Reprise du message précédent :
JE me demande kd même pourquoi on est paresseux, ça serait tellement plus simple de faire comme les autres moutons, et de faire ce qu'il faut au bon moment...

Moi, je rassemble toutes les obligations sur une seule journée, comme ça, le reste de la semaine, je moule.
Bon, ça va changer, tout ça, quand je vais recommencer à bosser, mais vu les flemmes que ça a l'air d'être, là-bas, je ne crains pas pour ma santé.

administration ;-)

moi je fais ca sur une journée,mais pour toute l'année  

bien moi aussi j'ai le problème c'est surement pour cela que j'ais raté mes études heusement j'ai toruvé un boulot je m'y plais j'ai eu de la chance mais bon ... Sinon je pense que pour n'être plus flémard il faut persévérer a l'êxtrème exemple si tu te lève a 6heures pour aller bosser et que sa t'ennuie et que tu te lève style "Zombie" plutôt que de te rouler un join va courir 10 minute fais le tour de ton paté de maison tu verra tu aura une autre tête pour aller au boulot malheureusement je suis conscient que la vie n'est pas toujours évidente quand on n'est "pourri jusqu'a la mwale" c'est pas facile de faire des effort ...

Mieux, enseignement supérieur, surdiplômée par rapport au poste et surtout au salaire, du coup j'ai dealé un temps partiel

Je me demande comment j'ai fait pour ne pas penser aux fonctionnaires en créant ce topic

La paresse est un fléau, souvent j'ai la flemme de faire des choses basiques (poster un colis, faire une remise de chèques) parce que ça me fait profondément chier, et que ça prend du temps

 
'tain c'est vrai que t'es feignant, t'as même attendu plus de 7 mois que quelqu'un d'autre UP ton topic  

Je suis EXTREMEMENT faignant, mais c'est heureusement compensé par mes passions et comme une de mes passions est aussi mon travail, tout va bien.
 
En clair, j'arrive pas à faire ce qui ne m'intéresse pas, mais je me transforme en boureau de travail capable de passer 15 heures à bosser sans manger pour ce qui m'intéresse.
 
Ce que je plains par dessus tout, ce sont les gens qui n'ont aucune passion dans la vie. Comme ça doit être dur...

Bah si on peut pas dire "bouge ton cul, force toi" y'a plus rien a dire...

je bats des records de faineantise

J'étais un gros paresseux puissance 10. j'ai raté deux fois mon bac quand j'étais chez moi je glandais rien télé/pc, pas de sport parce que sa m'enmerdais j'ai mis deux ans avant d'avoir mon code de la route pas flegme d'y aller...
mes parents m'ont foutu tout seul dans un appart parce qu'ils en avaient marre d'avoir une loque a la maison qui passait son temps a glander bref c'etait quite ou double sois jme reprennait en main sois je continuait ma descente infernal...
Bref jme suis retrouver seul dans un appart pendant 6 bon mois c'étais l'horreur dans l'appart flegme de fair les courses alors zou commande de pizzas midi et soir, pas de sport... je vous laisse immaginer le résultat...
Et un jour déclic lol je me suis regarder dans une glace et jme suis rendu compte de se que j'avais fait... cad rien sauf grossir    
Je me suis donc mis a fair du sport a avoir une hygiene de vie sa m'a demandé beaucoup d'effort mais au final sa a réussis lol j'ai retrouvé ma ligne    et au niveau des études sa va beaucoup mieux.
 
bref pour moi la grosse paresse est une maladie mais ya moyen de s'en sortir en se prenant une bonne fois pour toute en main

ma rentrée était y'a deux semaines, ce matin j'ai réussi à me lever pour aller à mon premier cours, je suis arrivé avec 1h30 de retard.  
 
