Dans son "Soral répond", le Master parle de participation politique. Il reprend point par point son argumentaire d'avril 2013, affirmant qu'il n'est pas démocrate et le système fait tout pour l'empêcher de se présenter. Sauf qu'il a "lancé" RecNat en septembre 2014 ! Pour envoyer son public s'en prendre plein la gueule (dixit Soral), aucun problème, mais pour y aller lui, là, ça coince... Il ressort la panoplie du lâche soralien : les sionistes sont trop forts, le système fait tout pour que ça marche pas, je ne suis pas démocrate donc ça ne sert à rien. Il aurait raison avec son Gramsci s'il n'avait pas "monté" "Réconciliation Nationale" avec Dieudonné. Il est gonflant de lâcheté. Quand on lui demande pourquoi il dit du bien de Mélanchon sans appeler à voter pour lui, il ne dit pas pourquoi il l'appelait "Merluchon" pendant des années. Mélanchon n'a pourtant pas changé.
Il évoque aussi Goldnadel quand un "auditeur" lui dit que Soral a travaillé pour lui. Soral répond qu'il a été approché par lui "en 2002-2003", pour être ce qu'est Camus aujourd'hui, c'est-à-dire un nationaliste sioniste. Mais comment Goldnadel a-t-il eu cette idée ?... Sur le plateau de Patrick Buisson, il disait qu'il n'était pas pro-palestinien, et ses écrits semblaient indiquer qu'il était, sur la question arabe, plus proche de Goldnadel. Il glisse habilement les années 2002-2003 pour ne pas parler l'année 2004 et en particulier de la fin septembre 2004, date de son agression bidon. L'auditeur posait une question débile sur la nostalgie de Goldnadel, parce que ce dernier porte des chemises à rayure... En voilà de la "clientèle au niveau".
Et dans les huit dernières minutes, il s'en prend à Renaud Camus, le traitant d'enculé et lui reprochant de parler de "grand remplacement" sans être foutu de faire lui même des gamins...
Message édité par DrMarty le 14-10-2017 à 12:18:58