Reprise du message précédent :
Perso, je me souviens qu'à plusieurs reprises, j'avais grillé les étapes en passant directement par mon médecin généraliste (qui était bien au courant de mon problème) qui me faisait hospitaliser d'urgence.
En deux semaines je me retrouvais en cure de sevrage en hôpital (souvent en service gastro entérologie, où on trouve des lits plus facilement), suivi par des médecins addicto et des psychiatres/psychologues.
De là, avec leur aide, je cherchais tout-de-suite une post-cure qui collait avec ma sortie de l'hosto.
Une fois dans le système, tout peut, en effet, aller très vite.

C'était il y a plus de 10 ans, peut-être que les procédures ont changé.
A mon avis pas tant que ça, quand un médecin demande une hospitalisation d'urgence car son patient est en danger, on lui trouve un lit rapidos, en général.

Après, il faut avoir 1 mois 1/2 à 2 mois de libre devant soi, ce n'est pas évident, mais parfois on a pas le choix, c'est ça ou crever.
Et même si on replonge une fois sorti de cette pause, au moins ça aura permis à l'organisme de se reposer. C'est comme ça que j'ai survécu à plusieurs années passées à consommer 2 bouteilles de vodka/jour sans avoir de séquelles ('fin... les neurones ont du prendre cher comme même ), grâce aux cures/post-cures.

P'tain, je viens de faire le calcul, ça faisait 45 U par jour

Dans mon cas ya aucune urgence comme je ne bois déjà plus... Donc difficile de justifier une prise en charge à l'hosto sachant que j'ai pas de sevrage à faire ^^

Je pense que le psy est tout indiqué dans mon cas, ça va me faire chelou mais bon a un moment faut se laisser aller ! Et après baclofène ou pas on verra bien...
Selon la meuf, une consommation sans risque est possible dans mon cas, m'enfin c'est eux les toubibs  

Pfouah mais quand je lis ça je me demande si je suis vraiment alcoolo haha, 2 bouteilles de vodka c'est d'une violence !! Tu dois avoir un organisme en bêton pke moi tout part en couille avec bien moins  

Ouais, je ne sais pas si je suis de bonne constitution, pourtant je ne suis pas une armoire à glace, 1m70 et 70 kg en moyenne
Par contre, je pense avoir un métabolisme très rapide, j'élimine super vite.
 
Mais ça reste mystérieux, même pour moi.
En tout cas, sans ces cures, j'aurais limite clamsé ou fait une cirrhose, une pancréatite, le diabète, que sais-je et encore...
Ya plein de maladies sympa qu'on peut se choper en picolant

Je parlais des CSAPA surtout. Premier rendez-vous avec une infirmière et orientation en général un mois plus tard vers médecin / psy etc... Après plus aucun problème pour avoir des rendez-vous en vitesse.
 
Pour les cures, de ce que j'ai vécu, on peut avoir une place immédiatement s'il y a de la place (c'est bien le problème et pour ça qu'il y a de l'attente) ; on peut également avoir une place immédiatement s'il y a urgence, ils gardent un ou deux lit en général pour les personnes sortant des urgences. Dans celles que j'ai faites, la première fois j'ai du attendre plus d'un mois, pour une autre j'ai eu une place dès le lendemain (enfin à 2/3 jours). Et ça va toujours plus vite de passer par une structure spécialisée que par son généraliste
 
Sinon je ne suis pas loin de la conso qu'avait Brown, en ce moment... et c'est hard...
 
Du temps il en faut, c'est clair pour ceux ou celles qui ne sont pas au chomage ; j'ai la chance de bosser en famille donc ça aide comme y'a pas... Ou avoir un patron compréhensif qui va comprendre que ça ira beaucoup mieux plus tard, mais ça court pas les rues... (ou pas chercher à bosser et vouloir se faire des "vacances" à l'oeil , j'en ai connu un qui n'avait pas une seule addiction)

Moi c'est simple, à cette époque je me réveillais la nuit pour boire sinon pas de nuit, je buvais au lit le matin, sinon pas de lever, je buvais au minimum 20 cl (un flash) toutes les deux heures sinon incapable de fonctionner.
 
