Reprise du message précédent :
je ne connaissais pas
 
merci

 
Durant l'occupation, dans une ville de province, la jeune veuve de guerre d'un juif communiste, mère d'une fillette, défie un prêtre sur le terrain de la religion. Certaine de sa rhétorique, elle est pourtant déconcertée par les réponses du prêtre. Peu à peu, elle perd pied. Chaque nouvelle rencontre avec ce prêtre la rapprochera de la conversion. Sa résistance cédera devant le travail de la grâce. Une amie lui ouvrira involontairement les yeux sur l'une des raisons de sa conversion : l'Abbé Morin est beau.
 
Réalisation : Jean-Pierre Melville
Assistants réalisateur : Volker Schloendorff et Luc Andrieux
Scénario : Jean-Pierre Melville d'après le roman homonyme de Béatrix Beck.
Producteur : Carlo Ponti et Georges de Beauregard
 
Jean-Paul Belmondo : Léon Morin
Emmanuelle Riva1 : Barny
Irène Tunc : Christine Sangredin
Nicole Mirel : Sabine Levy
Gisèle Grimm : Lucienne
 
Un questionnement sur la vie, sur la foi et l'amour magnifiquement interpréter par les deux acteurs principaux Belmondo est génial! Les difficultés de la vie au temps de l'occupation sont très bien montrés. Tout simplement un beau film.

 
Réalisation : Jean-Pierre Melville (1962)
Assistant réalisateur : Volker Schloendorff et Charles Bitsch
Scénario, adaptation et dialogues : J.-P. Melville, d'après le roman de Pierre Lesou aux éditions Gallimard
Production : Carlo Ponti et Georges de Beauregard pour Rome-Paris Films et C.C Champion Films (Rome)
 
Jean-Paul Belmondo : Silien
Serge Reggiani : Maurice Faugel
Jean Desailly : le commissaire Clain
Fabienne Dali : Fabienne, la femme de Nutheccio
Michel Piccoli : Nuttheccio
René Lefèvre : Gilbert Varnove
 
Maurice Faugel a mal supporté son séjour en prison, durant lequel sa femme a été abattue. Par vengeance, il tue le receleur Gilbert Varnove avec sa propre arme, alors que celui-ci prépare des bijoux volés. Ce butin doit être remis à Nuttheccio et Armand, dont l’arrivée provoque la fuite de Faugel, avec le revolver et le magot. Par précaution, il dissimule le tout dans un endroit désert, au pied d'un réverbère.
 
Le lendemain, Silien, son meilleur ami, lui apporte du matériel chez Thérèse, la logeuse et amie de Faugel, pour faire un cambriolage. Puis il va téléphoner à un de ses amis, le commissaire Salignari. Silien est mal vu dans le milieu, il a la réputation d’être un « doulos », c’est-à-dire un indicateur. Pendant le cambriolage d'un hôtel particulier par Faugel et son complice Rémy, Silien revient chez Thérèse, et la contraint à lui donner l’adresse où le « casse » doit avoir lieu, puis il la ligote et la bâillonne. À l'arrivée des policiers, Faugel et son complice prennent la fuite, des coups de feux éclatent, Rémy et l’inspecteur Salignari sont tués, Faugel reçoit une balle et il s’évanouit.
 
Un autre film de Jean Pierre Melville qui est excellent. Paradoxalement, ce film diffère du style de ces films comme le Samouraï ou le cercle rouge avec une narration qui est cette fois ci non linéaire avec des flash back et un twist final surprenant;Belmondo,Reggiani et les autres acteurs sont bons.

 Merci pour ce partage...

Je suis en train de me le regarder au bureau, toute pénarde    ! oui c'est mon métier : regarder des films au bureau   !

J'aime la photo du film.

salut il ne reste presque plus de Melville...

Un excellente comédie méconnue dialoguée par Audiard, avec un casting impeccable.
 
Les Bons Vivants
Avec Blier, De Funès (absolument parfait dans un rôle atypique) et plein d'autres.
Le sujet est lui aussi peu commun, c'est le démontage des bordels après la guerre.  
 

merci

Deux films à voir au moins une fois (pour les longues soirées d'hiver):
 

 

 

 
Après avoir sauvé un homme victime d'un accident de voiture en pleine nuit, un joueur de poker professionnel se retrouve traqué par des tueurs. Ceux-ci sont commandités par l'employeur de l'homme qu'il a sauvé.
 
