J4AI PETE LOL

C'est pas une honte, mais l'autre jour j'ai vu un gars en costard qui s'est lavé les mains, les a essuyées dans le truc de tissu déroulant.    
 
Ensuite il a tiré pour avoir du tissus propre, puis... il s'est mouché comme un porc dedans. Sans tirer à nouveau le tissus en partant bien sûr !    
 
Depuis, je tire toujours le truc avant d'essuyer mes mains.  

Une petite comme ca d'il y a un moment :
 
Je vais aux toilettes au boulot, je commence à pisser tranquille dans une pissotière et la un autre mec arrive, costard cravate, irréprochable, surement un responsable.
 
Le mec se cale sur la pissotière à coté de la mienne, bon déjà les pissotières sont très rapprochés léger malaise mais bon, je résiste aux sirènes de la comparaison de chibres
 
Et la, incident incontrôlable, je lache une petite perlouze insidieuse qui ne s'est pas annoncé, impossible à contenir elle est sortie avant même que j'ai pu contracter mon sphincter anal    
 
Le gradé d'a coté commence à pouffer puis à rire ouvertement, trop gêné pour dire quoi que ce soit ni même m'excuser, je suis sorti sans croiser son regard, l'odeur subtile de mon oeuvre commençait à emplir la pièce    
 
 

 
et après il a touché la poignée de la porte des chiottes ?

Une petite comme ca d'il y a un moment :

Je vais aux toilettes au boulot, je commence à pisser tranquille dans une pissotière et la un autre mec arrive, costard cravate, irréprochable, surement un responsable.

Le mec se cale sur la pissotière à coté de la mienne, bon déjà les pissotières sont très rapprochés léger malaise mais bon, je résiste aux sirènes de la comparaison de chibres

Et la, incident incontrôlable, je lache une petite perlouze insidieuse qui ne s'est pas annoncé, impossible à contenir elle est sortie avant même que j'ai pu contracter mon sphincter anal  

Le gradé d'a coté commence à pouffer puis à rire ouvertement, trop gêné pour dire quoi que ce soit ni même m'excuser, je suis sorti sans croiser son regard, l'odeur subtile de mon oeuvre commençait à emplir la pièce  

Comment ça a pu remonter jusqu'au boulot ?

P'tain, c'est dingue ce topic. Dès que quelqu'un post un certain type de honte, il y a toujours des paranos pour penser à VR.
 
Désolé, vous faites erreur. Mais je ne posterai plus ici, je me contenterai de lurker à l'avenir

J'avais loupé ce topic moi la plus grosse honte c'est quand j'ai été hospitalisé après une fracture du pied, dans l'hosto les infirmiers après que l'on soit endormit avant l'opération prenez des photos de votre sexe et les faisaient tourner à leur potes et compagnie, comme je suis pas spécialement bien monté j'ai eu droit au boulot à des allusions et moqueries diverses et avariées, ils m'ont mis la honte de ma vie, quoique j'ai jamais vu leurs parties génitales .  

 
Sa prose est reconnaissable entre 1000

Sa prose est reconnaissable entre 1000

Là c'est pas lui, garanti sur facture

P'tain, c'est dingue ce topic. Dès que quelqu'un post un certain type de honte, il y a toujours des paranos pour penser à VR.
 
Désolé, vous faites erreur. Mais je ne posterai plus ici, je me contenterai de lurker à l'avenir

Vous êtes vraiment des paranos, c'est dingue

J'avais loupé ce topic moi la plus grosse honte c'est quand j'ai été hospitalisé après une fracture du pied, dans l'hosto les infirmiers après que l'on soit endormit avant l'opération prenez des photos de votre sexe et les faisaient tourner à leur potes et compagnie, comme je suis pas spécialement bien monté j'ai eu droit au boulot à des allusions et moqueries diverses et avariées, ils m'ont mis la honte de ma vie, quoique j'ai jamais vu leurs parties génitales .  

Voulais-tu plutôt écrire : "(...) des patients endormit (...)"

Là c'est pas lui, garanti sur facture

Vous êtes vraiment des paranos, c'est dingue

 
Hmmm Bizard ton pseudo .
 
Si on retire les lettre T H A R G G A, qu'on garde le R de fin de pseudo et qu'on y met un V devant, ça fait ... VR.
 
Je dis ça je dis rien  

+1

Putin je viens de me taper l’affiche de façon supra orbitale dans ma copro, Hashtag je suis grillé a vie. Récit :
 
Après dix ans dans ma résidence, j’ai encore parlé à personne. C’est pas que l’envie me manque, c’est juste que mon niveau de social akwardness est tellement élevé que chaque geste du quotidien demande une attention particulière pour pas que je me retrouve en garde à vue au simple motif de ma mongolance en phase terminale.
 
Bref aujourd’hui le miracle arrive : Au bout de 10 années, je finis enfin par réussir une conversation de couloir avec un de mes voisins du dessus et, de fil en aiguille, je me retrouve chez lui à boire une bière comme si on était deux vieilles couilles. 5 minutes plus tard, Arrivant au bout de l’effort surhumain que ça m’a demandé, je décide de prendre congé, non sans embarquer nonchalamment une poignée de cahuètes qui trainent sur la table comme un un bon vieux gitan que je suis.
 
Le mec est au 9e, je suis au Rez de chaussée, une feignasse comme moi a vite fait le calcul : Direction l’ascenseur. J’appuie sur le bouton, les portes se referment et je m’envoie ma poignée de cahuètes au fond du gosier.  
 
Presque immédiatement, ce geste du quotidien se transforme en échec critique. Ces putin d’arachides sont coincées dans ma trachée et j’ai environ 3 secondes d’oxygène en stock. Je suis d’abord paralysé par la stupeur mais j’utilise ces trois seconde pour faire la chose la plus à ma portée : paniquer. Vient ensuite le moment de génie ou je me dis que je vais me faire une manœuvre de heimlich à moi-même, je me jette donc plusieurs fois contre les parois de l’ascenseur, Puis,  troisième étape de ma méthode brevetée, je me mets au sol en PLS et j’attends de mourir.
 
Rez de chaussée les portes s’ouvrent. Je suis a quatre pattes en train de feuler comme une vielle chatte asthmatique quand j’entends vaguement un « ça va monsieur ? » en face de moi. Quelques secondes passent et je sens une énorme gifle s'écraser sur ma nuque. Ma voisine de palier, une Micheline de 50 berges, viens de me foutre une branlée façon MMA qui m’a fait gerber 5 cacahuètes glaireuse à ses pieds.  L’oxygène reviens. Je revis.  
 
Je me relève vite fait, je ramasse mon merdier infâme et je lui souhaite « une bonne soirée » alors que j’ai encore les larmes aux yeux et un fil de morve qui relie mon nez au coin de ma bouche.
 
L’ambiance dans l’immeuble ne sera plus jamais pareille maintenant. Je suis grillé dans tous les espaces qui requièrent des interactions humaines. J’ai atteint le point de non retour.