Reprise du message précédent :

C'est vrai, c'est peut être un peu violent, il faudrait que ça se passe en douceur, voyons ...  

J'ai trouvé  
On les envoie d'abord en Basse Normandie, histoire d'avoir une première peur approche.Puis, une fois bien dégoutés blasés, on les fait monter en Haute Normandie.
Et là, c'est la deuxième lame Gilette, le deuxième effet Kiss Cool, le beurre salé et la crémière quoi.

C'est rude, ça oui, mais c'est un poil plus vache sympa  

C'est formidable  

 
Ok merci

 
 Salut Aqua, et salut à quelques autres qui se reconnaîtront.  
 
 Tu ne crois pas que virtuelles ou sanglantes, il y a bien assez de guerres comme ça?  
 
 Le 17 juin 1789 se constitue la première unité politique se réclamant du peuple français.
 
 C'est l'acte de naissance de l'état actuel.
 
 C'est le cadre de l'ensemble des droits arrachés par la lutte de classes.
 
 C'est pour briser ces droits qu'il est nécessaire de briser ce cadre en attisant les communautarismes de tous poils.
 
 Et c'est un vieil occitan qui te le dit    
 
 http://www.youtube.com/watch?v=2FV [...] re=related
 
   
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Voilà, attisons plutôt le poil que le communautarisme

Coucou Leflat    
 
L'unité pour la Normandie et la Bretagne remonte même à  bien plus longtemps. Le duché de Normandie "disparait" en 1469  et 1547 pour la Bretagne
Etant dans un pays très "jeune" historiquement (c'est compliqué mais l'histoire de l'Allemagne en tant que tel remonte plutot à Bismarck et au XIX) c'est une chance historique d'avoir une unité aussi ancienne.    
Moi même je suis métisse    

 
--
 
Il n'y plus de guerre depuis bien longtemps par chez nous, alors virtuelle à grand coup de bataille sur le beurre doux et le beurre salé, je ne vois pas trop le mal. Les participants du topic ne sont pas des enfants ,  (enfin un peu quand même   )

Passez ses vacances en Bretagne      
 
Les plus exigeants et les plus "à l'aise" viennent chez nous (parigots tête de veaux ) .    
Ceux qui ne peuvent se permettre "Deaubille/Honfleur" viennent chez vous quand tout est plein sur la côte d'Azur ou en Gironde

 
ce serait effectivement sympa si les parigots, hollandais et autres touristes restaient en Normandie plutôt que de continuer à descendre par chez nous    
 
 
 

http://www.dailymotion.com/video/k [...] cz?start=2
 
L'arrangement devrait plaire à Empoipoi.    

EAT THAT, NORMANDIE§§§  
 

 
©M'â'me Bato  
 

Quiberon, quand même, ce n'est pas la Bretagne, il y fait beaucoup trop beau ²²²

Et les boîtes de la Belle-Iloise ont été achetée à Ouistreham.
Il faudrait savoir  

 
Tout est fait par des amateurs en Bretagne en fait  
Laissez faire les professionels
http://www.youtube.com/watch?v=KPYm3TB60EU
 

 
Pas de viande , obligé de bouffer tout le temps des sardines  

Faut bien savoir mettre des sardines en boîtes quand on n'est pas capable de faire un seul fromage

Ouais M'en va chercher des salicornes sinon on aura rien à bouffer

Ah! nos très cher voisins bretons:    
http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] #t31014017

 
 
(Je suis breton, mais là on est battu   )

 
Ah cette légende de notre Duchesse, tout comme !!
 
http://www.elfes-bretagne.net/?Pou [...] sont-elles
 
Et que certains en profitent, puisque l' A84-E03 est gratuite jusqu'a Caen  

Gironde ? Sont bizarres c'est Normand à vouloir passer desvacances au nord

Comme ca les Normands auront une vraie raison de rager

Tiré du Télégramme :

Bretons. Vous êtes comme ça !
3 mars 2013

La Bretagne est une région un peu à part. Dans de nombreux domaines, ses habitants se distinguent de ceux de la France d'en face. La preuve avec ce recensement de nombreux particularismes dans la vie des Bretons.