Un joueur de poker professionnel, Michel Gerfaut, découvre en pleine nuit un blessé à bord d'une voiture encastrée dans des arbres, sur une route de campagne. Il l'emmène à l'hôpital et part finalement sans faire de déclaration. Il apprend par la presse la mort du blessé ainsi que de celle de deux de ses collègues, cadres supérieurs aux établissements Emmerich, société spécialisée dans l'aviation et l'armement.
 
Il échappe aux balles des tueurs lancés à ses trousses mais son ami Liéthard, des Renseignements Généraux, meurt à sa place. Devenu justicier, il élimine ses adversaires directs et comprend enfin qui sont les commanditaires.
 
Réalisation : Jacques Deray
Scénario : Alain Delon, Jacques Deray et Christopher Frank (dialogues), d'après le roman de Jean-Patrick Manchette
Musique : Claude Bolling
Production : Alain Delon (producteur)
 
Alain Delon : Michel Gerfaut
Dalila Di Lazzaro : Béa
Michel Auclair : Leprince
Pascale Roberts : Madame Borel
Lyne Chardonnet : L'infirmière au dossier
 
Allez! On ne va pas être difficile, c'est Delon, c'est Deray, c'est polar, c'est série noire, c'est frenchy, ça flingue à tout-va, ç'est bien rythmé( n'en déplaise à certains critiques), les acteurs sont très bien( idem), et la fin est " choc ", surtout pour l'époque! J'ai vu ce film pour la 1ère fois à 13-14 ans, ça m'avait impressionné... 4 étoiles, allons-y!!!

merci manque les résumés au moins
 
Gangster condamné à mort par contumace et recherché par la police, Abel Davos s'est réfugié en Italie avec sa femme Thérèse et ses deux enfants. Il réussit avec Raymond un hold-up à Milan mais les deux compères sont vite pourchassés et décident de rentrer clandestinement en France. Le petit groupe débarque sur une plage déserte, mais deux douaniers les surprennent. Au cours de la fusillade, Thérèse et Raymond sont tués. Resté seul avec ses enfants, Abel fait appel à ses amis de Paris, Riton et Fargier et leur demande de venir les chercher à Nice. Ceux-ci ne pouvant venir eux-mêmes, ils lui envoient un homme sûr, Éric Stark, au volant d'une ambulance. Davos se lie d'amitié avec Éric qui le cache dans une chambre de bonne dans son immeuble...
 
Titre : Classe tous risques
Réalisation : Claude Sautet
Scénario : José Giovanni, Claude Sautet et Pascal Jardin, d'après le roman de José Giovanni (Éditions Gallimard)
Dialogue : José Giovanni
 
Lino Ventura : Abel Davos, le gangster en cavale
Jean-Paul Belmondo : Eric Stark, le jeune convoyeur
Sandra Milo : Liliane, la jeune femme de la troupe de théâtre
Marcel Dalio : Arthur Gibelin, le receleur
 
 
 
L'ingénieur et patron Albert Raynal consacre sa vie à la recherche aéronautique. Il vient de mettre au point un statoréacteur. Le lancement réussit mais, hélas, la fusée explose en vol. Cet échec retentissant va lui attirer les plus grandes difficultés financières et familiales. Son beau-frère, Jérôme Laprade, confie à Christine, l'épouse de l'industriel, qu'il en a assez des fantaisies de son mari. Il lui suggère même de divorcer pour préserver l'avenir financier de ses deux grands fils, que les échecs de leur père pourraient compromettre. Mais Albert Raynal, force de la nature, ne s'estime pas vaincu pour autant. Bien qu'il lui en coûte, il tente auprès d'amis et de relations des démarches afin de réunir les capitaux indispensables pour sauver son laboratoire et poursuivre ses recherches. Mais tous restent insensibles à son appel, même la belle Rolande, riche restauratrice, ancienne maîtresse de Raynal, qui refuse d'hypothéquer son restaurant. Après une fugue en Normandie, Raynal réapparait et veut se constituer prisonnier pour chèque sans provision. Mais Christine, par un revirement émouvant, renonce à sa demande de divorce et vend des actions, sauvant ainsi son mari de la faillite et lui permettant de poursuivre ses travaux.
 