Et le pire c'est qu'à part en fin de journée, je n'était pas ivre mort.
J'avais des activités diurnes, je sortais peu et voyais peu de monde mais j'en étais capable.
Par contre j'avais une mémoire de 24 h maxi, incapable de me souvenir de la veille, encore moins capable de me projeter ne serait-ce que de quelques jours dans le futur.
Anesthésie générale, c'est surement ce que je cherchais d'ailleurs et sans doute ce que tu cherches pouicky d'après ce que tu as écrit ici
 
Mais on sait que ce n'est pas une solution puisque ce n'est pas viable et ça ne fait que retarder l'échéance.

 
Et ça pendant plusieurs années ? Tous les jours ? dediou ...  

Interrompu par 4 cures/post-cures suivies de rechutes

Ouais alors qu'à part les weekend de "sorties" ou je pouvais taper l'équivalent de 1,5 bouteille entre apéro / repas / bars, j'ai assez rarement dépassé les 10-12 unités par jour ! Et pourtant j'ai déjà pas mal de désagréments physiques pour mon jeune âge    
 
Tiens shamshir a disparu  

3 semaines qu'on a pas de news de lui, ça commence à devenir inquiétant
A moins qu'il ait trouvé une solution et pris ses distances, je l'espère.

 
T'as déjà fait des post cure de un an?

T'es mon jumeau caché  
 
mais
 
Je me force à finir ce que j'ai le soir pour ne pas avoir à terminer ça la nuit ou le matin (ça ne marche jamais et ça relance tout forcément).
 
Je fais un exercice le matin, me rappeler ce que j'ai mangé la veille ; si je ne m'en rappelle pas ou que je je n'ai pas mangé, j'ai trop bu... Si je m'en rappelle, j'ai trop bu aussi de toute façon...
 
Je dis tout ça sur le ton de la blague mais c'est une horreur... J'ai juste une "micro chance" de ne pas habiter en ville et de devoir aller chercher mon alcool à pieds (5km dans les champs), hors de question de conduire et ça limite un peu si la forme n'est pas là. Mais hors de question de rencontrer des gens si j'ai pas un flash avec moi Il n'y a que pour mes rendez-vous (médecins) que je ne bois pas même si ça ne m'empêche pas d'être "bourré" de la veille.
 
J'ai fait une connerie l'année dernière, j'ai fait une cure qui a été "exceptionnelle", j'aurais du continuer en post comme tout le monde me l'avait conseillé, je n'ai tenu que quelques mois.
 
Pour les maladies, ça peut aller très très vite suivant les gens, comme pour l'aspect physique, ou ne jamais arriver... J'en suis à un stade o`u je m'en fous totalement mais je cherche à comprendre pourquoi et surtout m'en sortir.
 
geosadak, avant de te faire prescrire du baclofène, laisse le soin (ou demande lui) au médecin de bien t'expliquer les différents médocs qui existent, chacun a sa fonction et aucun ne marche sur tout le monde (bah ça serait trop simple ) ; le travail psychologique est le plus important

Non, je ne savais même pas que ça existait
Un mois et demi la plus longue dans mon cas.
 
Le revers de la médaille de la post-cure, c'est qu'il faut réintégrer la vie normale après
En post, tu es en milieu protégé, c'est facile d'avoir des bonnes résolutions, de cerner le problème et ses origines. Même si on t'encourage à anticiper la sortie, c'est toujours aussi casse-gueule à cause du changement d'environnement.
Ca m'a aidé à gérer par la suite le problème en ambulatoire, dans la vie de tous les jours, à trouver mes propres solutions, mes propres garde-fou.

 
 
J'ai évité aussi, si au bout de trois mois d'abstinence on a pas compris que notre vie était de ce côté de la barrière, et ben c'est qu'on est pas futé  

Désolé et en toute amitié, pas d'accord. Ce n'est pas une question d'être futé ou pas. Abstinent c'est clair qu'on est plus que mieux mais on reste toujours malade. J'ai vu des gens rechuter après plus de 10 ans (et en ressortir) et ils étaient plus intellectuellement avancés que moi.
Moi pour le moment je n'y arrive pas et si t'as une explication, je la prends de suite  

 
Oui, je sais. La tout de suite je dirais baclofene, avec des doses conséquentes, ça ne fonctionne pas tout de suite, mais aux bout de que

Envie d'arrêter de boire? la volonté et être futé... Envie d'arrête de fumer? la volonté et être futé... Envie d'avoir une enfant? la volonté et être futé... Envie de soigner son cancer? la volonté et être futé...