 
Autre problème : je remets souvent à des jours lointain un truc pas trop urgent à faire. Comme c'est jamais fait, je finis par culpabiliser. Je me dis que je suis vraiment nul, incapable. En même temps je me dis "aller reste zen, détaches-toi de ces contingences materilles absurdes, t'es au-dessus de ça" Du coup ça me paralyse et je le fait pas. Mais un jour, très en retard sur les delais je me réveille et j'ai un coup de speed, et je le fais enfin dans la douleur. Du coup, un truc tout con que j'aurais pu faire facilement avant je l'ai transformé en un psychodrame qui m'a moitié traumatisé.  
 
Par exemple là j'aurais du demander des bourses depuis des mois, je suis hors délai et je les auraient sans doute pas, ou alors pas avant l'an prochain. Ce matin j'ai déposé mon dossier d'inscription à l'IUFM, je dois être le dernier de l'académie (la date limite est dépassé, j'ai failli me faire bouler)
 
Heureusement que j'ai une femme super : je me dis qu'il faut que je me bouge pour notre couple, sinon je foutrais rien  
 
Mais bon faut dire que je me suis bien bougé pendant trois ans (vécu deux ans au Pérou en étant parti sans projet juste avec un billet aller et un sac à dos. Trouvé du taf sur place, enseigné à l'université, vendu un site web, trekkings dans les andes, pleins de voyages...), mais que depuis 3 mois je suis en rechute, après m'être fait enculé au CAPES. Faut que je me remotive grave    
 
Un grand paresseux

 
La procrastination, voilà l'enemie
http://www.dexterity.com/articles/ [...] nation.htm

 
En effet tu as mis en plein dans le mille on dirait.
Vous pouvez enfin mettre un mot sur votre mal: "Procrastination"
http://fr.wikipedia.org/wiki/Procrastination
 

exactement mon cas! c'est dingue! lol jamais taffer a l'école jusqu'en term ou la sa a bloquer sa marchait plus et boom avec des parents qui voulaient que je sois tout le temps au top et premier partout bah voila le résultat

béh moi aussi  
J'ai été jusqu'à la fac de math sans jamais rien travailler - réviser
C'est à la fac que je me suis planté parce que je n'allais plus en cours (forcément...)
Par contre la pression je crois me l'être mis tout seul, ce n'est pas particulièrement mon entourage qui m'a poussé à la faute.
Je suis atteind de tous les vices: retardataire, fainéant, perfectionnisme...
 
Par contre je pense qu'il existe plusieurs niveau dans ce mal, car je connais des cas bien pire que moi (je pense à certain de mes potes)
 
Et je tiens à dire que ce n'est pas parce que vous mettez un nom sur votre mal qu'il faut prendre un arrêt de travail direct  
Le seul remède est expliqué dans le lien ci dessus

Exactement pareil

Putain c'est exactement ça
Jamais je n'arrive à faire quelque chose que je n'aime pas, je préfère ne pas le faire et faire autre chose à la place

 
Va falloir ressortir la game boy  

 
je plussoie ladessus

 
Non mais tu peux instaurer ton propre système d'action/récompense

et tu te recompense comment ?

 
Pour toi  

 
ah ben spa le truc qui risque de me motiver

 
Et puis de toute façon t'as la flemme  

bah voui faut préparer le mouchoir c'est chiant  

 
 
Généralement pour moi c'est la bouffe

 
je vois pas ça comme une recompense en fait

 
 
 Fichtre... ça fait peur de voir ce qu'on ressent expliqué de façon aussi froide...  
 
 Pourtant j'ai pas l'impression d'être parresseux. Mais perso' il me faut une deadline pour finir un truc (ou le commencer...) Une fois que je suis dedans, j'y vais à fond. Mais il me faut cette petite dose d'adrénaline. Ce coup de pied aux fesses pour avancer. Le pire, c'est que ça ne concerne pas seulement les trucs "chiants",mais également les loisirs... J'ai du mal à me décider à bouger (pour sortir, commencer un dessin, un bouquin etc...) Mais une fois plongé dedans je finis le truc en deux temps trois mouvements.  
 