Titre : Sous le signe du taureau
Réalisation : Gilles Grangier
Scénario : d'après le roman Fin de journée de Roger Vrigny
Adaptation : François Boyer, Gilles Grangier, Michel Audiard
Dialogues : Michel Audiard
 
Jean Gabin : Albert Raynal, industriel et chercheur en aérospatial
Suzanne Flon : Christine Raynal, la femme d'Albert
Colette Deréal : Rolande, la patronne du restaurant et ex-maîtresse d'Albert
Raymond Gérôme : Jérôme Laprade, le beau-frère et financier d'Albert
Michel Auclair : M. Magnin, le banquier d'Albert

 
incontournable joyau
dans mon top 5 de tous les temps.
A ce niveau, "c'est l'invisible qui est filmé" comme disait Godard    

Salut les cinéf'leurs !
Je ne sais pas si je peux mettre ce film ici Gidemoule, mais comme c'est un bon film, je voulais partager avec vous !
Grâce à vous, je regarde plein de films que vous postez ici, que je n'ai pas revu depuis fort longtemps... J'oublie peu à peu le ma douleur,    

J'ai revu ce bon petit joyau :

"Les Yeux Sans Visage"

Réalisation : Georges Franju
Scénario : Pierre Boileau
Claude Sautet

Acteurs principaux :
Pierre Brasseur  
Alida Valli : je ne vous présente pas Alida Valli quand même   ! Suspiria, Inferno (pour n'en citer que 2 car sa carrière est bien charnue)... Elle était très belle cette actrice !

Résum' mais alors vraiment résumé hein !  
Le chirurgien Genessier souhaite remodeler le visage de sa fille Christiane, rendue méconnaissable suite à un accident de voiture, mais pour cela il doit effectuer des greffes de peau qu'il aura prélevée sur des jeunes filles

Hier soir Arte diffusait La Vieille dame indigne. C'était assez joli. Il est disponible sur le site de la chaine http://www.arte.tv/guide/fr/017235 [...] me-indigne  
Ne cherchez pas d'intrigue, c'est un conte social.  
 

 

ah je croyais que ce topic était mort

 
1955. Harry Angel est un détective privé new-yorkais minable et habitué à des petites affaires selon ses propres dires. Il est contacté par Herman Winesap, avocat-conseil d'un certain Louis Cypher, qui veut l'engager pour retrouver Johnny Favorite. Ce dernier, de son vrai nom Jonathan Liebling, est un ancien crooner disparu douze ans plus tôt, alors qu'il avait une dette envers Cypher, qui l'avait aidé à devenir célèbre. Cyphre a des doutes sur la mort de Favorite et suspecte un hôpital privé, dans lequel il se trouvait du fait que la guerre l'est rendu invalide, d'avoir edité un faux rapport. Angel se rend à l'hôpital et découvre un rapport antidaté qui a été ajouté par un médecin, Albert Fowler. Angel se rend à son domicile, Fowler admit, que douze ans auparavant, il avait accepté un pot-de-vin d'un homme et d'une femme pour autoriser Favorite à quitter l'hôpital tout en faisant croire qu'il s'y trouvait toujours. Pensant que Fowler lui ment, Angel l'enferme dans sa  
chambre. Quelques heures plus tard, il trouve le docteur assassiné.
 
Titre original : Angel Heart
Titre français complet : Angel Heart : Aux portes de l'enfer1
Réalisation : Alan Parker
Scénario : Alan Parker, d'après le roman Falling Angel de William Hjortsberg
 
Mickey Rourke (VF : Richard Darbois) : Harry Angel
Robert De Niro (VF : Hervé Bellon) : Louis Cypher
Lisa Bonet (VF : Laurence Crouzet) : Epiphany Proudfoot
Charlotte Rampling (VF : elle-même) : Margaret Krusemark
Stocker Fontelieu (VF : Philippe Dumat) : Ethan Krusemark
 
un grand film noir américain, saupoudré de fantastique. Fabuleux thriller. Avant seven, il y eut angel heart, référence absolue pour ce qui est des ambiances d'une noirceur phénomènale. Rourke alors au fait de sa gloire , y trouvait l"un de ses rôles majeurs , et donnait parfaîtement le change à un De niro angoissant et mystérieux à souhait . Glauque et doté d'un scénario canon , angel heart est l'une des dernières réussites d'alan parker, avant son long chemin de croix ponctué de navets monumentaux tel docteur kelloggs , evita et autres bienvenue au paradis...