L'histoire et la géographie, le climat et l'environnement, la culture et les moeurs... Tout se conjugue pour faire de la Bretagne une région un peu à part du reste de l'Hexagone, comme n'ont pas manqué de le relever des écrivains ou des artistes, au fil du temps. C'est probablement la région française qui concentre le plus de spécificités, liées à sa géographie très particulière et à son histoire qui ne le fut pas moins, un peu à l'écart du territoire national. Et ici, elles sont plus faciles à recenser que dans d'autres régions car la Bretagne, à quatre ou cinq départements, est un territoire homogène et pas totalement fondu dans le paysage français.

Mais quels sont ces particularismes? Ils sont nombreux et dessinent un portrait séduisant, fait de haut niveau d'instruction, de solidarité et de tissu associatif, du sens de la fête et des relations humaines, d'une forte implication des femmes dans la vie publique et, globalement, d'un réel bonheur de vivre dans sa région et de s'y sentir privilégié. Mais il y a des parts d'ombre et pas n'importe lesquelles : l'addiction à l'alcool et le taux de suicide y sont les plus élevés de France, les deux éléments étant probablement liés. C'est ce portrait, parfois contrasté, que nous avons essayé de dresser en relevant toutes les singularités (il en manque sûrement) qui distinguent les Bretons des autres Français. Certaines spécificités sont bien connues, d'autres le sont moins ou beaucoup plus anecdotiques.

Et pour entamer ce portrait en relief, relevons un premier élément distinctif : la Bretagne est la région française où on lit le plus de quotidiens régionaux. Autant dire que c'est la moindre des choses de se décarcasser pour vous, chaque jour, comme n'ont pas manqué de le faire des journalistes du Télégramme en prenant leur part dans ce recensement des particularismes bretons.

Les plus scolarisés et les plus instruits

Toutes les statistiques le démontrent : les Bretons ont le niveau d'instruction le plus élevé de France alors qu'au début du XXe siècle, la région était réputée concentrer la plus forte proportion d'analphabètes. La rageuse concurrence entre l'enseignement privé et public, entre les curés de choc et les hussards de la République n'est pas étrangère à cette spectaculaire inversion au siècle dernier, chaque camp rivalisant pour mener les bataillons de potaches jusqu'au bac. Rennes est actuellement l'académie qui détient le record en la matière (71 % d'une classe d'âge arrivant au bac contre 65,6 % en moyenne nationale). Rennes et Nantes sont également, avec Grenoble, les académies obtenant depuis de nombreuses années les meilleurs résultats au bac. Les Bretons ont aussi le plus fort taux de scolarisation d'enfants de deux ans, la plus faible proportion de jeunes sans diplôme ou encore le plus fort taux d'inscription dans des bibliothèques publiques. Avec une incidence majeure : la Bretagne est la première région française (après Paris, hors concours) pour l'édition de livres et de musique.

Le plus gros QI ?

Éternelle question : le niveau d'instruction est-il un déterminant du quotient intellectuel ? À cette question, des tests de QI sur internet ont donné un élément de réponse. Menée par Anxa pour la société Orange, l'enquête consistait à établir les performances de quotient intellectuel par région sur les 220.000 personnes ayant répondu au test par internet. Les Bretons sont arrivés sur la plus haute marche du podium, de très peu devant l'Auvergne et l'Ile-de-France. La plupart des commentaires ont attribué cette première place à la consommation de poissons par les Bretons. Les Auvergnats trouvent probablement ailleurs l'aliment nutritif de leur QI...
Les plus connectés sur internet

La Bretagne est aujourd'hui la région française la plus connectée sur le web et celle qui compte le plus de groupes sur Facebook. Il est vrai que c'est à Rennes, au début des années 80, qu'a été lancé le minitel, ancêtre customisé de l'ordinateur, les Bretons devenant ainsi des pionniers dans l'utilisation des claviers électroniques. Mais l'explication serait un peu courte. Il faut probablement y voir aussi la traduction de la densité de la diaspora bretonne, réputée être la plus importante de France, avec toutes les connexions que cette dispersion peut susciter. Le niveau d'instruction des Bretons, gros consommateurs d'informations en tous genres, est là également pour expliquer ce particularisme qui vaut au site web du Télégramme une place flatteuse dans la presse française. Peut-être même faut-il voir dans cette forte présence sur le net une influence de la météo qui pousse (parfois !) les Bretons à rester sous leur toit...

