PAVE !!!
 

Le sperme, ca n'est pas sale !  

Sinon  

 
Mes les vêtement des hôtes qui ont servis au déménagement c'est moins sur  
 
Sinon juste énomre

 
Mes les vêtement des hôtes qui ont servis au déménagement c'est moins sur  
 
Sinon juste énomre

 PAVE !!!
 
Bon, oui c'est un multi mais trop de connaissances irl connaissent mon pseudo..    
 
Juste un petit post de prévention pour signaler que la masturbation, (pas nécessairement violente ou excessive   ) peut causer la déchirure nette du frein, et que ça fait TRÈS mal.      
 
Expérience perso d'il y a quelques jours, (combo fail+honte) :
 
Pour situer le contexte, je suis en WK chez mon oncle (aide à un déménagement), et, après une dure journée de travail physique, étendu sur mon lit (le canapé du salon), la maison silencieuse, je décide de m'offrir une petite séance de détente solitaire..    
 
Je me met à l'ouvrage tranquillou, rapidement gonflé a bloc, raidissement du membre au moment ultime, la main tirant la peau vers le bas, ça monte, ça monte, ça...
"schrak."    
Juste schrak.  mais un schrak qu'on oublie pas.  
(A l'oreille, presque le même schrak que celui que fait la peau quand on éclate un méchant bouton. En plus fort.   )
 
C'était le cri de désespoir de la mince membrane coupée net, dont les deux moignons commencent à saigner abondamment.
(J'en connais qu'y m'ont demandé irl ce qu'était un frein, je sais qu'on est sur hfr, mais schéma au cas où :

)
Sur le moment la douleur est atténuée par l'adrénaline et le fait que je venais de terminer ma besogne, mais la quantité de sang mélangé à ma semence qui commence à se répandre sur le sol malgré mes efforts pour l'en empêcher me rappelle rapidement à la réalité : bobo. Très.
   
 
Petite parenthèse pour faciliter la compréhension des actions qui vont suivre :
 
"Effet chimpanzé : se dit lorsqu'un taux d'adrénaline très élevé, du a un stress important, suite à une blessure ou dans une situation de survie par exemple, limite dramatiquement le raisonnement logique et contribue souvent à rendre la situation pire que ce qu'elle est déjà par le biais d'actions fondamentalement stupides."
 
Étant donc actuellement contrôlé par un cerveau dont le QI avoisinait celui de l'asperge morte, je ne pense qu'à une chose : stopper l'hémorragie au plus vite. (Hémorragie d'environ une goutte toutes les 5 secondes, j'avais le temps avant de me vider de mon sang...   )
Je me lève donc, le caleçon sur les chevilles, et me précipite dans la salle de bain (plus proches que les toilettes), oubliant les règles de discrétion les plus élémentaires, laissant tomber sur le sol une série de grosses gouttes du mélange décrit précédemment.
 
Une fois dans la place, ma première tentative fut de tenter d'endiguer le flot à l'aide du premier truc qui m'est tombé sous la main : les fringues sales de mon oncle et sa femme.    
 
Une fois le membre meurtri grossièrement nettoyé, mon cerveau recommence tout doucement à essayer de réanimer quelques neurones, qui, après s'être concertés, décidèrent à l'unanimité qu'il fallait urgemment désinfecter la plaie.  Malheureusement pour moi, les meilleurs éléments devaient encore faire grève, puisque j'ai préféré m'asperger avec la bouteille d'alcool à 90° plutôt qu'avec la betadine.
   
Et là, même l'adrénaline ne put empêcher le hurlement étranglé qui allait réveiller mes hôtes de franchir ma gorge.
 
Rendu hystérique par la douleur, j'ai quand même réussi à me dire que là, j'étais dans la merde.
 
Entendant du mouvement dans la chambre de mes hôtes, je m'empresse d'enfouir les habits sales encore plus sales dans leur corbeille tout en remettant l'alcool à sa place. Je commence ensuite à essayer de me rincer le baobab pour atténuer la brulure, mais cette fois ci plus de doute, des pas résonnent dans le couloir !!!  
 
Je me baisse pour remonter rapidement mon caleçon... qui a apparemment décidé de quitter mes chevilles pour bronzer peinard sur le sol du couloir.     ( caleçon : )
Je me jette sur la porte pour la verrouiller, m'exécute.. et arrache le fragile bitoniau prévu à cet effet.    
 
Je réalise avec une horreur grandissante la situation dans laquelle je suis : nu, du sang et du sperme partout, coincé dans une salle de bain alors que mes fluides corporels et mon caleçon se prélassent sur le sol que va bientôt fouler mon oncle pour me demander ce qui m'arrive.
 
Après la panique la plus totale (j'ai pensé pendant une seconde a fuir par la fenêtre ), profond désespoir me semblent les mots appropriés à mon état d'esprit. Mon oncle toque finalement à la porte pour prendre de mes nouvelles, et je ne trouve rien de mieux à lui dire que "rien de grave, je me suis coincé dans ma braguette."
Je l'entends me répondre "Ah ok" entre deux gloussements, puis il semble rejoindre sa chambre. Il n'a apparemment pas remarqué le sang et le caleçon.    
La tension baisse un peu, je fais le point. Je passe rapidement sous la douche me rincer, (non sans verser une ou deux larmes de douleur lors de la manipulation), je respire un coup, puis je commence à réfléchir sur le comment sortir de cette pièce...
 
