines sans AD/anxio, et je me pose quand même la question de reprendre ponctuellement des anxios.

Aucun souvenir de quand j'ai rêvé la dernière fois.
Par contre en octobre et novembre j'ai fais des crises d'angoisse à m'effondrer à cause de suffocations
 

Pas sans l'avis d'un psychiatre
Pas d'automédication
Pas en suivant l'avis du Nain Ternet ou de la famille (même si médecins, l'avis sera forcément biaisé par le lien familiale)

Bah si je reprenais quelque chose je pense que ça serait juste pour les soirs où je sens que ça serait difficile de dormir... et pourtant je suis canné en ce moment
Mais compris, j'irais pas sur Docti

Ce n'est pas censé n'avoir de l'effet qu'à moyen terme ces trucs là ?

Non, le Seresta que je prenais avait un effet - myorelaxant notamment - assez rapide, je le prenais généralement une heure avant le dodo. Enfin bon, je vais continuer à essayer de faire sans.

 
Je sais.  
Je ne vais pas bien depuis pas mal de temps (mois voire années). J'ai toujours eu tendance à me dévaloriser, à avoir une vision négative des choses. Dans mon travail, dans ma vie en général. Je regarde les gens autour de moi et j'ai un sentiment de ratage de vie quand je me compare. Mes amis ont construit des choses, ont une situation stable, des passions que les animent. Pas moi. J'ai le sentiment de rater ma vie. A tort sans doute.
 
J'ai rompu avec ma femme l'été dernier après une enième dispute bien violente (cf topics rupture/couple). Notre couple battait de l'aile depuis pas mal de temps pour diverses raisons: maladie, problèmes familiaux, caractères peu compatibles, ma dépression (?) qui m'empêche de voir du positif dans la vie.  
 
On a eu une fille ensemble et c'est elle qui me permet de tenir le coup. Sa joie, son sourire. Même si je sais que je lui manque et qu'elle ne comprend pas que son papa ne vit plus avec elle et sa maman.
 
J'ai repris mes études pour changer de voie professionnelle. Je passe un concours au printemps prochain mais même là je ne sais pas si je fais le bon choix...  
 
Je vieillis et j'en ai marre. La séparation, l'absence de situation professionnelle stable, des problèmes familiaux (une de mes soeurs est tombée gravement malade et le pronostic est franchement pessimiste). Je sature.
 
A côté de ça mes potes ont acheté une maison, partent en vacances avec leur femme et leurs gosses, ont l'air heureux, font des projets.
Moi j'ai l'impression d'avoir tout détruit en choisissant de rompre, je me retrouve à vivre seul dans un logement de 30m² et le temps passe... je broie du noir, mon état psychologique m'empêche d'envisager une nouvelle relation sérieuse.
 
J'ai des insomnies fréquentes. Dès que je me réveille mon esprit repense à tout ça, à cette vie qui est la mienne et qui m'apparaît comme une succession d'échecs. Je n'arrive pas à me rendormir avant le petit matin, ça fuse dans tous les sens dans ma tête.  
 
Là j'ai le sentiment d'atteindre le bout du bout de ce que je peux supporter. Je vois un psychologue depuis plusieurs mois (à rythme réduit, ça coûte cher) qui tente de m'aider à assumer et à comprendre ce que je suis.
 
J'ai des amis sur qui je peux compter mais bon... le problème est en moi. Comment retrouver la joie de vivre, le côté positif de cette vie?  
 
Il y a quelques années j'étais déjà allé voir un médecin qui m'avait prescrit du Seroplex mais je n'étais jamais allé acheter les médocs. Peur de devenir dépendant.
 
Voilà.

Le stress peux te jouer des tours bien plus grave qu un simple sevrage, les ad c est pas de l hero tu diminue progressivement et tout se passera bien.
 
Equilibrer la balance c est pas si simple

Bon, c'est reparti à la baisse complète de moral.
 
J'ai changé de boulot il y a environ un mois, chose qui était pour moi vitale (démotivation complète, aucune envie, responsabilités dans lesquelles je me noyais...).
Une opportunité s'est présentée, que j'ai saisie au vol, et j'ai donc commencé dans de bonnes conditions (travail pas vraiment pénible, horaires en temps partiel payé temps plein, énormément moins de stress, pas vraiment de responsabilités...)
 
Bref, tout est censé aller pour le mieux dans le meilleur des mondes.
 
Sauf que.
 
Sauf que mon esprit focalise sur une connerie, et je me retrouve complètement aveuglé par ce souci (qui à priori n'en est pas vraiment un) : les congés. C'est je le sais, ridicule au bout d'un mois de me retrouver perdu pour ce genre de problème.
 
Dans mon ancien boulot, je bénéficiais peu ou prou des congés scolaires (à 70%, mettons).
 
Aujourd'hui, je vais me retrouver comme la plupart des salariés français à 5 semaines (sans RTT, puisque je ne fais pas 35 heures). Et cela m'obsède littéralement.
 
Pourtant, j'aime le boulot que je fais actuellement, il est intéressant, varié et bien payé (voire très bien payé pour ce que je fais).
 
Cela fait maintenant environ 5 mois que j'ai arrêté complètement le Seroplex 5 et cela se passait plutôt bien. Je sentais bien une petite baisse de régime depuis décembre, mais je mettais ça sur le compte du stress généré par le changement de boulot.
 
