Reprise du message précédent :
 

Merci, Docteur ! Hélas une répétition inacceptable vient ternir cette extraordinaire envolée lyrique."
"...amplifié par l'étrange architecture de la Forteresse, parcourt en s'amplifiant..."  
 
La version définitive de l'épilogue de "La forteresse du Nain noir" est donc officiellement Karn le Mendiant devenu Roi, vit solitaire, dans la Forteresse. Le jour, quand il ne dort pas, il sort "Fin d'air" son luth magique in wood, (stock épargné par la Guerre contre l'Oiseau Rock.), égrene quelques accords; sa voix, rendue chancelante par l'âge, conte la Geste d'Horgrinh. Son murmure fantômatique, exhaussé par l'étrange architecture de la Forteresse, parcourt en s'amplifiant jusqu'à la démesure les salles obscures et les couloirs vides de sa prison.  THE END.  

Merci à :
Amifantastique, sean margouillat, mahnmut, E-Nyar, Timoonn, talbazar, taxalot (et sa pier noir dans l'amer !   ) maurice chevallier, SOF40, E-Nyar, quiet now, Trakt,
wlitw, LooSHA, 4lkaline, tet2neu, biezdomny, zephiel, drfunkenstein (qui fit une critique minimaliste et  élogieuse )

Les décors sont de Grojé Cardwell et les costumes de Dona l' darth  .
Les ceusses qui sont étonné-es du nombre aussi restreint d'Artistes réuni-es afin de réaliser ce Chef-d'oeuvre impérissable de la Littérature, doivent savoir que nous bossâmes hardly car Nikos le Sarkomancien a dit "Bossez comme des chameaux ! Vous aurez des figues !"   A Ciao Amigas y Amigos ! +++

                                                                    Que la légende d'Horgrinh, soit morte !  

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Si vous le voulez bien...