Reprise du message précédent :
C'est une technique qui fonctionne bien, ça m'est arrivé de la pratiquer
Sortir sans CB, sans liquide, sans chéquier.
 
Ca s'est déjà répandu le télépaiement avec son portable ?

Putain j'ai pris 1 an avec sursis tout pareil les 5 ans, 13 mois de retrait de permis 1500frcs d'amende en '97 et suivi de prise de sang + permis valable pour 6 mois ensuite avec visite médecin, tout ça pour 2.00g

 
Malheureusement oui, heureusement ma banque n'est pas très réactive
 
(J'y aurais même pas pensé, je ne te remercie pas )

Et si vous avez un soucis du genre "ivresse sur la voie publique" ?
Ca peut vous retomber dessus sans que vous soyez au volant ?
 
(excusez si je pose des questions cons, je suis assez mal renseigné sur la question )

Ce topic de voyou

Moi je n'en sais rien... Sauf à savoir que c'est déjà arrivé, surtout en vélo... A pieds, aucune idée. Après le droit et tout ça...

 
Ca m'étonnerait quand même que ça relève du délit pour le coup... Donc en théorie non. Par contre pour ceux concerné :  
-> Récidive c'est sous 5 ans mais la double récidive c'est sous 10 ans. Donc jusqu'à 2020 je ne touche plus une voiture bourré pour ma part

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Bah en Polandie, la peine courante c'est au gnouf sans procès et viole rectal à la matraque, non ?

Pareil, si je me refais choper c'est prison ferme  
 
Le problème c'est que depuis j'ai trouvé une meuf qui ne boit pas, donc j'ai tout le loisir de me la mettre dès qu'on sort...
 
Vlad écrit un livre stp, j'aime pas lire mais sur qu'il me plaira !

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   T'es un fou toi

Je ne relève même plus...
Ca devient presque ennuyeux ta routine, Vlad

Ca faisait quand même super longtemps. Perso je note que ce qui semble être un sacré "cas" (ne le prend pas mal Vlad) a réussi à arrêter 5 mois et moi pas.
 
Et pourtant je vais tous les jours au taf dans un état "présentable" sans sentir la vod le matin, je fais ce que j'ai à faire et correctement... Je comprends vraiment pas ce qui m'a poussé, encore une fois, à aller acheter une bouteille de rosé hier soir et à la boire en 45mn... Bon 7U c'est toujours moins que les 15-20 des dernières semaines...

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Vlad, ze riteurne of ze killing masteure of ze HFR's AA

Il doit arreter Toutes les substances psycho actives s'il veut un jour revenir du bon côté .
Il en suivait le chemin avant de retourner faire de la merde .
 
Et oui, des mecs bourrés au boulot, j'en ai vu en Roumanie, en RT, mais ils étaient dans des états où ils arrivaient encore à apporter une valeur ajoutée .
 
Jespere sincère et quil va se secouer .
 
Pour passer ses nerfs, ya toujours les salles de sports, les sacs de frappes .

Je pense que là, il est plutôt parti pour se transformer en sac de frappe
 
Ca va encore prendre des proportions délirantes et il n'y aura qu'un truc "grave" qui va l'arrêter.
C'est à chaque fois ce schéma quand il est chez les polaks, y a pas de raison que ça change. C'était une mauvaise idée d'y retourner, de toute façon.

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La solitude est un facteur c'est vrai, c'est ton rapport à celle -ci et les actions que tu fais pour changer ça, qu'il faut changer.  
 t'as les ingrédients nécessaires pour l'intégration "l'aura de l'expat", la langue que tu parles plutôt bien ! Tu peux aisément rencontrer du monde !
 
Courage camarade.
 
et non, BBB, c'est la personne que j'accuse, sa merde il en faisait autant ailleurs (oui nombreux postes supprimés)

Mais, Shamshir, la motivation qui t'a fait arrêter puis continuer à être abstinent pendant 5 mois, c'était quoi finalement?

Eviter le goulag

Je crois qu'il aime bien cette "aventure" pré-clodo.  
Quand on sait qu'il est bilingue (à minima), diplômé en chimie, qu'il a en main de quoi gérer sa vie différemment, moi ca me fait iech.

