Reprise du message précédent :

what?
t'es qui pour lui dire ça? pour le juger?
tu sais même pas ce qu'il a vécu...

franchement, y'a 10 000 parametres a prendre en compte, alors sortir un truc pareil...

 
tout a l'heure j'avais écrit un long post pour toi et mon ordi a rebooté   (spour ca ce coup ci je poste en 2 fois   )
 
je disais en resumé que mec faut pas que tu laisses tomber   ta nana elle a l'air bien. elle te prévient et tout. c pas souvent. elle prend sur elle mais la elle te dit qu'elle en peut plus. et c normal. c d'autant plus dur quand tu aimes une personne qui va mal.
je dis pas que tu dois culpabiliser ou te forcer pour elle hein   ca serait pire. nan mais essaye plutôt de lui expliquer de la faire participer, de lui demander de l'aide.
sinon si t'as un peu les moyens essaye ptete de te trouver un(e) psychologue. y a des gens que ca aide mieux de parler plutot que des medocs et des méthodes comportementales de reconditionnement volontaire (avis perso)    
 
et je disais que si entre vous c'est dur, moi j'avais trouvé la méthode la phrase d'alerte. je m'explique
ca marche pour les deux. vous convenez d'un phrase que l'un dit quand il en peu plus. pas de la personne mais de la situation. histoire de dire, temps mort, j'ai juste besoin d'un calin et que ca se calme    
moi j'avais un truc un peu con et léger pour dédramatiser. c'etait "tout est vain" ca vient du retour a la terre de larcenet quand son ordi tombe en rade et qu'il déprime    
bref voila si ca peut ptete aider    
 
sinon pour les volets j'ai fait pareil   mais bon je suis sorti (rdv psy donc bon.. )
 
bon ca ira pour ce résumé qu'en est pas un en fait    
 

 
me suis surement mal exprimé  
mais pour moi ca veut dire qu'il a pas atteint ses limites (attention c'est pas absolu hein. c'est relatif a chaque personne je veux dire)
parce que c'est la que s'impose l'idée du suicide. je veux dire elle vient souvent bien avant mais y a un moment ca te parait juste logique en fait   c'est seulement de cet etat dont je parlais.
 
et bien sur je juge pas du tout sa douleur en absolu   et je dirais c'est bien sur tant mieux pour lui qu'il ait pu gérer avant  

 
gros +1
et les violences subies, maltraitances ne sont pas prises en compte par la plupart des psy ...  

Certes, mais on est pas toujours obligé de trouver ses limites hein.

Je sais bien que c'est ce que la société nous pousse à faire en tout : au travail, en sport, en soirée
Être le plus intelligent, l'équipe plus fort, le plus sociable, le plus marrant.
Toujours aller pour loin pour trouver sa (ses) limite(s)...

Mais c'est vraiment une connerie. On a aussi le droit d'être médiocre et faible, et d'avoir besoin (oui  besoin) des autres aussi.

 
pourquoi tu penses qu'elle est a bout   c'est pourtant son boulot justement de tout pourvoir entendre
ou alors c'est que tu bloques encore? que tu noies le poisson a chaque séance? que ca avance pas    
ca va dire qu'elle a pas encore trouvé la bonne clef ou alors que tu bloques encore?
 

 
non non je parlais juste de ses limites +- naturelles en douleurs   on encaisse tous différemment et en fonction que quel type de mal    
pour le reste je me permettrai surement pas de juger  

Si vous voulez laisser un mot http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] w=0&nojs=0

Ca serait bien de laisser un mot sur ce topic ou simplement de copier/coller vos post d'ici sur ce topic

Une phrase qui fait réfléchir :
 Si les meilleurs partent en premier
Pourquoi suis-je toujours en vie ?

 
ah ok
bon ca serait mieux l'inverse mais lache toi sur le psy il est la pour ca tout le temps lui
 

 
va pas resquiller toi!    
 
 
 
ou alors de ceux qui restent faut que tu deviennes l'un des meilleurs avant

Non ne t'inquiète pas

good

Tout le monde dors ce soir ?

Je ne pensais pas qu'il y avait un topic dépression sur HFR. Bon courage à tout ceux qui passe un coup dur, et essayez de tenir bon. C'est pas tous les jours facile, mais si on s'accroche, la vie vaut la peine d'être vécue.

RIP Krisnosk
 
Comment faites vous pour retrouver un rythme de sommeil ? Je n'y arrive jamais. Même quand j'ai des obligations, genre un boulot
 
XaT

Je saute une «nuit». seul soucis les bienfaits ne durent jamais longtemps, car je me décale toujours jusqu'à la prochaine «nuit» sautée

somnifères sinon c'est nuit blanche

Pour s'améliorer !    

Bonjour, je viens de lire les pages précédentes, mes condoléances aux proches de Krinosk, qu'il repose en paix.
 
