Psycmatic a écrit :
Ah bon ? Mauvaise nouvelle : ce n'est pas le cas.
http://news.bbc.co.uk/olmedia/1540 [...] ure300.gif http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/americas/1540044.stm
Jolie série de n'importe quoi! et très bel exemple d'amalgame et de texte pas du tout compris.
Ahlala sacré toi.
L'explication technique donnée pour justifier l'effondrement des tours (les poutrelles d'acier auraient fondu ou cédé sous l'effet de la chaleur) semble passablement fantaisiste. La chaleur dégagée par l'incendie n'a pas été suffisante pour produire un tel effet, d'autant plus qu'une grande partie du carburant a brûlé à l'extérieur des édifices, comme le montrent les photos. En outre, si la destruction d'une partie de l'ossature des tours a pu faire céder les étages qui se trouvaient au-dessus, elle n'explique pas que l'ensemble se soit écroulé comme un château de cartes en l'espace de quelques dizaines de secondes. La température dégagée par la combustion du kérosène et de tout ce qui se trouvait dans les bureaux du WTC n'a sans doute pas dépassé les 600-700 degrés C. A cette température, l'acier (dont le point de fusion est de 1.500 degrés) perd une bonne partie de sa rigidité. Mais même en considérant le fait que la structure métallique des étages directement touchés par le crash était partiellement endommagée, il est loin d'être certain que la température, la durée et l'étendue de l'incendie aient été suffisantes pour déformer et faire céder les poutres restées intactes. Il est probable en tout cas que la déformation de celles-ci aurait été assez lente et qu'il n'y aurait pas eu d'effondrement subit.
La charpente d'acier d'un gratte-ciel est suffisamment rigide et résistante pour supporter s'il le faut le double ou même le triple du poids total de l'édifice (marge de sécurité). Bien sûr, une telle surcharge n'est pas conseillée, mais elle est possible. Dans le cas du WTC, la charpente était constituée, d'une part, par les 240 poutres verticales caractéristiques de la façade, disposées à raison d´une par mètre et reliées entre elles par des poutres horizontales, et d´autre part par les colonnes de métal du noyau central contenant les cages d´ascenseurs (ce noyau occupant un quart de la surface de chaque plancher). Bien entendu, des poutrelles tranversales supportant les planchers reliaient noyau central et façade extérieure, assurant ainsi une parfaite stabilité de l'ensemble.
Même en supposant que les étages supérieurs de chacune des deux tours jumelles (c'est-à-dire en gros les niveaux 80 à 110 - soit 30 étages - pour la tour Nord, et 70 à 110 - soit 40 étages - pour la tour Sud) se soient effondrés de manière "naturelle" à la suite du crash et de l'incendie (la chose reste à prouver), les étages inférieurs (au nombre de 80 et 70 respectivement, plus 10 étages de fondations) pouvaient parfaitement supporter la surcharge, puisque leur ossature métallique était encore intacte (à moins de penser, comme certains n'hésitent pas à le faire, que l'incendie des étages supérieurs ait pu fragiliser ou rendre "malléables" les poutres des 70 ou 80 étages restants, ce qui serait non seulement contraire aux lois de la physique mais aussi en totale contradiction avec les témoignages des pompiers Lorsque les 30 étages supérieurs de la tour Nord se sont affaissés sur les 80 étages restants, ces derniers ont été soumis "collectivement" à une surcharge (théorique) d'environ 37 %, puisqu'ils ont dû supporter à eux seuls le poids de l'ensemble de la tour (110 étages). Dans le cas de la tour Sud, l'excédent de poids (théorique) à été de 57 %. En tenant compte des fondations, ces pourcentages sont encore plus faibles (respectivement 33 et 50 %). Certes, ces chiffres ne tiennent pas compte de tous les facteurs ; ils sont approximatifs mais donnent néanmoins un ordre de grandeur. La surcharge à supporter par la charpente métallique intacte des étages inférieurs du WTC n'était donc pas aussi dramatique qu'on veut nous le faire croire.
Pour ce qui est des planchers, on peut à la rigueur imaginer qu'ils aient cédé un par un sous le poids en rompant leurs attaches avec le squelette d´acier. Mais, sans un "petit coup de pouce", ce phénomène ne pouvait pas se produire de manière systématique et régulière au rythme de plusieurs étages par seconde jusqu'à la base des tours. Et surtout, les poutres de la façade et du noyau central (toutes encore intactes après le crash) n´auraient pas pu suivre le mouvement. Une très grande partie du squelette aurait dû rester debout, déformée sans doute mais encore debout.