 
 
Skuze, mon iPad et mon iPhone on planté. Que je me fasse bien comprendre
 
Le seul truc qui a l'air de marcher, pour moi c'est le baclofene, a haute dose, cela a éliminé un bonne partié de ma conso presque comme par magie, après le reliquat restant j'en suis pas encore débarrassé, mais je trouve que c'est déjà pas mal.

 
Je pense pas que c'est ce qu'il voulait dire Pouicky ! Après la volonté fait très peu, même après des mois d'abstinence (chose que je ne connais pas). Pour ma part c'est plus une question de force de caractère je pense (mais je parle pour moi), que de simple volonté. Car même avant de boire j'ai la volonté de ne pas le faire. Je suis pas très futé mais quand même    
Et la force de caractère ça va dans les deux sens. Trop on reste persuadé qu'on a pas de problème. Pas assez, on sait qu'on a un problème mais on est pas capable de le solutionner.
 
Effectivement, tu me déconseille le baclofène, j'ai déjà plus ou moins dit non. Bouffer 50 cachetons par jour j'arrive pas à me l'imaginer, mais ma détresse est moindre que la tienne. Peut-être qu'un essai chez toi donnerait des résultats ?
 
J'ai mis l'accent sur le suivi psy lors de mon premier rendez-vous, car comme toi, il faut que je comprenne comment j'en suis arrivé là, et surtout que je l'entende de la bouche d'un autre. Après on pourra faire qqchoz.
 
Ta marche c'est déjà ça vraiment bien ! T'as pas quelqu'un dans ton entourage qui pourrait avoir un petit soucis également, avec qui vous pourriez vous soutenir ? C'est d'une grande aide !  
 

 
Franchement le baclofene n'a pas d'effet secondaire notable, il faut en prendre vingt minimum par jour pendant longtemps mais ça me pose pas de problèmes, enfin chacun voit.

No pb... J'ai tout essayé en "médoc" et je peux en parler. C'est le mot "futé" d'elixir15 qui m'a fait réagir en me rappelant tout ce que je peux entendre tous les jours (je m'excuse).  
 
Avoir un proche ou conjoint qui a le même genre de pb, c'est vraiment pas une aide, pour l'avoir vécu...
 
Et je marche, c'est bien, mais c'est pour "picoler"...
 
Surtout geo, n'hésite pas à demander à voir d'autre personne si tu ne le sens pas

 
C'est le dernier que j'ai testé et j'ai tout eu et je ne recommencerai pas... (mais je reste convaincu que ça marche pour certains)

C'est clairement une solution que j'envisagerai si j'étais allé plus loin, au stade ou je n'arrive plus à maitriser ma consommation du tout.  
Mais c'est selon mon mental, si je suis contrarié, stressé, angoissé (ce qui m'arrive de plus en plus), je vais boire jusqu'à être détendu, soit au moins une bouteille de pinard.  
J'ai réussi à arrêter de faire ça chez moi c'est donc déjà un combat de gagné. Si ma journée a été pourrie, je me défoule, 1L de carola cul sec et ça passe.
 
Mon soucis maintenant c'est les situations à risque. J'ai développé une sorte d'anxiété sociale vis à vis de mes proches (aucun pb avec des inconnus). Comme je me trouve ridicule, je suis persuadé qu'eux aussi et tout part en latte. Donc je bois, et je me sens mieux, et je bois encore... Et le lendemain j'ai la gueule de bois et donc je bois à nouveau, et le cercle est relancé. Heureusement jarrive à le stopper rapidement maintenant.
 
C'est psychologique et je sais pas si le baclofène y ferait quelque chose.
Je vais chez mon toubib ce soir. Je compte demander un benzo à prendre ponctuellement dans ces conditions qui se cantonnent aux weekend. Si ça m'évite de boire dans ces moments là j'aurais fait un grand pas.