J'ai un petit problème, je n'en avais jamais parler avant, mais ce n'était que des "petites" crises qui finissais par passer...
 
Depuis quelques années j'ai l'impression de marché en ON / OFF, un jour ça va très bien, motivé, content (je n'irais pas jusqu'à dire heureux...) et le lendemain grosse angoisse, rien ne va plus, me remet en questions, émotionnellement instable (un rien peut me faire "mal au coeur" ) je ne saurais pas d'écrire cette sensation, ci ce n'est que c'est très oppressant, angoissant, et le fait de devoir faire semblant rend l'ensemble encore plus dur.
 
J'ai pas de situation professionnel, pas de copine, pas de logement (héberger par la famille) et rien que de l'écrire me fait sentir cette boule à la gorge qui étouffe. Rajoutons à cela les nombreux refus, ou même les nombreuses fois ou on est ignoré professionnellement n'arrange pas les choses non plus.
Ces derniers temps, ça empire, j'ai des idées noires, comme souvent, mais là ça fait plus d'une semaine que ça passe pas, je suis fatigué d'attendre que ça passe en souriant !
 
Il y a quelques années je ne me voyais pas passer la barre des 25 ans, après une TS, c'est choses faites, mais plus ça avance, moins j'y vois clair, je ne sais plus quoi pensé et me refuse d'en parler à mon entourage proche, ils ont tous une situation correcte (boulot et/ou copine / femme) et il est inconcevable pour moi de perturbé leur équilibre.  
Aussi, c'est un peu égoïstement que je vient vous voir, comment gère t'on ce genre de crise ? Rouler la nuit en voiture m'aide bien habituellement, mais l'autre soir ça n'a pas changer grand chose...
 
J'ai l'impression que les mots ne suffiront pas à décrire ce que je ressent à des personnes qui vont bien, de ne pas savoir pourquoi je vis, pourquoi je suis en vie... As t'on vraiment tous un but ou c'est de la loterie ?  
 
Voilà, j'espère que ce message ne sera pas malvenus après les récents événements...

edit doublon

Compréhensible vu ta situation, en tout cas tu as raison de ne pas  en parler a des personnes qui non pas dz vécu ils te comprendront pas.. Tu peut toujours avoir des rendez-vous a la cmu gratuitement  pour un psychologue.. Avant que sa s'aggrave.... Je pense que si tu voit ton médecin traitant elle te donnera des anxiolytiques car tu arrive plus a gérer tes angoisses mais sur le long terme sa apporte rien

ça ressemble un peu à des troubles bipolaires... mais normalement dans certaines phases, tu es euphorique..
Comme dit darkblade, consule, parle à un psy, ça te fera du bien, il ne faut pas rester comme ça

J'avais surtout pas envie que ces personnes ai une réaction inapproprié...
 
 
 
J'ai un peu de mal avec le corps médical suite à plusieurs mésaventures (manipulation de fracture à l'arrache, soigné une tendinite avec des dolipranes notamment...) !
 
Ce matin je me sent vide, ça va être encore une longue journée de réflexion    

au contraire, je trouve que ses sentiments sont tout à fait compréhensible pour quelqu'un qui va bien et normalement constitué...
le probleme serait plus qu'aujourd'hui les gens en ont un peu rien a foutre que de faire attention à quelqu'un qui va pas bien.
 
question : t'as quel age maintenant? (tu parlais du cap des 25 ans...)
 
franchement, c'est un peu normal que quand on a la sensation d'être délaissé, voir de se faire rejeter par la société (et le taf, c'est vachement important dans cette affaire, enfin y'en a qui en ont vraiment rien à foutre, mais globalement c'est une grosse part de notre vie), c'est normal d'avoir des hauts et des bas.
 
Je sais pas trop comment m'exprimer, veuillez m'excuser si mes mots sont blessant : J'ai pas la sensation d'avoir des troubles psychologiques types dépression etc. En tout cas j'ai jamais même pensé au suicide.
Mais je suis aussi célibataire, j'ai connu les périodes de refus professionnel etc (sans que je puisse m'en attribuer les raisons en plus : j'suis pas moche, j'suis pas con, j'ai eu de bons diplômes et de bons stages, et maintenant que je bosse je sais que je suis apprécié dans mon boulot... bref). Et je sais à quel point ça peut miner.
Personnellement, durant cette période, j'ai eu le besoin de m'investir pour les autres, dans une asso, ça permettait de voir du monde, notamment du monde qui galérait, et de sentir que justement, l'entraide, c'était vital pour beaucoup en réalité...
 