En tout cas, il a pris l'habitude de fonctionner comme ça, plus ou moins consciemment.
Donc il reproduit en boucle le même comportement, les mêmes erreurs, les mêmes réussites suivies des mêmes échecs.

Je vois pas comment on peut vivre sur le long terme avec ce mode de vie, par contre.
Entre le risque de se faire défoncer la gueule de finir en zonz' ou en HP de force suite à une énième défonce à la vod et plus si affinités, une TS sur un coup de moins bien, les boulots qu'il est incapable de garder, etc...

Faut avouer que c'est fun quand même Enfin tu te sens un peu vivant quoi, il se passe des trucs.
 
Tu finis avec un tas d'emmerdes monstrueux et un potentiel virage dans le drame, mais tu t'ennuies pas

Ouais, en faisant du saut à l'élastique sans élastique aussi
C'est exaltant, tu te sens très vivant mais pas très longtemps

Depuis 3 semaines maintenant, j'ai non seulement pas envie de boire le soir en semaine, mais surtout, je n'y pense pas. Hier, je faisais des courses, je voulais en profiter pour acheter ma bouteille de porto pour mes 3 petits verres du samedi et arrivé en caisse je me suis aperçu que j'avais oublié...
J'ai quand même fait demi tour...  
 
Mais arrivé à la maison je l'ai oubliée dans le coffre...
Je croise les doigts. C'était la seule chose qui préoccupait encore ma médecin. Je pensais au samedi tous les jours et tous les jours je me disais que je n'avais pas bu. Là, je ne me le dis même pas, j'y pense plus...
 
Pourvu que ce ne soit pas provisoire...Et je commence (à peine, hein...) à envisager mon petit plaisir du samedi soir (bouqin/bd+ musique) sans le Porto...
 
Si Dimanche je prends rien ça fera le deuxième Dimanche depuis 15 ans...
Surtout, la motivation n'a pas faibli.
Et zéro xanax la semaine dernière (un demi hier soir à 0.25).
J'espère tenir le bon bout.
 
Bientôt 5 mois. Pour l'instant je suis content.
La deuxième étape c'est la reprise d'une activité physique. Donc rando ou vélo.
Sans doute rando dans un premier temps, j'aime marcher en hiver.  

Félicitation allende !

A 5 mois tu vas pouvoir faire un ptit écart

L'histoire de Vlad me rappelle quand j'étais étudiant, j'avais passé ma première semaine du deuxième semestre à picoler dans ma piole d'étudiant.

Chaque jour de la semaine je me disais que le lendemain je retournerai à l'école et non.
J'ai galèré pour rattraper cette semaine, en plus la première semaine tous les prof donner un max de poly...
J'avais donner aucune nouvelle à l'école, quand je suis revenu j'ai dis que j'étais malade (j'avais aucun justif).  J'ai failli d'être virer. J'avais biensur rien dit à ma famille et ma copine. Je me rends compte des dégâts que peuvent l'alcool sur une vie.

Merci !  
 
C'est une des raisons de ma motivation: penser à mon comportement d'avant.

Bonjour,
 
Depuis quelque temps je lis votre combat à tous ici, je suis admirative de la façon avec laquelle vous avez pris conscience de votre addiction,  
 
J'ai besoin de conseils, et désolée par avance du pavé    
 
Cela concerne mon fils de 24 ans,  
 
Je vais essayer de retracer un peu son/notre histoire, pour peut-être apporter des pistes à son mal-être d'aujourd'hui.
 
Lorsqu' il avait 12 ans son papa et moi nous sommes séparés, et sommes depuis restés en très bons termes, nous habitons la même ville et nous voyons souvent.
 
La séparation a été une décision commune, plus d'amour « amoureux » plus de projets communs, et une vision différente de l'avenir, le papa plutôt fêtard et moi plus casanière... Nous aurions pu rester ensemble comme je pense beaucoup de couples au bout de 19 ans de vie commune, mais nous n'avions que 40 ans (nous avions 19 ans quand nous nous sommes connus).
 
6 années ont passé, le papa étant très souvent en déplacement à l'étranger les 4 enfants étaient le plus souvent chez moi, mais au gré de la présence de leur père passaient aussi du temps chez lui lorsqu'il n'était pas en voyage.
 