Perso, ça marche bien le Baclofène pour moi.
Je me suis stabilisé à 240 mg/jour. C'est beaucoup, je sais, mais c'est efficace. Ca coupe le craving et ça enraye l'escalade si je bois quelques verres (en général en société et je me limite à 2-3 U).
 
Quand j'ai une journée trop arrosée (ça arrive encore, malheureusement, mais de moins en moins souvent), à 15-20 U par exemple, ça m'évite de remettre du bois dans la chaudière le lendemain, vu que ça gomme les symptômes du manque.
 
A côté de ça, il y a des effets secondaires liés au traitement qui varient suivant les individus.
Moi j'ai de la chance, j'ai juste des coups de barre un peu trop appuyés. Si je suis assis et inactif, ça arrive que je fasse des micro siestes. Si je suis actif ou debout, aucun soucis.

 
Voilà c'est ce que je voulais vouloir dire, mais tu es à d'accord pour dire que çà peut durer des semaines avant d'avoir un résultat probant, "comme par magie"  

Ah mais clairement, ya des mecs chez qui faut 1 mois, et le baclo faut augmenter progressivement en plus...  
 
C'est le temps que les molécules aillent titiller les récepteurs du cerveaux qu'ils soient occupés à autre chose qu'à vouloir être bourrés.
 
Comme je disais à mon arrivée ici, j'ai la même chose avec la codéine. Si je prends 150mg de codéïne j'ai plus envie de boire pendant 2 jours (sauf que là c'est l'action anxiolytique des opiacés). Sauf que j'ai pas envie de finir sous méthadone donc j'évite.
 
Une question par rapport au baclo, ya une dépendance physique ?

A priori, il y a un protocole de diminution de la posologie pour arrêter (comme pour atteindre une dose élevée, d'ailleurs), donc je dirais oui.
Cependant, il m'est arrivé de sauter une prise (60 mg toutes les 4 heures) sans avoir ressenti le moindre manque.  
S'il y a dépendance, ce n'est clairement pas comme les benzos.
C'est censé être un myorelaxant à la base, pas un anxiolytique.

 
Aucune dépendance physique, dans quelques jours je mettrais ici mon ordonnance, je sais de quoi je parles,  

 
J'ai cette chance d'avoir accompagné et été accompagné d'un ami quand on était en plein déni et qu'on claquait nos salaires dans les bars. Ce même ami se rend compte aujourd'hui qu'il a également un soucis, et ça nous permet de nous motiver l'un l'autre !  
 

 
Ok merci, je vais y réfléchir dans ce cas  
 

 
Ce médoc coûte rien, il suffit d'en prendre une bonne grosse dose par jour, sans effet secondaire, sur plusieurs mois, et tu dégages la moitié de ta conso d'alcool, j'ai plus l'angoisse d'où matin qui me force à consommer, je peux attendre l'après midi pour faire venir la vinasse, donc ça laisse à du temps pour réfléchir, un peu  

Baaaaah s'ils se mettaient à faire des dosages plus élevés ça serait pas mal, se nourrir de pilules ça doit pas être fun ! Mais sans addiction ça m'intéresse !  
 
Maintenant faut dire qu'en 2 mois j'ai eu que 10-12 jours alcoolisés, la picole quotidienne j'ai réussi à arrêter depuis pas mal de temps !

Perso, à 240 mg (4 x 6 cachets) par jour, je n'ai plus envie ni besoin de boire du tout.
Au quotidien, conso zéro et quand je bois 2 ou 3 verres (lors des sorties surtout, chez moi tout seul, je n'ai pas envie), ça me suffit largement.
 
Quand j'ai des craquages (une ou deux fois par mois pendant le we en moyenne), ça tient plus de la crise de boulimie que de l'envie d'alcool, il ne reste plus que le côté comportemental du problème et une vieille habitude dont j'ai du mal à me défaire.

 
Edit. Mon tel m'a niqué tout mon message pas intéressant à cause d'un smiley...
 