un p'tit Audiard des familles !
 
avec Sim en tueur a gages (totalement incompétent)  
 

 
Delphine et Antoine s'aiment avec fougue. Leur bonheur est sans nuage jusqu'au jour où Delphine apprend qu'un de ses oncles lui lègue 100 millions de dollars. Là, c'est la catastrophe !  
En effet, l'oncle ne lègue son argent à Delphine qu'à une seule condition : que son mari meure dans le trimestre.. sinon l'argent ira a une association juive !
 
donc madame embauche un tueur low cost et les juifs (très typés) un gangster (Pousse) pour protéger le mari !
 
les cadavres se ramassent a la pelle et la fin est immorale mais joyeuse !
 
 
 
 
 
 
 

merci

 
Titre original : Cento giorni a Palermo
Titre français : Cent Jours à Palerme
Réalisation : Giuseppe Ferrara
Scénario : Giuseppe Ferrara, Giorgio Arlorio, Pier Giovanni Anchisi, Riccardo Iacona, Giuseppe Tornatore, William Laurent
 
Lino Ventura : le général Dalla Chiesa
Giuliana de Sio  : Emmanuela Setti Carraro
Lino Troisi : Pio La Torre
Stefano Satta Flores : le capitaine Fontana
 
L'histoire vraie des cent derniers jours du général des carabiniers et plus haute autorité pour lutter contre la mafia Carlo Alberto dalla Chiesa, préfet de Palerme, qui fut assassiné à la mitraillette avec sa femme et son garde du corps par un escadron de mafieux le 3 septembre 1982.
 
fabuleux lino ;il ecrase les autres ;l'ambiance met carrement froid dans le dos la reconstitution est parfaite et courageuse ce film aurait du recevoir moult prix

Petite anecdote, étant afficionados comme beaucoup ici d'un genre, d'une période, d'acteurs...
 
Il y a de ça quelques années, dans le cadre du travail, je termine ma journée au restaurant, à Nice.
Personne ne capte mais moi (vu que je m'emmerde grave) je vois Georges Lautner dans le fond du restaurant avec sa compagne et un assistant.
J'ai pour habitude de pas déranger les gens, mais je raconte aux gais lurons de cogipeur qui étaient avec moi (je tournais une vidéo pour eux, je ne connaissais personne) QUI est la personne au fond du restaurant.
 
Hormis quelque "ah oui les barbouzes, je me souviens, je connais, mais j'ai pas vu le film" personne ne semble émoustillé par l'idée de la présence de ce monsieur.
Cependant un mec va le voir et lui tape la discut' "nous aussi on a un réalisateur avec nous aujourd’hui, ahah pif paf bouriqué   "
 
15 minutes après je me retrouve à sa table, à manger un dessert en buvant un verre de vieille poire qui me déchire la bouche tandis que lui boit cela comme du petit lait    
 
S'en suit une heure ou je l'écoute religieusement parler de Flic ou voyou,  Le guignolo, Mort d'un pourri, son pote Belmondo, etc.
Sa compagne l'engueule car il boit trop, ma présence étant aussi une excuse pour qu'il se le permette, "faut offrir l'hospitalité au petit tout de même"    
 
Au final ils règlent vont à l'heure voiture, échange de politesse, et il revient me donner un dvd des tontons flingueurs (qu'il avait dans son coffre), dédicacé    
Une bien belle soirée, ça impressionne quand on a 20/22 ans, j'ai toujours ce dvd rangé a coté de mon autographe de Renaud    
 
 

quelle belle soirée là je vais passer la semaine entre delon et belmondo

 
Titre : "Pour la peau d'un flic"
Réalisation : Alain Delon
Scénario : Alain Delon et Christopher Frank, d'après le roman de Jean-Patrick Manchette "Que d'os !"
Dialogues : Christopher Frank
Production : Adel Productions
 