Je n'irais donc pas plus loin,car je ne sais pas ce que ça peut réellement provoquer chez les personnes "sensibles", mais je voulais simplement dire que ça ne me semble pas anormal d'être un jour joyeux et le lendemain "pas bien", renfrogné, chafouin, ou pire. Et même sur une semaine, faut pas que tu te culpabilise de te dire que t'es a bout et que t'en peux plus, vu la situation c'est naturel. Evacue, crie, gueule, fais tout sortir, faut que ça passe. Dis toi que ça passera. Que ça reviendra aussi surement, mais que c'est pas anormal outre mesure.
Apres, peut être que je me trompe, qu'effectivement la puissance de ces phénomènes relève du bipolarisme, mais je ne saurait le juger...

Coucou, 25 depuis quelques mois. J'aimerais évacué, en faite c'est ça le problème je crois, comme dit plus haut, j'aime bien roulé la nuit, je me sent un peu plus moi même et je suis plus concentré sur ma conduite, et je n'ai pas besoin de faire semblant de sourire, je n'arrive plus à me faire oublié ma condition, que j'apprécie de moins en moins...
En réalité j'en viens même à me demander qu'est-ce qui me rattache à cette vie, parce que je la vie sans enthousiasme.
Voir du monde n'arrange rien, c'est même le contraire, j'ai l'impression que ce monde aime à me rappeler à quel point j'ai passer 25 années merdiques... (J'exagère probablement, je me rappel plus de ma petite enfance...)

Il n'existe rien sans ordonnance qui pourrais calmer ce genre de "crise" ? Dire au cerveau, STOP, arrête de réfléchir et de te poser ces questions...

 
Si tu ne veux pas voir de médecin (psychiatre), tu peux malgré tout consulter un psychologue ou un psychothérapeute ou un psychanalyste, eux ne sont pas médecins. Il y a des choses à régler apparemment. Un médoc, c'est une béquille, mais il faut s'attaquer à la source du problème pour le résoudre, donc en parler avec un professionnel.

 
Je me dis que ça m'aiderais à attendre que ça passe, jusqu'à la prochaine, rien de définitif. C'est con, mais allez voir quelqu'un que je paierais, ou qui est payé pour m'écouter ça me bloque

 
C'est une démarche, c'est sûr, faut arriver à franchir le pas, mais une fois que c'est fait, le travail peut commencer.  
C'est le premier pas qui coûte le plus.  
Ca ne sert à rien de s'anesthésier, c'est reculer pour mieux sauter (c'est une horrible métaphore, je sais, surtout en ce moment...)

 
Je suis pas prêt à franchir le pas justement, je cherche juste à m'apaiser là, maintenant, j'aviserais si ce genre de crise (en terme de longueur) revient, d'habitude c'est l'histoire d'un ou deux jours...
Le pire, c'est que quand ça passe, j'y pense pas du tout à tout ça, jusqu'à ce détails, ce déclic qui va faire que...

A mon tour de me confesser. (Multi de Om.... )
 
Aujourd'hui, je suis dans une situation empirique, et je ne vois pas comment sortir la tête de l'eau.  
J'ai 30 ans. Un travail stable, avec des horaires de M...(Travail de nuit). Un appartement à crédit.  
Mais le coté relationnel, c'est la catastrophe.  
J'ai déménagé dans la région parisienne il y à Trois ans. Avec mes horaires de boulot, impossible de sortir ou de rencontrer du monde. j'ai conservé très peu d'amis de ma région d'origine, avec seul quelques contacts virtuels.  
j'avais une copine aimante, que j'aimais également. Relation de 4 ans, a distance, rencontrée dans ma région d'origine. mais on se voyais régulièrement et on avais des projets. J'ai parfois déconné. Je m'en suis voulu par la suite. Cette fille m'apportais une raison de vie, et un lien social important.  
Et voila que mon "Escapade" à appeler sur le téléphone de ma copine pour tout lui dire.  
 
Je suis anéantis maintenant. j'ai perdu un de mes seuls rapports réel à la terre. Je sais que tout est ma faute et je m'en veux terriblement. On apprend de ses erreurs. il parait.  
Maintenant, je ne sais pas comment faire pour sortir la tête de l'eau. Par quoi commencer, comment re-aborder ma vie. Je ne cherche pas a trouver quelqu'un, j'ai pas fait le deuil de ma relation. j'aimerai juste sortir, bouger, m'évader... pas facile quand on à une vie comme la mienne. Beaucoup de jeux en ligne, et du boulot, plus d'activitée externe. Des gens ici on déja réussi à sortir d'une grosse isolation sociale ? des conseil ou autre ? Par avance, je vous remercie.

Je quote  que ça car pour moi c'est l'essentiel a retenir de ton message
Tu as l'envie, c'est déjà beaucoup !!
Inscrit toi sur ovs ou bien va en ki. Tu rencontreras du monde a des horaires adaptés

C'est justement ca le problème. Les horaires. Sur on va sortir, je ne trouve que des personnes âgées.  
Par contre pour les KI. C'est une super idée, merci.

