Après lecture de ton texte, jaurai quelques commentaires à faire.
La vie après la mort, la mort après la vie, cet "après", sujet pas très original, traité et tripatouillé dans tout les sens par grand nombre dauteurs, il est très délicat de faire quelque chose de bien de ce dernier.
Javoue que tu te les approprié à ta manière, et de manière assez surprenante. Malgré quelques erreurs de syntaxe, dorthographe, qui ont été reprise par Delpha (Je naurai de toute façon pas pu toutes les relever moi-même ), jaimerai revenir sur quelques autres points. Désolée davance pour les critiques, japprécie beaucoup ton texte, mais tu nattends pas seulement des éloges de nous, donc
* Tes parents, tes frères, tes surs, tes amis et même tes enfants tont oublié après que tu te sois replié sur toi-même.
Les termes "replié sur toi-même" ne conviennent pas à la situation. On parle de solitude et de malheur, dun homme qui semble attendre la mort. On ne "se replie par sur soi même" dans ce genre de situation, cest bien trop familier je trouve. Je ne me permettrai pas de corriger ton texte en le réécrivant, mais je te conseille de modifier cette partie là.
* Tu aimes les phrases courtes et les questions (moi-même jadore mexprimer à lécrit de cette manière), mais il faut savoir sen servir, car il est périlleux de se lancer dans ce type de français. Un enchaînement trop confus de phrases peut embrouillé, voir rendre confuse la lecture du texte. Surtout lorsquon enchaîne directement avec des semblants de réponses à ces dernières.
Qui sait ce quil y a après la mort ? Qui sait si ce ne sont pas des hommes apeurés du cycle de la vie qui ont promis une vie éternelle ? Pourquoi le paradis serait réservé aux bons ? Pour éviter les guerres et la violence ?
Je sais que cela peut être fait dans loptique de donner du style et du rythme à ton texte, mais cela peut causer quelques problèmes.
Qui sait ce quil y a après la mort ? Qui sait si ce ne sont pas des hommes apeurés du cycle de la vie qui ont promis une vie éternelle ?
La question est compliquée, il faut la relire par deux fois pour en comprendre la subtilité. On attend une réponse, pas à la question en elle-même, mais une suite à cette dernière, une réponse à notre questionnement : "Ai-je compris la question comme elle devait lêtre ?", pour mieux cerner tes propos, mais ça ne vient pas, et on passe directement à : Pourquoi le paradis serait réservé aux bons ? Puis, dun coup encore : Pour éviter les guerres et la violence ?
" Qui sait " " Qui sait " , " Pourquoi " "Pourquoi ".
--- > Trop de rythmique peut nuire à la compréhension du texte.
* Aurais-tu peur de penser quil ny ait rien après la mort ? Comme une chandelle entièrement consumée, nous nous éteignons pour ne plus jamais être allumé. Possible. Et quaprès notre dernier soupir il ny ait ni chagrin, ni remords de la vie, puisque nous nexistons plus.
Japprécie beaucoup ce passage, je considère quil confère une dimension particulière à ton texte, cest là que je vois le réel commencement de ton passage, comme si tout ce qui précédait était une introduction.
* Pour finir,
Toi, tu nas pas peur de la mort
ou presque. Tu ne vis plus depuis le départ de ta bien-aimée. Seul ton corps est en vie.
Un râle.
Un hoquet.
Un dernier soupir.
Enchaînement trop brutal. Cétait peut-être leffet que tu voulais donner, mais je ne vois pas ça comme ça, entant que lectrice. Il faudrait une transition, une préparation au passage à du "concret".
Jai finis avec mes quelques critiques. Si je me suis permis de le faire, cest que japprécie ce que tu as écrit, mais on peut toujours améliorer, et jespère quà force de lectures et de commentaires (petit message aux autres membres passant par là), tu pourras modifier et écrire une suite à ce passage.
Par contre, contrairement à ce qui a pu être dit, je trouve que ton texte est loin dêtre morbide. Même si tu te consacres à un thème très glauque, tu as adopté un style et tu lécris dune manière assez "claire". Voir.. Gaie. Cest assez paradoxal, mais cest un avis.