Un fort réseau social

Cette légion d'internautes constitue un réseau social bénéfique pour la région. Il lui arrive d'ailleurs de se mobiliser autour de certains événements et nul besoin de sortir la calculette pour comprendre qu'une Miss Bretagne a désormais plus de chance qu'une Miss Béarn de devenir Miss France... Mais des voix commencent aussi à mettre en garde contre les conséquences de la montée en puissance des achats en ligne sur l'économie bretonne.
Les plus paritaires hommes-femmes

Dans la parité hommes-femmes, la Bretagne avait aussi de l'avance sur les autres régions et on ne s'étonnera donc pas que ce soit une Bretonne, Danielle Bousquet, ex-députée de Saint-Brieuc, qui ait été récemment désignée comme première présidente du nouveau Haut conseil national à la parité hommes-femmes. Elles ont toujours joué un rôle de premier plan dans la société bretonne et l'une d'elles fut même la première femme élue dans un conseil municipal, à Douarnenez dans les années 20. Élection illégale en ces temps où les femmes n'avaient même pas le droit de vote.

Un quinté historique

Pas loin de là, le Pays bigouden s'est longtemps singularisé par sa très forte proportion, unique en France, de femmes maires de communes, et le Finistère a été le premier département, dans l'histoire des institutions françaises, à élire, en 2002, plus de femmes députées (5) que d'hommes (3). Ce quinté historique était composé de Marcelle Ramonet, Hélène Tanguy, Marguerite Lamour, Patricia Adam et Marylise Lebranchu. On notera également qu'une Bretonne a été la première femme préfète de région (Bernadette Malgorn), que Kofi Yamgnane, à Saint-Coulitz (29), a été le premier Noir d'origine africaine élu maire (il y en avait déjà eu un d'origine antillaise) et que la Bretagne est la région la plus civique de France, avec le Limousin. Son taux de participation aux élections est généralement supérieur de 2 % à la moyenne nationale.
Les plus solidaires

Les Bretons ont hérité, de leurs particularismes socioculturels, un sens de la solidarité très supérieur à la tendance nationale. C'est la région française qui a le plus fort tissu associatif, hérité d'une tradition qui a ainsi fait des Bretons des pionniers du mouvement coopératif, notamment dans l'agriculture. C'est aussi la région qui a été la plus en pointe dans la coopération intercommunale, avec un taux atteignant 99 %, où l'ont aujourd'hui rejointe d'autres régions. Ce sens de la solidarité collective se vérifie aussi par la première place occupée pour la création d'associations de solidarité internationale et d'acteurs engagés dans le commerce équitable. Autre illustration de la responsabilité collective : les Bretons sont en tête pour le tri des déchets ménagers et la fréquentation des déchetteries dont la densité par habitant est la plus forte de France.

La moins inégale

D'autres statistiques témoignent de l'homogénéité de la société bretonne. C'est la région de France où l'on enregistre le plus faible écart entre la moyenne des plus faibles et des plus hauts revenus : de 1 à 4,1 contre 1 à 5,6 pour la moyenne française. L'intégration y est également moins socialement difficile qu'ailleurs puisqu'on compte actuellement 3,8 % de personnes percevant le RSA contre 5,4 % en moyenne française.
Les plus climatisés

Même si, en Bretagne, la pluie tombe sur tout le monde mais ne mouille que les cons, le climat local est le premier sujet de conversation et le thème de plaisanterie préféré de tous ceux qui parlent un jour de la Bretagne.