 Bref, c'est très chiant. Et l'inactivité forcé (chomage pas powwaaa) augmente cet état. Quand j'étai encore étudiant, j'avais de longues journées bien remplies. (levé à 6h rentré vers 18h/19h) Et je trouvai le moyen de faire des trucs à coté. Idem quand j'ai un vague boulot ou stage. J'y vais à fond. Tellement qu'il fallait me foutre dehors pour que j'aille bouffer.    
 
 Mais quand j'ai rien de précis à faire... Ben, je glandouille... Et j'ai horreur de ça.

Pareil, fainéant de 1ère catégorie.
 
J'ai réussi à aller jusqu'à Bac+4 sans jamais vraiment travailler, ou alors uniquement la veille. Mon record de prise d'avance doit être un rapport de stage de 30 pages que j'ai commencé 3 jours avant l'heure limite.  
 
Jusqu'à maintenant, je m'en suis toujours tiré parce que j'ai heureusement peur de l'autorité, et du coup j'ai toujours été aux cours obligatoires et fait le boulot qu'on me demandait, même dans la douleur.
 
Mais cette année ça se complique franchement, j'ai plus beaucoup de cours, beaucoup de travail personnel à faire et y'a plus d'autorité pour me botter le cul.
 
Et evidemment, j'ai jamais pu passer le permis, j'ai aucun passe-temps extérieur par flemme, je mets un temps fou à rencontrer des gens à chaque fois que je demménage. Bref rien ne me motive. Et j'ai pas fait la vaisselle depuis 3 semaines. Et encore, heureusement que j'ai aussi la flemme de cuisiner, comme ça je n'ai que 5 assiettes à laver.
 
La seule solution, ouais, ce serait un "coach" qui aurait l'autorité pour forcer les flemmards à faire ce qu'ils n'ont pas le courage de faire. Mais qui serait assez maso pour se l'imposer ?

Ca me fait penser au film "tanguy"
 
Puisqu'on dirait un point commun, sans travailler moi aussi j'étais dans les meilleurs de la classe jusqu'en seconde. Tant bien que mal j'ai bac + 4, en ayant redoublé la terminale (accident en philo au bac littéraire   ) et la première année de Deug où j'allais au maximum à un cours par semaine, et surtout je récupérais même pas des photocopies des cours.  Pendant les 3 premières années de fac je ne faisait que faire la fête : j'étais bourré/défoncé un soir sur deux en moyenne . Mon rythme c'était couché entre 3 et 6 heures du mat, levé vers 11 h - midi. Mal de crâne et trop fatigué pour aller en cours, je restais à jouer de la guitare, écouter la radio et bouquiner tranquille pour me remettre. Le soir je sortais pas, et le lendemain de nouveau grosse cuite  

 
Sauf qu'effectivement dans ton cas, sortir du cocon familial si douillet serait 1 premier pas vers le "bougeage de cul" d'adulte    
Tu seras tjs dans la relation "confortable" avec tes parents qui ne sont visiblement pas pressés de te voir quitter le cocon.
De cette manière tu seras tjs 1 "enfant"    
 
Allez Tanguette courage !  
 
Perso je suis comme tt le monde : je marche à la motivation, donc j'esquive/remets/envoie bouler ce qui me déplaît, au risque d'en payer les conséquences.
Ex : tellement G eu la flemme de passer aux impôts pour arranger des vieilles dettes accumulées, je me suis repris 1 majoration dans la tête et ai finallement dû payer cash 5000€    
Quant aux amendes

moi aussi
 
 
 
mais je l'aurais pas aussi bien dit  

Je remonte ce sujet...
 
Jusque là, mon cursus scolaire a été plutôt classique, j'ai fait un Bac S et un IUT GTR, le tout en ne foutant strictement rien (ou juste le minimum, en cas de préparations notées, par exemple [et encore...]).
 