Qu´un gratte-ciel puisse s´effondrer comme le WTC, cela ne s´est encore jamais vu - et pourtant on en construit depuis plus d'un siècle. Si la chose était possible, il faudrait définitivement renoncer à ériger ce type d´édifice (pour des raisons évidentes de sécurité). D'autre part, les entreprises de démolition disposeraient désormais d´une nouvelle technique absolument révolutionnaire : il suffirait de faire sauter quelques étages dans la partie supérieure d´une tour, et tout le reste suivrait bien gentiment une heure plus tard. La méthode est-elle déjà brevetée ?...
Selon un des architectes du World Trade Center, les tours avaient été conçues, à la fin des années 60, pour résister au crash d'un Boeing 707-340, le plus gros avion en service à l'époque. Les 767 impliqués sont à peine plus grands et plus lourds, leur vitesse de croisière est inférieure, la capacité des réservoirs de carburant est la même.
S'il s'était agi, le 11 septembre, d'une "catastrophe naturelle" et non d'un attentat politique, on aurait, après évacuation et tentative de sauvetage des occupants des étages supérieurs, condamné l'accès aux tours, transporté les débris en lieu sûr, entrepris une enquête et réfléchi à la possibilité d'une reconstruction. En tout cas, des ruines imposantes auraient subsisté encore longtemps dans le ciel de Manhattan. Mais il n'y a pas eu de "catastrophe naturelle", et les tours jumelles ont été entièrement détruites.
"Pour des raisons d'hygiène et de sécurité", les autorités ont fait procéder sans attendre au déblaiement et au nettoyage du Ground Zero. La "ferraille" du WTC a été vendue à des entreprises indiennes, chinoises ou coréennes, sans entreprendre aucun examen sérieux, ni aucune investigation matérielle à la mesure des événements.* Il y a eu destruction volontaire - et criminelle - de pièces à conviction. Les "coupables" étant connus d'avance, tout ce qui risquait de perturber ou de contredire la version officielle devait disparaître au plus vite.
* On a parfois prétendu, pour justifier cette inactivité, qu'un examen matériel des poutres métalliques et autres débris du WTC était parfaitement inutile, puisque les spécialistes étaient tout à fait en mesure de déterminer les causes et le déroulement de la catastrophe en effectuant une modélisation informatique... Si tous les accidents mystérieux et toutes les affaires criminelles pouvaient se résoudre de cette façon-là, on pourrait se passer de beaucoup de policiers et d'experts en criminalistique. Il suffirait de quelques ordinateurs et de logiciels appropriés - logiciels qui nous livreraient les réponses pour lesquelles ils auraient été programmés. A la limite, la simulation informatique conduit à des résultats aussi cocasses que ceux de la "reconstitution du crash" du Pentagone effectuée par l'Université Purdue (voir plus bas).
La théorie officielle selon laquelle l'incendie aurait fait fondre les poutres d'acier, est également absurde d'un autre point de vue. Eric Hufschmid, dans son livre Time for Painful Questions, paru aux USA, rappelle que "le feu n'a encore jamais causé l'effondrement d'un immeuble d'acier. Comment un incendie de 56 minutes aurait-il pu provoquer la destruction d'un édifice aussi solide que la tour sud du World Trade Center ?"
Les tours jumelles étaient en effet conçues pour supporter le crash d'un Boeing sans s'écrouler. Les architectes en ont été d'autant plus choqués. Eric Hufschmid se réfère à l'incendie du Meridian Plaza à Philadelphie, en 1991, incendie autrement plus grave que celui de la tour sud du WTC, et demande à juste titre pourquoi le Meridian Plaza, lui, ne s'est pas écroulé.
Explosions et "tremblement de terre"
Steve Evans se trouvait dans la tour sud au moment du crash. Ce reporter de la BBC a raconté dans une interview donnée le jour de la catastrophe : "Il y a eu une explosion. Sur le moment, je n'ai pas pensé qu'il s'agissait d'une explosion, mais toute la tour a été secouée jusque dans ses fondations. Plus tard, une fois que nous nous sommes retrouvés à l'extérieur, il y a eu une seconde explosion, puis toute une série d'autres déflagrations... Je suis abasourdi par l'ampleur des destructions provoquées par cette série d'explosions."