La hantise des présentateurs télé

Mais le climat? Quel climat? En Bretagne, il y en a autant que de variétés de pommes et s'il tombe 1.200 mm d'eau par an sur Brest (il en tombe plus à Biarritz mais en moins de jours), Rennes doit se contenter de 700mm et de périodes de sécheresse. Le climat breton, c'est d'ailleurs la hantise des présentateurs télé car quand ils prennent Brest comme unique référence, ils font hurler les Morbihannais, voire même les Quimpérois, chez qui il fait beau ce jour-là. Les influences océaniques et la géographie font des Bretons les plus climatisés de France. Chacun a le sien dans son coin et les présentateurs télé ont même été menacés d'huissiers par un ancien président régional du tourisme, Yvon Bonnot, s'ils continuaient à dire qu'il pleut partout en Bretagne quand une dépression passe sur Ouessant en filant vers l'Angleterre. La pluviosité ambiante a une fâcheuse conséquence. Quand elle lessive les sols avant que les plantes n'absorbent les nitrates répandus sur les terres, elle vaut aux Bretons l'un de leurs plus détestables points noirs : les algues vertes.
Les plus heureux dans leur région

La Bretagne a les plus forts coefficients de marée d'Europe et il faut croire que ces amplitudes se retrouvent dans le métabolisme des Bretons puisqu'ils disent, à une très large majorité, qu'ils sont heureux de vivre dans leur région mais qu'ils ont, sombre constat, le taux de suicide le plus élevé de France. Les plus heureux ? C'est le baromètre « La Vie d'ici » de l'Ipsos qui l'a affirmé, après un sondage effectué à la demande du CMB, l'an dernier. Selon cette enquête, 69 % des Bretons se disent heureux de vivre dans leur région contre 60 % des Français. Ils sont également 65 % à estimer que « leurs conditions de vie y sont meilleures qu'ailleurs » contre 51 % des Français répondant à la même question. Pour expliquer ce « bien-être en société », les Bretons mettent en avant la qualité des relations humaines, la solidarité, le dynamisme du tissu associatif, l'environnement, la facilité d'accès aux services de santé ou la diversité des commerces dont la densité, même dans les villages, est supérieure à la moyenne nationale. Autre sujet à prendre avec des pincettes : la Bretagne est également la région de France comptant le moins d'immigrés, ce qui a pour effet de limiter les extrémismes politiques ou sociaux.

Un gros point noir

Mais ce bien-être global se télescope avec l'un des gros points noirs de la Bretagne : le taux de suicide, plus élevé qu'ailleurs, sur lequel les sociologues dissertent depuis bien longtemps déjà.
Les plus fêtards jusqu'à l'excès

Les Bretons aiment faire la fête, si possible en musique, et la région offre la plus grosse concentration de festivals de l'Hexagone, avec les Vieilles Charrues, le premier de France, pour tirer l'attelage. Mais cette particularité se vérifie dans une autre statistique : la Bretagne a le plus fort taux national de salles de spectacle par habitant, au point même qu'on se demande si on n'a pas dépassé le seuil raisonnable, compte tenu des frais d'investissement et de gestion de tels équipements.

Plus forte consommation d'alcool et de cigarettes

Le sens de la fête a, hélas, sa part d'ombre et pas n'importe laquelle : les jeunes Bretons sont ceux qui, en France, consomment le plus d'alcool et de cigarettes et occupent la seconde position pour la consommation de cannabis, après la région Paca. Des statistiques établies lors des journées de préparation à la Défense. Les sociologues donnent des interprétations différentes à ces addictions. Pour les uns, c'est un phénomène culturel qui remonte très loin, pour d'autres, c'est justement ce sens de la fête, poussé à l'excès, qui amplifie l'usage de substances euphorisantes dont on connaît pourtant les dégâts sur l'organisme.
Les plus mobiles

L'enquête nationale Transports et Déplacements a classé les Bretons en tête de la mobilité en France. En Bretagne, selon cette étude, les habitants se déplacent plus souvent, plus vite et plus loin que l'ensemble des Français, que ce soit en semaine ou le week-end, leur lieu de travail étant souvent éloigné. En moyenne, 3,5 déplacements par jour, essentiellement en voiture.

Moins d'embouteillages...

Il est vrai que la Bretagne est l'une des régions les moins touchées par les embouteillages et celle qui compte le plus de voies-express gratuites (vive De Gaulle !) et donc le moins d'autoroutes payantes. D'où cette fréquence d'utilisation de la voiture, supérieure à la moyenne, qui génère un autre particularisme : la Bretagne est actuellement la région qui compte la plus forte densité d'aires de covoiturage. Logique avec ce qui précède et notamment l'éloignement du lieu de travail. On notera également une petite subtilité : les Bretons ont été les plus gros acheteurs de voitures neuves de 2007 à 2010 (+ 52 % contre + 28 % en moyenne nationale) mais l'élan est tombé. Il est vrai que le parc était renouvelé et que la prime à la casse a été supprimée...