Lorsque notre fils a 18 ans et son permis, il décide d'aller vivre chez son papa, qui est comme il le dit lui-même son modèle voire même son « idole »  
C'est vrai qu'ils ont beaucoup de traits communs de caractère, déjà physiquement c'est un copié-collé, mais surtout cette attirance pour la fête, les sorties, et bien-sûr l'alcool...  
 
Entre-temps le papa traverse des hauts et des bas, une relation amoureuse toxique qui lui fait plus de mal que de bien, l'alcool devient son allié, et notre fils devient sa béquille.
 Le papa prend l'habitude de prendre un verre le soir en rentrant du travail, rentre de plus en plus tôt, et trouve du réconfort en partageant ce moment avec notre fils, qui lui est ravi de ces moments de « partage » (!!)  et durant lesquels aussi il devient le confident de son papa (hic!)
 
De mon côté je vois le mauvais coton que le père et le fils sont en train de filer, je tire la sonnette d'alarme et mets le papa en garde (« Notre fils n'a pas à être ton confident, essaie de te faire aider autrement...), mais rien à faire les mauvaises habitudes sont bien là, ils sont devenus comme cul et chemise, les apéros du soir après le boulot n'en finissent pas et c'est l'engrenage...
 
Aujourd'hui notre fils a 24 ans, il travaille et vit chez son papa. Tous les soirs c'est apéro père et fils, parfois en tête à tête, très souvent aussi avec des potes des 2 générations ayant eux aussi un penchant pour la bouteille  et c'est comme ça depuis 6 ans.
 
Chaque week-end c'est systématique : alcoolisation massive de mon fils avec ses potes qui sont dans le même état que lui, week-end qui commence souvent dès le vendredi soir...
 
Dans la nuit de samedi à dimanche dernier il a sonné à 5h30 du matin chez moi complètement « défoncé de chez défoncé » (ce sont ses propres mots quand je lui ai ouvert la porte), il m'a dit qu'il ne savait pas où était passé son trousseau de clés... Qu'avec ses « potes » ils avaient commencé la soirée par boire 2 bouteilles de gin a 3... et ce n'était que le début... Il a donc dormi à la maison (je lui ai dit qu'il avait bien fait de venir, je préfère cela plutôt qu'il prenne sa voiture ou monte dans celle d'un copain alcoolisé/j'habite centre ville en province).
 
Cette semaine il est venu un midi à la maison déjeuner avec moi, étant a jeun j'essaie de lui faire comprendre que je m'inquiète beaucoup pour lui, que je ne veux surtout pas qu'il prenne cela comme une leçon de morale, que je l'aime et  il me répond «T'inquiète maman je gère je suis très heureux, le jour où je ne sortirai plus et où je ne ferai plus la fête là tu pourras t'inquiéter, ce sera que je vais mal »(!!!)  
 
 
Un retrait de permis de 3 mois à cause de l'alcool l'année dernière ne semble pas avoir porté ses fruits.
 
Depuis quelque temps enfin le papa semble avoir pris conscience de la gravité de la situation, mais ayant lui aussi « le nez dedans » il esquive toujours la discussion...
 
 
Il faut aussi savoir que notre fils a une capacité à « encaisser », même son père me dit qu'il aurait du mal à le suivre le week-end.
 
 
Nos 3 autres enfants vont bien heureusement et ne sont pas du tout dans ce fléau, mais ils s'inquiètent beaucoup pour lui qui ne se confie pas et minimise.
 
A la différence de vous tous ici il n'a pas pris conscience de son addiction... ou alors s'il en est conscient il se voile la face
 
Voilà... Vous parlez de votre comportement « d'avant » , cela m'a convaincue de vous écrire  

Là, il nous faudrait le renfort de le Kaiser...