Après 15 minutes d'essais infructueux, je transpire à grosse gouttes, imaginant déjà la tête du serrurier que mon oncle allait devoir appeler en ouvrant la porte...    
J'arrive enfin à ré-insérer le bitoniau suffisamment pour ouvrir le loquet ! Me voilà libre !!!    
Tout joyeux, je passe aux toilettes prendre du PQ, puis essuie mes merdes dans le couloir, ramasse mon caleçon, et continue de nettoyer en me dirigeant vers le salon avec la ferme intention de m'écrouler sur le canapé une fois ce travail terminé.
 
Sauf que je ne réalise pas que je n'ai pas allumé la lumière de la cuisine tout à l'heure. Que je suis à quatre pattes, que je suis à poil, du PQ dans une main et mon calbar dans l'autre. Que ma tante est en train de me regarder d'un air ahuri un verre d'eau à la main.  
Elle :  
Moi :    
 
Mes explications cafouilleuses ont du êtres un peu trop merdiques à son goût, puisque le lendemain elle m'expliquait gentiment qu'ils allaient se débrouiller pour le reste du déménagement (on avait pas fait la moitié), et que mon oncle allait me ramener à la gare dans la matinée.    
 
 
Le lendemain je reçois un texto de mon oncle qui me demande s'il y a un lien quelconque entre ce qui m'est arrivé cette soirée, l'état du loquet de la salle de bain, et les taches de sang sur une de ses chemises et de ses chaussettes. J'ai pas encore répondu.

j'ai réussi qu'à lire la honte en diagonale, j'avais tellement mal pour toi
pourtant ça a l'air tellement marrant mais non j'y arrive pas

 
"Effet chimpanzé : ."
 
Étant donc actuellement contrôlé par un cerveau dont le QI avoisinait celui de l'asperge morte, .

    cross-topic des infos insolites, point godwin incoming

Développe ?      
Je ne suis pas ce Topic..    
Non pas d'hosto pour celui qui a demandé. Ca guéri très bien tout seul pour l'instant.  Cf Topic sayske.  

 PAVE !!!
 
 
Le lendemain je reçois un texto de mon oncle qui me demande s'il y a un lien quelconque entre ce qui m'est arrivé cette soirée, l'état du loquet de la salle de bain, et les taches de sang sur une de ses chemises et de ses chaussettes. J'ai pas encore répondu.

 PAVE !!!

Bon, oui c'est un multi mais trop de connaissances irl connaissent mon pseudo..  

...

Le lendemain je reçois un texto de mon oncle qui me demande s'il y a un lien quelconque entre ce qui m'est arrivé cette soirée, l'état du loquet de la salle de bain, et les taches de sang sur une de ses chemises et de ses chaussettes. J'ai pas encore répondu.

 PAVE !!!
 
.

dans la cuisine ??

 PAVE !!!
 
Bon, oui c'est un multi mais trop de connaissances irl connaissent mon pseudo..    
...
 
 
Le lendemain je reçois un texto de mon oncle qui me demande s'il y a un lien quelconque entre ce qui m'est arrivé cette soirée, l'état du loquet de la salle de bain, et les taches de sang sur une de ses chemises et de ses chaussettes. J'ai pas encore répondu.

 PAVE !!!
 
Bon, oui c'est un multi mais trop de connaissances irl connaissent mon pseudo..    
 
Juste un petit post de prévention pour signaler que la masturbation, (pas nécessairement violente ou excessive   ) peut causer la déchirure nette du frein, et que ça fait TRÈS mal.      
 
Expérience perso d'il y a quelques jours, (combo fail+honte) :
 
Pour situer le contexte, je suis en WK chez mon oncle (aide à un déménagement), et, après une dure journée de travail physique, étendu sur mon lit (le canapé du salon), la maison silencieuse, je décide de m'offrir une petite séance de détente solitaire..    
 
Je me met à l'ouvrage tranquillou, rapidement gonflé a bloc, raidissement du membre au moment ultime, la main tirant la peau vers le bas, ça monte, ça monte, ça...
"schrak."    
Juste schrak.  mais un schrak qu'on oublie pas.  
(A l'oreille, presque le même schrak que celui que fait la peau quand on éclate un méchant bouton. En plus fort.   )
 
C'était le cri de désespoir de la mince membrane coupée net, dont les deux moignons commencent à saigner abondamment.
(J'en connais qu'y m'ont demandé irl ce qu'était un frein, je sais qu'on est sur hfr, mais schéma au cas où :

)
Sur le moment la douleur est atténuée par l'adrénaline et le fait que je venais de terminer ma besogne, mais la quantité de sang mélangé à ma semence qui commence à se répandre sur le sol malgré mes efforts pour l'en empêcher me rappelle rapidement à la réalité : bobo. Très.
   