En horaires décalés, c'est plus compliqué mais essaie de t'inscrire à des activités d'après-midi. Pour avoir fréquenté une salle de sport en horaires de journée, tu t'aperçois qu'il y a beaucoup plus de personnes en horaires décalés qu'on ne pense et pas seulement des vieux et des chômeurs.
Et puis les vieux c'est sympa dès fois    
en tout cas, cela vaudra mieux que rester enfermé chez toi à ne parler à personne.    
 

Pareil que les autres, essais de trouvé du monde, et si tu veux en parler n’hésite pas à envoyer de MP (pour mon cas en tout cas, j'y répondrais)
 
C'est déjà pas mal de vouloir et d'avoir envie de faire le premier pas !

Bonsoir à tous, j'ai déjà participé à ce topic en 2012 avec un autre pseudo dans une période personnel de creux où j'ai eu le plaisir de côtoyer certains d'entre vous. Plus particulièrement un forumeur et ami sulfureux "Korsor" de mémoire et qui faisait batailler la modération sur son cas, entre autre vis à vis de son anti islamisme.
Je suis désolé d'arriver si tard et au risque de faire remonter de douloureux souvenir aux plus fragiles d'entre vous je tenais à rendre hommage à Krinosk sur ce topic.
Je ne te connaissais qu'au travers de quelques quotes mais tu es une perte pour nous tous. Sois heureux là où tu demeures désormais.

 
Si lire t'apaise, tu peux essayer "extension du domaine de la lutte"

 
Je suis pas un fervent lecteur en temps normal, mais ce bouquin m'à l'air pas mal du tout, je vais essayer de le trouver    
 
Hier je suis ressortie en voiture, c'est dingue mais je n'arrive plus à évacuer comme je le faisais avant, je suis sortie de 1h30 à 3h, mais ça ne m'à que peu tranquilliser   Je sent clairement qu'il y a un truc qui merde, mais je n'arrive pas à mettre le doigts dessus...
 
Il m'arrive même de me sentir coupable de mon état en pensant que d'autre vive des situations bien plus compliquées et s'en sortent très bien  

Les crises étant trop forte. j'ai préféré aller voir un généraliste qui m'as donné du lexo à prendre. Demain rendez vous chez le Psychologue.  Va falloir un sacré coup de   pour pas tomber dans un cercle vicieux.

j'ai l'impression d'être comme à l'image de PunPun, vide. .

La conduite de nuit vous fait un effet positif ? De quelle façon ? C'est étonnant

Mon truc c'est l'anxiété. (qui peut parfois créer des phases dépressives) Et bien c'est presque comique comme ça n'arrive qu'en période positive, normalement, justement, sereine.
Je n'ai pas d'angoisses quand j'ai plein de boulot, des trucs à faire, à préparer. Non plus quand je suis inquiet, par mon enfant malade, par un problème concret.
Par contre, quand tout va bien, que mon compte en banque est pépère, que mon entourage se porte bien, que j'ai du temps pour moi, catastrophe. Bref, je me crée des problèmes quand il n'y en a pas.
 
Quand on a un peu de recul, on voit bien qu'on est malade. Pas gâté, pas "pas à plaindre", pas " besoin d'un coup de pied au cul". Non, c'est une maladie, il faut apprendre à la soigner, et ce n'est pas comme la tristesse, la mollesse, la peur... Donc ça ne s'attaque pas pareil.
 
Quand on a la grippe, oui, c'est vrai, c'est moins grave qu'ebola. Mais c'est pas parce que d'autres affrontent des conditions difficiles ou souffrent qu'on a pas une putain de grippe, qui devient dangereuse, d'ailleurs, si on ne fait pas gaffe. Se soigner et être attentionné vis-à-vis de soi n'empêche pas la compassion vers les autres !

 
Tu croises personne, pas de bruit sauf celui de la voiture ou du poste éventuellement, c'est frais, ça roule, ça permet à défaut d'évacuer complètement de détendre un peu.

 
Je n'avais jamais vu la chose comme ça, c'est bien écris, je me doute bien que ça vient d'un "bête" dérèglement, physique, ou psychique. mais j'en viens même à me convaincre que je n'aime pas la vie, dans le sens ou je n'ai rien demandé à personne (J'irais pas jusqu'à le reprocher à mes parents, si ça leurs à fait plaisir...), et que cette dernière ne m'apporte rien, je peux pas être un fardeau pour mes proches toutes ma vie (ou la leurs) j'en chie relativement depuis le début, j'enchaîne échecs sur échecs dans lesquels je semble me conforté tant ma situation n'évolue pas, je répète des cycles sans arrêts comme un vieux disques rayés dont personne ne semble écouté les sursauts !