Alain Delon : Choucas
Anne Parillaud : Charlotte
Michel Auclair : Haymann / Tarpon
Daniel Ceccaldi : Inspecteur principal Coccioli
Jean-Pierre Darras : Commissaire Chauffard
 
Alain Delon derrière et devant la caméra, ainsi qu'à la production, ça pouvait faire peur... Et bien pas du tout! Le Samouraï relève le défi et haut la main. Pour la peau d'un flic, est un polar solide au scénario retord et travaillé (peut être trop), qui sait également jouer la carte de l'humour et du second degré. En dépit de petites longueurs, le rythme est soutenu, offrant aux spectateurs un bon moment de cinéma.

bientôt sur arte:

source wiki:
À Paris, André Chatelin, restaurateur aux Halles à l'enseigne Au rendez-vous des Innocents, est un modèle d'homme droit, patron paternaliste et le cœur sur la main. Mais un beau matin, une jeune fille tout juste arrivée de Marseille se présente à son restaurant. Elle dit être Catherine, la fille de Gabrielle, première femme de Chatelin, dont il est divorcé et n'a plus de nouvelles depuis vingt ans. Selon Catherine, Gabrielle vient de mourir, et elle n'a nulle part où aller. Chatelin lui offre alors son hospitalité.
Mais insidieusement, Catherine mène un jeu trouble auquel Chatelin ne voit que du feu. Elle parvient à le brouiller avec celui qu'il considère comme son fils, Gérard, un jeune étudiant en médecine sans ressources : il s'agit pour elle d'éliminer cette concurrence, Chatelin risquant d'en faire son héritier. Puis, elle persuade Chatelin qu'ils sont réciproquement amoureux, mais que lui hésite à l'épouser par peur du qu'en-dira-t-on étant donné leur différence d'âge. Il finit par céder et l'épouse à la réprobation de Mme Chatelin mère et de la vieille servante Mme Jules, qui voient en Catherine le reflet de Gabrielle, l'ex-épouse de Chatelin, une femme qu'elles détestaient.
Poursuivant son plan d'être la seule héritière de Chatelin, Catherine devient la maîtresse de Gérard et, prétextant la brutalité de Chatelin dans leur intimité, elle lui demande de le tuer. Comme il refuse, comprenant soudainement à quel jeu elle joue depuis le début, Catherine l'assassine.
Il faudra que Chatelin découvre que Gabrielle vit toujours, déchue et droguée, et qu'il se mette à suspecter Catherine d'être responsable de la disparition de Gérard pour que lui soit révélée l'ampleur de la sournoiserie et du machiavélisme de Catherine. César, le chien de Gérard, vengera son maître.
 
honnête petit film dramatique, notons la présence de gabrielle fontan, l"épicière "de l'affaire saint fiacre", et de gaby basset, la première femme de gabin...
Gabin semblait aimer faire des films avec un entourage digne de sa confiance...

merci

Un p'tit Verneuil    

 
Titre : Week-end à Zuydcoote
Réalisation : Henri Verneuil (réalisateur) et Claude Pinoteau (assistant réalisateur)
 
Jean-Paul Belmondo.
Jean-Pierre Marielle.
François Périer.
Pierre Mondy.
Catherine Spaak.
Georges Géret.
 
A Dunkerque, en juin 1940, ses camarades et lui ayant raté l'embarquement pour l'Angleterre au plus fort de la Débâcle, le sergent Julien Maillat, dégoûté et las, rencontre Jeanne, une jeune femme qui refuse de quitter sa maison en ruines. Julien persuade Jeanne de fuir avec lui et dit adieu à ses amis. Une improbable idylle se noue bientôt entre eux.

Merci à celui qui a posté : La Vieille Dame Indigne ! je l'ai regardé, j'ai bien aimé
 
Je vais essayer de regarder  : Voici venu le temps des rires et des... ah non zut   Des Assassins !
 