 
Petite parenthèse pour faciliter la compréhension des actions qui vont suivre :
 
"Effet chimpanzé : se dit lorsqu'un taux d'adrénaline très élevé, du a un stress important, suite à une blessure ou dans une situation de survie par exemple, limite dramatiquement le raisonnement logique et contribue souvent à rendre la situation pire que ce qu'elle est déjà par le biais d'actions fondamentalement stupides."
 
Étant donc actuellement contrôlé par un cerveau dont le QI avoisinait celui de l'asperge morte, je ne pense qu'à une chose : stopper l'hémorragie au plus vite. (Hémorragie d'environ une goutte toutes les 5 secondes, j'avais le temps avant de me vider de mon sang...   )
Je me lève donc, le caleçon sur les chevilles, et me précipite dans la salle de bain (plus proches que les toilettes), oubliant les règles de discrétion les plus élémentaires, laissant tomber sur le sol une série de grosses gouttes du mélange décrit précédemment.
 
Une fois dans la place, ma première tentative fut de tenter d'endiguer le flot à l'aide du premier truc qui m'est tombé sous la main : les fringues sales de mon oncle et sa femme.    
 
Une fois le membre meurtri grossièrement nettoyé, mon cerveau recommence tout doucement à essayer de réanimer quelques neurones, qui, après s'être concertés, décidèrent à l'unanimité qu'il fallait urgemment désinfecter la plaie.  Malheureusement pour moi, les meilleurs éléments devaient encore faire grève, puisque j'ai préféré m'asperger avec la bouteille d'alcool à 90° plutôt qu'avec la betadine.
   
Et là, même l'adrénaline ne put empêcher le hurlement étranglé qui allait réveiller mes hôtes de franchir ma gorge.
 
Rendu hystérique par la douleur, j'ai quand même réussi à me dire que là, j'étais dans la merde.
 
Entendant du mouvement dans la chambre de mes hôtes, je m'empresse d'enfouir les habits sales encore plus sales dans leur corbeille tout en remettant l'alcool à sa place. Je commence ensuite à essayer de me rincer le baobab pour atténuer la brulure, mais cette fois ci plus de doute, des pas résonnent dans le couloir !!!  
 
Je me baisse pour remonter rapidement mon caleçon... qui a apparemment décidé de quitter mes chevilles pour bronzer peinard sur le sol du couloir.     ( caleçon : )
Je me jette sur la porte pour la verrouiller, m'exécute.. et arrache le fragile bitoniau prévu à cet effet.    
 
Je réalise avec une horreur grandissante la situation dans laquelle je suis : nu, du sang et du sperme partout, coincé dans une salle de bain alors que mes fluides corporels et mon caleçon se prélassent sur le sol que va bientôt fouler mon oncle pour me demander ce qui m'arrive.
 
Après la panique la plus totale (j'ai pensé pendant une seconde a fuir par la fenêtre ), profond désespoir me semblent les mots appropriés à mon état d'esprit. Mon oncle toque finalement à la porte pour prendre de mes nouvelles, et je ne trouve rien de mieux à lui dire que "rien de grave, je me suis coincé dans ma braguette."
Je l'entends me répondre "Ah ok" entre deux gloussements, puis il semble rejoindre sa chambre. Il n'a apparemment pas remarqué le sang et le caleçon.    
La tension baisse un peu, je fais le point. Je passe rapidement sous la douche me rincer, (non sans verser une ou deux larmes de douleur lors de la manipulation), je respire un coup, puis je commence à réfléchir sur le comment sortir de cette pièce...
 
Après 15 minutes d'essais infructueux, je transpire à grosse gouttes, imaginant déjà la tête du serrurier que mon oncle allait devoir appeler en ouvrant la porte...    
J'arrive enfin à ré-insérer le bitoniau suffisamment pour ouvrir le loquet ! Me voilà libre !!!    
Tout joyeux, je passe aux toilettes prendre du PQ, puis essuie mes merdes dans le couloir, ramasse mon caleçon, et continue de nettoyer en me dirigeant vers le salon avec la ferme intention de m'écrouler sur le canapé une fois ce travail terminé.
 
Sauf que je ne réalise pas que je n'ai pas allumé la lumière de la cuisine tout à l'heure. Que je suis à quatre pattes, que je suis à poil, du PQ dans une main et mon calbar dans l'autre. Que ma tante est en train de me regarder d'un air ahuri un verre d'eau à la main.  
Elle :  
Moi :    
 
Mes explications cafouilleuses ont du êtres un peu trop merdiques à son goût, puisque le lendemain elle m'expliquait gentiment qu'ils allaient se débrouiller pour le reste du déménagement (on avait pas fait la moitié), et que mon oncle allait me ramener à la gare dans la matinée.    
 
 
Le lendemain je reçois un texto de mon oncle qui me demande s'il y a un lien quelconque entre ce qui m'est arrivé cette soirée, l'état du loquet de la salle de bain, et les taches de sang sur une de ses chemises et de ses chaussettes. J'ai pas encore répondu.

fake  

fake