Steve Evans n'est pas pas le seul témoin qui ait parlé de plusieurs explosions. "Au huitième étage, nous avons été repoussés par une gigantesque explosion", a déclaré à la chaîne danoise de télévision DR-TV1 un Noir portant un costume complètement recouvert de poussière. La chaîne allemande Sat1 a également diffusé des témoignages de survivants faisant état d'une puissante explosion. L'un d'eux, Tom Canaban, a été arrêté par deux agents du FBI en plein milieu d'une interview.
Plusieurs pompiers ont également entendu des explosions. Louie Cacchiolo a confié au People Magazine : "J'ai conduit mes hommes au 24ème étage afin d'évacuer les gens qui s'y trouvaient. Durant le dernier transport, nous avons entendu une bombe exploser. Nous pensons que des bombes étaient placées dans l'édifice."
Cependant tous ces témoignages sont volontairement passés sous silence par les responsables. Un porte-parole du FBI a même déclaré au journal American Free Press qu'il n'avait jamais entendu parler de telles explosions.
Des analyses sérieuses de l'effondrement de la première tour signalent des explosions cinq ou dix étages au-dessous de l'endroit qui a cédé tout d'abord. S'agit-il d'explosions volontaires destinées à provoquer une chute contrôlée des tours ? Jusqu'à présent, on n'a fourni aucune explication satisfaisante au fait que des débris et des masses de poussière aient été projetés horizontalement, comme on a pu l'observer à la base des tours.
Mais ce n'est pas tout : quelques fractions de seconde avant l'effondrement des tours jumelles, des sismographes ont enregistré de puissantes secousses. Ces appareils se trouvent à près de 35 kilomètres du Ground Zero, à l'Observatoire terrestre Lamont-Doherty de l'Université Columbia. Les impacts des deux avions n'ont pratiquement pas laissé de traces sismiques. En revanche, la tour sud, en s'écroulant, a causé pendant huit secondes un tremblement de force 2,1 sur l'échelle de Richter ; la tour nord, un tremblement de force 2,3 pendant dix secondes. Mais juste avant les effondrements, les sismographes ont enregistré de violentes secousses, vingt fois plus puissantes que les vibrations provoquées par la chute des débris. Il faut savoir que l'énergie libérée augmente selon le carré de la force sismique enregistrée, c'est-à-dire qu'une secousse vingt fois plus forte correspond à une onde de choc 400 fois supérieure.
Lorsqu'un sismographe enregistre une très courte poussée d'une extrême violence, c'est le signe d'une explosion souterraine de très grande puissance. A ce jour, les experts n'ont pu fournir d'explication satisfaisante au fait qu'on ait enregistré ces deux gigantesques secousses avant que les premiers débris du World Trade Center ne fracassent le sol. Sur la feuille du sismographe, les deux ondes de choc n'ont pas dessiné une courbe étirée horizontalement, avec des hauts et des bas, mais seulement de longs traits verticaux. C'est pratiquement comme si quelqu'un avait brusquement "tiré le tapis sous les pieds des tours jumelles".
Destruction des pièces à conviction
Malgré ces questions sans réponses et malgré les nombreux témoignages faisant état d'explosions, les 80 barres d'acier subsistant après l'effondrement n'ont été soumises à aucun examen permettant de détecter les traces d'une éventuelle déflagration. Entre-temps tout a été recyclé, sans que la plus grande catastrophe des temps modernes affectant un gratte-ciel n'ait fait l'objet d'une enquête sérieuse. William A. Manning, rédacteur en chef de Fire Magazine, considère qu'il s'agit là d'une "destruction de pièces à conviction".
Le 6 mars 2002, la Commision scientifique de la Chambre des Représentants indiquait que les investigations n'avaient pu s'effectuer normalement, car "des éléments importants de la charpente d'acier avaient disparu avant même que les premiers enquêteurs n'arrivent sur les lieux". 50.000 tonnes de ferraille provenant des poutres métalliques du WTC ont ainsi été vendues à Shanghaï. L'opération a permis à l'entreprise de recyclage Metal Management de Newark (New Jersey) de gagner 2,5 millions de dollars.