 
Au vu des prix de l'immobilier dans le golfe du Morbihan (Auray ,Vannes etc...) et même Finistère sud , je pense qu'il y a un paquet de parisien à l'aise qui hésiteraient, les vacances en bretagne c’est avant tout du bon gout, une cote sauvage, des plages non saturés, une culture Bretone amicale et accessible, des vacances que je qualifirais de différentes. Qu'on le veuille ou non quand on voyage dans le monde on rencontre des Bretons, moi des Normands j'en ai jamais rencontré à croire qu'ils ont honte et qu'ils ne s'en vente pas  
Ceci dit le breton est chauvin, moins que le Corse certes mais chauvin. Et il a de quoi, il pleut c'est vrai, mais autant que dans le pays basque par exemple, la Bretagne c'est beau et c'est comme ça.

 
Bah non, c'est bien la prevue qu'il pleut encore plus en Bretagne qu'ailleurs, Normandie incluse.
Comme ce sont des tafioles ils restent chez eux au mieux à bouquiner et en grand majorité à piccoler.  Et comme ca n'arrange rien ils se suivident à la fin.    
 
En Normandie, il pleut aussi mais au moins, on a une paire de couilles et on sort. Du coup on est pas un paquet de geeks dépressifs    
 
Pas besoin de faire une thèse de Doctorat et un article de ouatmille pages pour comprendre ca.
 

 
Quand tu sors de Brest pour aller vers Rennes c'est ca? Parce que pour vivre à l'étranger j'ai rencontré beaucoup de normands, un peu d'auvergnats et des gens du nord est. Mais pas tant de bretons que ca.
 
Toujours cette même couardise qui les fait rester chez eux, qui explique leur histoire.
Tant mieux pour tout le monde d'ailleurs    
 

C'est marrant j'ai été confronté à exactement l'inverse et j'ai vécu à l'autre bout de la planète...les bretons s'attirent entre eux ça doit être pour ça

les handicapés mentaux également, par contre ils n'en sont pas fiers, ils remercient seulement Lino Ventura.

Aaah! un topic Battle Bzh versus les bouffeurs de calendos !!!
 
Etant Breton de souche et normand (caen) depuis moins de 2 ans je ne peu que me positionner en modéré.
Après une période d'observation j'ai remarqué plusieures choses :
 
-Le climat: il est humide... très humide.
-Le normand:
Il saccage Nos galettes bretonnes avec sa crème fraiche et son calendos.
Il n'est pas très fetard, la rue de la soif (a caen) je la cherche toujours; j'en conclu que  le normand boit chez lui.
Il n'aime pas tout les normands (plouc de l'orne Vs pseudo bourge du calvados)
Il sait pas conduire, lent et se vautre facilement sur la route.
 
 

 
A mon avis, Bretond et Normand, c'est bizarre. Moi, j'aime pas les gens bizarres.

 
Moi j'aime bien et je préfère quand ils sont malsain en plus.

http://yahoo.lavieimmo.com/divers- [...] 18154.html  
 

http://yahoo.lavieimmo.com/divers- [...] 18154.html  
 

C'est le même article que l'année dernière.  

Ca veut bien dire que tous ses sondage sont truqués

Ah mais c'est connu, 95% des sondages sont truqués. Ce sont les sondages qui nous le disent, c'est donc vrai.

Et sqi ce n'était pas vrai, les sondages nous le cacheraient

Tout à fait.
A cause des bretons dans le journalisme ça.

bah que veux tu, ils sont resté à l'âge de pierre, et comptent encore avec des menhirs a graver

Remarque, mes collègues normands comptent avec des pommes.

Quand ils ne sont pas trop bourrés pour aller les ramasser

C'est vrai, j'en ai connu un, il les disposait en cercle autour de lui.
On a du l'arracher de force pendant son compte, 6268 tours plus tard    
 
Depuis il les dispose sur un boulier géant, ça va mieux pour lui.

Alors finalement, il semblerait que dans un avenir proche nous puissions tous être plus ou moins des frères.