Je disais que j'avais passé 3 ans avec une nana plus "attaquée" que moi et c'était vraiment ultra compliqué... Dans le deni tous les deux, elle, avait déjà fait un séjour à l'hopital (pour faire plaisir)... c'était l'enfer en fait
 
Pour le baclo, c'est le seul que je ne veux pas essayer (après tout le reste) et j'ai tellement du mal à en prendre juste un le matin que je ne me vois pas en prendre 20 et je suis ultra compatible avec les effets secondaires... Je peux vous parler de tous les autres en revanche (esperal compris)

Bon je suis allé vider mon sac chez le médecin, ça fait du bien. 1 mois d'arrêt, AD/anxios/benzos. Plus un bilan hépatique, là je flippe un peu par contre...
Ma femme gardera les benzos sous clé pour que j'abuse pas, je lui ai pas forcément tout expliqué le pourquoi du comment, je veux pas qu'elle s'inquiète trop...

 
Eh ben bravo !! T'as très bien fait, et je confirme que ça fait du bien ! Pour la prise de sang tu peux attendre 2 semaines avant de le faire. Ça permet au bilan hépatique de se normaliser si le foie n'a rien !
 
Je suis aussi passé chez mon toubib hier soir, demander un petit soutien pour les situations à risques, le temps d'avoir mon rdv au csapa. Résultat j'ai aussi un benzo, que je prendrais au besoin donc majoritairement le weekend.

Non je vais pas attendre pour la prise de sang. Je veux savoir d'où je pars, et surtout si ça s'améliore par la suite.

A l'analyse, on regarde certains paramètres en particulier dans le cadre alcoologique, les gamma GT, les transaminases (ASAT, ALAT), les CDT, et les VGM.
 
Les deux premiers baissent assez vite (au bout d'une semaine de sobriété) et peuvent avoir des résultats élevés pour d'autres causes que l'alcool (médicament, problème hépatique, environnement professionnel), le troisième est un marqueur spécifique à l'alcool chronique qui s'estompe vite (2-4 semaines), le dernier est le plus stable, il perdure pendant plusieurs mois.
 

Les VGM faut y avoir été très fort pour qu'ils grimpent mais oui c'est ça.  
 
Je te félicite de prendre le problème comme ça Ragga ! C'était pour t'éviter de baliser devant des valeurs qui peuvent n'être élevées qu'à cause des alcoolisations récentes et pas parce que le foie a réellement quelque chose.  
 
Et effectivement les gamma GT augmentent aussi en cas d'obésité ou avec certains traitements médicamenteux. C'est pas un marqueur très fiable.
 
Tiens nous au courant  

L'exposition a certains produits comme les vernis ou les résines fait aussi monter les Gamma GT en flèche.
J'avais croisé en cure un type qui était ébéniste et utilisait ces produits toute la journée, il avait des Gamma GT de dingue et son patron était persuadé qu'il était alcoolique alors qu'il ne buvait pas une goutte.

Dans mon cas les GCT ce sera du 100% sky
Je sais bien que les résultats risquent d'être moches, l'important c'est qu'ils s'améliorent et que je n'aie rien de grave a plus ou moins long terme (foie). Le médecin a quand même bien tiqué sur ma conso...
On verra bien

Y'a la Ferritine aussi (ou au moins le ratio Fer/Ferritine).
Pour moi elle avait atteint des sommets, mais après 6 mois sans (trop) tiser, elle est revenue à des valeurs raisonnables.  
Mon médecin n'en revenait pas, je pense qu'il suspectait un truc plus grave.
Par contre, il ne t'a pas prescrit d'échographie ? Parce que pour savoir si t'es cirrhosé, un bilan sanguin ça ne suffit pas, je crois...

 
Le mien, et l'infirmière du csapa aussi. Pourtant j'ai même pas trop exagéré ma conso, j'ai parlé de 10U dans les jours soft (semaine), 20U dans les jours fastes  
 
Mon toubib hier soir : "l'addiction à l'alcool me préoccupe bien plus que celle au cannabis"
 
Par contre je sais pas si j'ai un pb avec les benzo ou quoi, mais déjà le seresta n'avait pas marché, mais le xanax c'est du même acabit. Je prends, je prends pas c'est pareil, je suis une boule de nerfs.