Là j'ai réussi à rentrer dans une école d'ingénieur et j'avoue qu'à cette période la charge de travail commence à devenir assez critique, et qu'il faut commencer à cravacher dur pour rester dans la course, chose qui ne m'était jamais arrivée auparavant
 
Je crois avoir déterminé la cause de ma fainéantise : je ne supporte pas de rendre un rapport approximatif, ou bien sans ligne conductrice clairement définie dans le sujet, donc au lieu de commencer un ébauche qui sera bâclée, je préfère ne rien faire, ce qui provoque fatalement une absence de travail Que faire pour lutter contre ça ?
Là il va bien falloir que je m'y mette, j'ai toute une foule de rapports à rendre

Tout est relatif là dedans.
 
Moi même, je me suis très longtemps considéré comme un feignant de compétition.
Jamais réellement travaillé à l'école, bien que j'ai fais des études correctes. Je n'ai pas de passion, et surtout, je déteste le travail. Il ne m'est jamais arrivé d'aller bosser avec plaisir. Me lever le matin est toujours un calvaire, et surtout, le pire de tout, c'est que je ne m'ennui jamais, même si je ne fais rien.
 
Ayant bien analysé le truc, et n'ayant pas envie de me retrouver au "Rémi" à courrir après la tune (fatiguant de courrir), je me suis décidé rapidement à devenir fonctionnaire. J'ai vite choisis la voie de l'enseignement, tout simplement parce que on ne travaillait que 18H00 par semaine et que c'était bourré de vacances. Pour parfaire le tout, j'ai décide de faire prof de technologie en collège, parce que comme c'est une matière considérée comme secondaire, je me disait qu'on me laisserais tranquille, même si je foutais rien (ce qui était le cas).  
 
CAPET en poche (de justesse bien entendu), me voila parti enseigner. La première année (stage) s'est déroulée sans heurts. La deuxième année, je me suis vite rendu compte que finalement, il y avait plus feignant que moi, qu'ils étaient nombreux, et qu'en plus, ils ne culpabilisaient pas du tout (attention, je ne généralise pas).
 
Depuis, la vie à continué, j'ai quitté l'enseignement pour rejoindre le privé, où ma carrière se déroule plutot très bien, à ma grande surprise, les promotions internes tombent comme s'il en pleuvait, sans pourtant que cette espèce de culpabilité ne m'ai jamais quitté (car sur le fond rien n'a changé, je me lève toujours à la bourre, j'ai jamais envie d'aller bosser, j'ai toujours l'impression de ne pas en faire assez, j'écris sur les forum pendant mon taf ...)
 
Tout ça pour dire que quelquefois, on se crois extrèmement fénéant, alors qu'en fait, par rapport à la moyenne, on est plutôt dans le haut du tableau.
 
Juste un détail tout de même : dans la mesure ou mes relations avec mes parents étaient pour le moins tendues, j'ai pris mon envol dès que possible. Du coup, je n'ai jamais vécu le bonheur de la "tanguisation", et effectivement, cela m'a bien obligé à me bouger le cul si je voulais bouffer à la fin du mois.

A bin je vais parler de mon expérience un peu alors!
3 mois que je cherche du taf, et oui jeune diplomé. Mais la plus ca va plus je suis feignant
ex : 10H30 je suis encore dans le lit sur mon pc  à glandouiller sur le net alors que j'ai plein de truc a faire mais la motive. Avant quand j'étai étudiant je serai sortais souvent. Et la maintenant j'ai même plus envi alors que mes potes viennent me chercher tous les soires
J'ai l'impression que je deviens feignant

C'est fini les trolls ?    
Tu veux te lever tous les matins à 04h du lundi au samedi ?

 
Un facteur  se lève à 5h 15 et finit tous les jours vers midi.

   
Tu ne me la feras pas à moi, je parle en connaissance de cause. J'ai été facteur 2 ans. On embauchait à 06h du matin du lundi au samedi, et tous les jours vers midi c'est archifaux ! Plutôt entre midi et 13h20 et fonction de la charge de travail, et plus souvent vers 13h que midi (et pas seulement moi, je parle des facteurs en général)