Là, depuis 3 semaines, je me gave littéralement de Prazépam (3 à 4 par jour), mais je sens bien que cela n'est qu'une béquille.
 
Je vois mon médecin traitant pour qu'il puisse me remettre le Seroplex en attendant de reprendre contact dans 3 semaines avec ma psy (que j'ai arrêté de voir peut-être un peu trop tôt).
 
Je connais mon état, c'est la pire période que je suis en train de vivre : plus aucune envie de rien, un énorme sentiment d'aveu de faiblesse vis-à-vis de ma thérapie et de mon traitement que je pensais terminé).
 
Je sais que le fait de reprendre tout ça va m'aider que ça va aller mieux, mais pour l'instant, c'est le fond du goufre.
 
Je suis comme dans la chanson de Miossec. Il ne faut pas me secouer, je suis plein de larmes. J'éclate en sanglots pour un oui pour un non... Et le fait d'être nouveau dans mon entreprise, ET avec un patron/copain fait qu'il est à la fois assez facile de lui en parler, et également totalement impossible d'aller au fond des choses, c'est le côté pervers... Bref, c'est la merdasse.
 
J'avais juste besoin d'en parler quoi...

Bordel c'est dur aujourd'hui... l'impression de tomber dans un puits sans fond...

Ha non rien à voir j'ai rien pris depuis plus d'un mois, et comme mon traitement n'avait pas été très long le sevrage a été relativement rapide. C'est juste qu'en ce moment les journées sont longues, la tristesse qui prédominait a été remplacée surtout par du stress ...

Qu'est-ce qui fait que ça t'obsède à ce point de perdre des congés ? Le fait que tu auras moins de temps pour les enfants et madame quand elle est en congés ?
 
Courage grow...

La vache c'est pas la grande forme les gars, AmiralAckbar je la trouve pas mal ta vie, tu la reprends en main, tu tentes un concours, tu as trouvé la force de te séparer, finalement tu vas de l'avant. Tu as quel age si c'est pas indiscret ?

Jean-Micheng, cette histoire de congés c'est l'arbre qui cache la forêt. Tu as essayé de te poser la question de savoir quel était le vrai soucis ? C'est pas plutôt une excuse que tu te donnes pour reprendre ton seroplex ?

En tout cas bon courage les gars

De mémoire, ma "maladie" est une névrose obsessionnelle. Mon esprit se fixe sur un élément unique qu'il n'arrive pas à quitter. Je suis comme une poule qui a la tête sur une ligne. Plus rien n'existe autour, le reste est totalement occulté. Et je ne vis qu'avec cette pensée unique du matin au soir.
Il se trouve que c'est cette histoire de congés, mais ça aurait très bien pu être le fait de devoir me lever 3 minutes plus tôt ou de changer de route ou de devoir mettre un pull rouge. Enfin n'importe quoi, quoi.

Merci du soutien !

Évidemment que ce n'est qu'une excuse, mais comment faire ? J'ai besoin du soutien psy, qui pour l'instant a été le seul a réussir à me sortir de ma merde aux pires moments. Enfin ça et le soutien incommensurable de la femme de ma vie.

Bientôt 40 même si régulièrement on m'en donne 10 de moins..

Ah, oui ok.
 
Pour trouver d'où vient le mal peut-être qu'un suivi psychologique t'y aiderait, d'après ce que j'ai compris c'est un psychiatre que tu voyais ?
 
No soucy !

Oui, c'est un psychiatre. Je vais retenter déjà avec elle, car je la connais. Ensuite, je verrai ce que ça donnera.

9 mois depuis la séparation avec mon ex et je crois qu'il n'y a pas eu un seul jour où je n'ai pas pensé à elle.
Le pire c'est quand tu te réveilles en pensant à elle, une sorte de moment de lucidité au milieu de la fatigue permanente qui te plombe bien le moral pour la journée

Sevrage d'Effexor, passage de 112,5 mg à 75 mg par jour et j'en chie déjà. J'ai peur pour la suite

Sur Paris : Pavillon Tarnier à Cochin. Le premier contact se fait par mail par contre, je peux te le filer si besoin

C'est quoi les symptomes ?
 
XaT

Visite chez mon généraliste ce midi. En attendant le rdv avec la psy qui est prévu pour plus tard. Reprise du seroplex 5 dans un premier temps.
Le truc cool c'est que rien que d'avoir verbalisé avec mon généraliste ça m'a refilé la patate !

Maintenant j'attends donc le rdv psy avec moins d'appréhension et j'ai l'impression d'être libéré d'un poids.

Pfiou, courage. Ma copine est passée par là il y a 2 ans. C'était pas facile pendant 2 mois.
Enfin elle a fait 75 -> 37,5, puis arrêt.
Le 112 tu le prends sous quelle forme ?
 

 
Nausées et fatigue, principalement.
Pertes d'appétit aussi.

Et HQ ?

Je n'ai pas le souvenir d'en avoir chié pour le passage du 75 au 37.5, mais c'est pas la même chose.
La sensation de sevrage chez moi c'est plutôt des étourdissements bizarres, comme quand on souffle fort et longtemps. Ce genre de sensations bizarres..
Bon il est probable qu'il y'ait de la fatigue, des pertes d'appétits mais j'y fais pas gaffe

XaT

Nausées, vertiges, "brain zap", fatigue.