Bienvenue,
 
De ma maigre fenetre :
- chère maman, ne lui interdisez pas la fête, ne cherchez pas en l'en éloignéer. Cela va l'inciter à en faire plus et vous opposer. Par contre, défiez le , "fait des fêtes sans alcool" " prouve toi que tu peux et apprécie de faire la fête sans alcool". s'il arrive à faire ça plusieurs fois, apprécier les non-désagréments du lendemain, les moindres poubelles à jeter, il ouvrira peu à peu les yeux
- pour votre ex, il a pris le pli depuis longtemps. Faut marteler le discours : son fils ne peut être son confident, il a bien d'autres moyens de partager avec lui. Néanmoins, il ne faut pas se présenter en opposant mais " proposition d'alternatives" pour qu'il s'amuse avec son fils. Je ne peux pas dire s'il soit bon que son ex femme lui présente d'autres solutions pour oublier les amours toxiques. Demandez à un ami commun.
- toucher un mot aux potes de beuveries (les jeunes comme les vieux)

C'est compliqué quand deux générations sont impliquées au sein d'une même famille.
Le père est quand même sensé avoir plus de recul sur la question, même si il est dans un certain déni, ne serait-ce que parce qu'avec le temps, en vieillissant, on encaisse moins bien les consommations excessives, c'est comme ça, c'est mécanique.

Il vaut peut-être mieux en discuter avec lui d'abord, c'est le premier qui devrait se sentir responsable de la situation actuelle.
Sauf que si ils se servent tous les deux d'alibi, c'est pas gagné.
L'idéal serait qu'il y ait un autre interlocuteur, étranger à la famille et neutre. Sans tomber dans le schéma de la "thérapie familiale", un médecin ou un psy ou les deux pourrait peut-être dénouer les choses.

Le truc étant que toi, en tant qu'ex-femme et mère, tu peux difficilement te positionner avec une autorité neutre. Peut-être même que ce n'est pas souhaitable si ça renforce chaque partie dans ses convictions.

Ton ex-mari n'a aucun soucis de santé à ce régime ?
Ca pourrait être une façon d'aborder le problème. Aucun parent ne souhaite consciemment à ses gosses de se miner la santé.
Ton fils encaisse peut-être bien parce qu'il est jeune mais ça ne dure qu'un temps

En tout cas, évite de transformer ça en croisade personnelle, même si c'est tentant, ça risque plus d'envenimer les choses

Je ne me suis jamais alcoolisé avec mes parents, ils ne boivent pas.  
Mais dès jeune j'ai appris à boire avec la famille de mon  meilleur ami pour obtenir à peu près le résultat auquel tu es confronté.  
 
Je vais dire un truc tristoune mais il n'y a pas grand chose à faire.  
Son père peut moins l'engrainer certes mais l'alcool et la fête trouve toujours leurs voies.  
Le mieux est sans doute d'accepter sa conduite à risque et de lui offrir du soutien pour éviter qu'il prenne trop cher.  
Truc rassurant : son taf et une potentielle copine vont peut-être lui permettre d'arrêter ce cercle à un moment et ça ne sera pas chronique.  
Bon après, si tu as lu le topic, tu vois que ça reste un risque à vie.  
 
Y'a ptêtre la voie des psycho thérapie, pourquoi on se flingue comme ça, est ce qu'on aime ça le lâcher prise total ou/et on répond à une envie de se détruire car on est mal, jpense les deux.  
 
Je compatis avec toi car maintenant que je suis adulte et que je continue sporadiquement, je comprends la peine de mes parents.  
 
Bon courage.

Perso-moi je
 
Un jeune de 24 ans qui se biture touléwiken , je comprends l'inquiétude en tant que mère mais en même temps je le faisais aussi, ainsi que toutes mes connaissances à cet âge-là, bien avant que l'alcool ne soit un problème pour moi. J'ai presque envie de dire que c'est de son âge.
Par contre, l'apéro tous les soirs avec son père, là ouais ça pue du cul, je trouve
Je pense que c'est surtout son père qu'il faut secouer, qu'il se mette une reculée tous les soirs c'est soin problème, mais qu'il entraîne son propre fils là-dedans, ça mérite des grands coups de pompe dans le cul.
 
Mes 2 roupies

Perso je vais un peu dire l'inverse de ragga...

L'apéro avec son père ça pue du cul effectivement, mais à l'époque mes potes et moi avions aussi plus d'affinités avec les parents cools (ceux qui nous laissaient faire et qui nous accompagnaient volontiers). Ils ne sont pas devenus alcooliques pour autant. Je me souviens typiquement de ces vacances à 14 ans, avec la maman d'un ami. On avait abusé sur le "badge" et elle n'a rien dit, au contraire. Ce pote là a une relation tout à fait normale vis à vis de l'alcool aujourd'hui.