Le professeur Glenn Corbett du John Jay College for Criminal Justice de New York a décrit l'inspection effectuée par la FEMA comme superficielle et à l'opposé d'une enquête véritablement sérieuse : "Nous sommes très loin de ce qui devrait être la plus grande investigation de tous les temps. Les restes du World Trade Center sont traités comme de vulgaires détritus et non comme des pièces à conviction de la plus haute importance." Sous la pression des organisations des familles de victimes et des syndicats de pompiers, le gouvernement a fait un petit pas en arrière et ordonné que de véritables recherches soient entreprises sur la catastrophe du WTC. C'est le National Institute of Standards and Technology, un institut dépendant du Ministère du Commerce, qui en a été chargé. Le seul problème : les preuves matérielles sont détruites depuis longtemps.
Des décombres en or
Larry Silverstein, lui, ne s'en soucie guère. Il s'efforce de faire avec 3,5 milliards de dollars le double de cette somme. En fait, Larry Silverstein devrait être ruiné. Le 11 septembre a non seulement détruit l'édifice de 47 étages connu sous le nom de WTC 7, qui lui appartenait, mais aussi les deux tours jumelles de 110 étages. Le 26 juillet 2001, il avait acquis ces deux tours en signant un contrat de crédit-bail d'une durée de 99 ans.
48 jours plus tard, Larry Silverstein se retrouve devant une montagne de décombres qui doit lui rapporter plusieurs milliards de dollars de profits. En compagnie de son partenaire australo-israélien Frank Lowy, Silvertein a pu décrocher le deal du siècle, grâce à son ami de longue date Lewis Eisenberg. Ce dernier était président de la Port Authority of New York and New Jersey, l'organisme public propriétaire du World Trade Center.
Silverstein et Eisenberg se connaissent depuis l'époque où tous deux occupaient des postes dirigeants au sein de la United Jewish Appeal, une organisation juive de "bienfaisance" qui, selon le journaliste Christopher Bollyn, gère un budget de plusieurs milliards. Lewis Eisenberg était en outre vice-président de l'American Israel Public Affairs Committee, une puissante organisation pro-israélienne. Aujourd'hui, Eisenberg est le plus important pourvoyeur de fonds du Parti républicain du président Bush.
Le magnat de l'immobilier Larry Silverstein va bientôt rouler sur l'or car le World Trade Center était assuré pour 3,5 milliards de dollars. Mais cela ne suffit pas. Ses avocats font valoir que la catastrophe du 11 septembre a donné lieu à deux sinistres, puisqu'il y avait deux avions. L'assurance devrait donc payer le double. Harold Rubenstein, le porte-parole du groupe immobilier Silverstein, se déclare optimiste quant à l'issue du procès.
Seule petite fausse note : le 14 janvier 2002, des créanciers de Silverstein l'ont attaqué en justice devant la Cour Suprême de l'Etat de New York, faisant valoir qu'il avait détourné une partie des sommes déjà versées par l'assureur. Plus concrètement, on reproche à Silverstein d'avoir payé des lobbyistes à New York et à Albany (la capitale de l'Etat), afin qu'ils interviennent auprès des instances politiques pour faire limiter la responsabilité civile de Silverstein vis-à-vis des victimes de la catastrophe.
Bush veut limiter la recherche de WTC
Récemment le Président George W. Bush et vice-président Dick Cheney sont personnellement intervenus et ont demandé au Chef Tom Daschle (Dem. - S.d de majorité de sénat.) " limiter la recherche congressionnelle sur les événements septembre de 11, " selon CNN. Bush a fait la demande peu commune lors d'une réunion privée avec les chefs congressionnels janvier 29. Il a demandé que les comités de l'intelligence de Chambre et de sénat examinent seulement " les pannes potentielles parmi les agences fédérales qui pourraient avoir permis aux attaques de terroriste de se produire, " plutôt que de conduirent une enquête complète.
Cheney a adressé un appel semblable à Daschle janv. 25. " le vice-président a exprimé les inquiétudes qu'un examen de ce qui s'est produit septembre 11 prendrait des ressources et le personnel loin de l'effort dans la guerre sur le terrorisme, " Daschle a dit. " j'ai reconnu ce souci, et c'est pour cette raison pour laquelle le Comité d'intelligence va commencer cet effort, essayant de limiter la portée et l'examen global ce qui s'est produit, "
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