 
Titre : Les Tueurs de la lune de miel
Titre original : The Honeymoon Killers
Réalisation : Leonard Kastle
Scénario : Leonard Kastle
Production : Paul Asselin et Warren Steibel
Société de production : American International Pictures
Budget : 150 000 dollars
 
Shirley Stoler2 : Martha Beck
Tony Lo Bianco : Raymond Fernandez
Mary Jane Higby : Janet Fay
Doris Roberts : Bunny
Kip McArdle : Delphine Downing
 
Quel film, bien que j'ai raté les premières minutes (je m'en veux) j'ai pour une fois accroché à un film que je prend en cours de route, et quel film, rien de moins que le seul et unique film d'un réalisateur de génie. Il fait froid dans le dos, son absence de morale le rend totalement lugubre. J'adore, le pire est de savoir que cette histoire est inspirée d'un fait divers ! enfin un véritable chef d'oeuvre. il n'a coûté pas cher... et certains le comparent à du Kubrick... un film noir et parfois d'humour noir.
 
 
 
L'histoire, d'après un fait divers réel, de Ray Fernandez et Marcha Beck, amants criminels qui suppriment les candidates au mariage un peu mûres mais riches. Pendant leur détention, ils ne cesseront d'échanger une correspondance amoureuse  
 
STOP CHEF D OEUVRE vous serez maudit si vous ne le regardez pas

 
 De Philippe de Broca
Avec Jean-Paul Belmondo, Jacqueline Bisset, Vittorio Caprioli
 
Un modeste écrivain tente d'achever le dernier épisode des extraordinaires aventures du héros qu'il a créé, celui d'un agent secret invincible, en prêtant à ses personnages les traits de ceux qu'il côtoie dans la réalité.  
 
Un des meilleurs films de Belmondo, tout simplement hilarant et dépaysant. Une relecture assaisonnée desromans "S.A.S." et des James Bond. Vraiment excellent !

Ce film n'a pour moi de magnifique que son titre    
ou alors je suis passé à coté de qque chose  

Le Magnifique c'est beaucoup de cabotinage   . Il faut quand même être fan de Bébel pour bien apprécier. Ce n'est pas le meilleur mais bon on l'aime tant le Bébel qu'on a tendance à beaucoup lui pardonner.
 
Il y a bien sur plein de Belmondo mythiques comme le Professionnel, Itinéraire d'un enfant gâté, L'homme de Rio, Léon Morin prêtre etc.
 
J'avoue quand même un faible aussi pour celui-ci même si ça part dans tous les "sens" d'une façon un peu foutraqu :
 

 
Voix-Off : "Mal parti sur terre, mal partie sur mer, Alexandre n'avait plus qu'une solution : les airs!"
(Bref accord de Marseillaise)
Puis musique de Philippe Sarde...
 
Et traversée mythique de Venise suspendu sous un hélico en caleçon à pois...
J'avoue que j'aurais aimé faire pareil. Ah si je pouvais faire un remake...

merci pour le rappel, faut que le revois

Pour ce soir  
 
 
 

http://www.arte.tv/guide/fr/065837 [...] country=FR

 
++  
 
Une romance, rare et marquante, qui mérite d'être plus connue !

ah enfin quelqu'un qui a apprécié ce film ça mérite plus que ça ce film...

Ah bah vous me donnez envie de le visionner les gars  

je crois même qu'il y a eu deux versions de la fin du film, une plus dramatique que l'autre...
au final, je ne me souviens plus quelle version ils ont gardés officiellement...

Pour la Belle Equipe? Oui, la version diffusée par Arte hier est celle avec la fin originale, et noire.  
 
La version sortie au cinéma à l'époque se concluait sur un final plus optimiste que les producteurs avaient réclamé pour des histoires politiques.  

Je viens de googler, et en fait le problème se posait toujours pour la sortie d'un dvd.  
https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Belle_%C3%89quipe  

Redrap
 
Comment ai je pu oublier ce topic

Toujours eu cette impression que dans Mélodie en sous sol, la fin était arrangée pour une histoire de morale...

On en avait aussi parlé sur ce topic à propos de Le cave se rebiffe : le film se termine bien pour Gabin et "le cave" du titre, qui sont des criminels, et là texte blanc sur fond noir pour te dire qu'en fait après ils ont été pris. C'est complètement ridicule.
Ca donne l'impression que c'était assez standard à l'époque. Des problèmes de censure, j'imagine.