Le dialogue est la meilleure solution. On m'a interdit, ça n'a pas marché. Menacé, ça n'a pas marché non plus.

Le retrait de permis en dit assez long, mais il est encore loin des véritables problèmes.

Peut-être que lire quelques pages de ce forum lui ferait de bien. On est pas tous beaucoup plus vieux...

Le problème est que si un ou les parents ont déjà des problèmes avec l'alcool et en consomme avec leur gamin, ça dépasse le cadre festif et sympathique
Au lieu d'être un apprentissage bon enfant, ça devient craignos, en tout cas ça ne donne pas le bon exemple.
 
Sans même entrer dans le débat sur l'hérédité, si il y a des gènes favorables à l'alcoolisme dans la famille, il y a des chances que ça se transmette, en plus de l'aspect comportemental

Embêtant tout ça...Je suis également inquiet de cette alcoolisation quotidienne avec le papa. Mais aussi de celle plus massive du we car c'est elle qui fait faire des conneries et parfois des grosses.
 
Je suis également favorable à l'intervention d'une tierce personne qui ne serait pas toi, la maman. Une sœur ou un frère, peut-être? Ou un parent proche (oncle , tante...) ? Idéalement et légitimement ce serait au papa de faire quelque chose.
 
Et d'assumer ses conneries.
Mais tu sais, la passage à l'abstinence (ou à la presque abstinence) passe par la prise de conscience de son alcoolisme (je suis alcoolique, je l'affirme et l'admets !)
Je ne pense pas que ton ex et votre fils en soient là...  
 
 

Faut essayer de lui faire prendre conscience qu'il a une relation à risque avec l'alcool.
Y'a pas mal de test sur le net.

Y'a une chose pas mal dans certains pays, c'est le mois sans alcool (Belgique, Québec,...) en février. Je pense que ça peut être pas mal dans son cas d'y participer pour prendre conscience si il a un problème ou pas.

D'ailleurs pourquoi aucune association (à ma connaissance, j'ai appris l'existence de ça récemment et je me suis peux documenté dessus.) propose ça en France ? Trop de lobby?

Sinon, c'est très difficile d'arrêter soi même l'alcool, alors un proche,...

On le dit suffisamment ici, si ce n'est pas une démarche volontaire (qui passe déjà par un constat), c'est peine perdue.
Qu'il s'agisse de réduction ou d'arrêt.

D'abord un grand merci à tous pour vos réponses, c'est vraiment sympa ici  
 
Je vais répondre quasi message après message car je n'arrive pas à tous vous citer dans le même message    
 

 
J'ai cru lire ici que c'est quelqu'un qui revient de loin et qui a réussi à en sortir, avec plaisir s'il nous lit je suis preneuse de tous conseils ici.
 

 
J'ai bien essayé de lui faire passer ce message, peine perdue c'est inconcevable pour lui de sortir sans s'alcooliser. Il m'a dit une fois que quitte à ne pas boire il préfère rester chez lui, sinon "soirée de merde" ; De plus en société c'est plutôt quelqu'un de très ouvert, et lorsque très exceptionnellement il ne se sent pas de sortir -très très rare- ses potes l'appellent en lui disant qu'il manque à l'appel et il se laisse emporter par le groupe.
 

 
 
Effectivement avec son père nous avons essayé de faire passer le message par un ami très cher que notre fils aime beaucoup et qui est aussi son parrain, cet ami a bien mis le doigt sur le fait que le comportement du papa n'était en rien exemplaire et il s'est donc aussi adressé directement au papa, comme quoi certaines habitudes du soir en semaine n'étaient pas de bon augure, sur le moment le papa a semblé approuver mais dans les faits absolument rien n'a changé de ce côté là. Le papa aime trop ces moments là et ne veut (peut ?) pas s'en priver.
 
Les potes de beuveries, les vieux j'en ai touché un mot mais bon ils sont dans une habitude de vie... les jeunes effectivement je pourrai essayer d'en discuter mais pas facile de trouver les mots justes