Reprise du message précédent :
c'est à cause de petits marioles qui écrivent des bouses au fond de la classe, pour épater la blonde repérée à la rentrée en s'imaginant être l'héritier de Tolkien, parce que c'est jamais du polar, que je passe pour un méchant, moi je dis : c'est pas juste.

edit : pardon, chou, je disais ça pour Offal.

Roman déposé en mains propres à l'éditeur qui organise le concours. J'ai vu de gros pavés posés sur la table J'espère qu'ils prendront la peine de lire mes 70 pages, ça devrait pas trop leur prendre de temps comparé aux autres remarquez  
 
Sur ce, je me donne deux mois supplémentaires pour envoyer la version définitive aux éditeurs et tenter d'atteindre peut-être les 200K caractères

Finalement, t'es le genre à conduire sans permis, quoi.

Te sens pas obligé de réagir à mes posts

Y a moyen d'intégrer ça dans l'oeuvre d'offal imo

Au risque de me faire exclure de l'élite que représente HFR, j'ai trouvé le texte de chou andy plutôt rafraîchissant. Comme exercice de style, ça passe bien.

 
ne te sens pas obligé de me répondre;

Je crois qu'il a compris ce que tu pensais de sa prose. Pas besoin de lui taper sur l'épaule à chaque fois qu'il poste.

Surtout, c'est toujours difficile de prédire la réaction d'un éditeur. Je me rappelle une fille qui avait posté ici en demandant ce qu'on pensait de son livre. Personnellement (je répète, personnellement) j'avais trouvé ça très mauvais. Et elle a finalement signé un contrat avec une maison d'édition belge pour une série jeunesse.
 
De ce que j'ai compris, ça n'a pas trop marché, mais il n'empêche, les goûts et les couleurs... (un des plus gros succès du Masque en jeunesse, c'est Hush Hush, un repompé de Twilight en pire, je n'aime pas du tout et pourtant ça cartonne).

Ah, j'ai retrouvé: http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] 1#t2494763

Elle a même sa page wiki on dirait.
J'avoue que moi non plus je n'y aurais pas cru. Mais au fond, on voit passer tellement de livres qu'on aime pas et qui sont pourtant publiés...

Et même que des fois on en achète...

une maison d'édition belge, hein.  
 
Grenouille, t'es un mec généreux.

Les rectaliers
 
"Jason ! Jason ! Réveille-toi ! C'est le jour de tes 16 ans ! C'est le jour de TON ADOUBEMENT !"
 
Jason Myke McMahon s'éveilla. Il bailla et s'étira.
"Mon adoubement ?" s'écria-t-il.
"Oh oui Jason, ton adoubement !" dit Jenifer.
"C'est vrai, mon adoubement", répéta Jason, incrédule.
"Mais oui, ton adoubement !" s'enthousiasma Jenifer.
"Alors enfin je vais devenir... UN RECTALIER !" reprit Jason, songeur. "Tant de peine et de fatigue ont été nécessaire, durant toutes ces dizaines d'années d'entraînement... Vite Jenifer ! Point n'avons-nous de temps à perdre ! Apporte-moi ma tenue d'apparat !"
 
Jennifer s'exécuta. Alors qu'elle était penchée sur le coffre à vêtements, sa croupe formait, sous sa robe serrée, un cœur, qui s'offrit aux yeux du jeune homme. Celui-ci en éprouva un étrange émoi. Se levant lentement de sa couche, il s'approcha de la jeune femme, et posa la main sur l'une de ses rondeurs. Sentant le contact de celui qu'elle n'avait pas vu venir, Jenifer releva brutalement le visage.
 
"Jason ? Mais... que fais-tu ?"
 
Laissant sa paume courir sur le tissu, Jason ne su que lui dire "Je ne sais pas, Jenifer, je... je crois que jamais avant ce matin je ne m'étais rendu compte de combien tu étais... jolie ? J'ai parcouru tant de chemin, je n'aurais jamais pu faire cela sans toi... depuis que tu m'as été assignée, nous n'avons jamais été séparés, et..."
 
Son élocution était saccadée. Il ne comprenait guère les émotions qui, en lui, s'affrontaient. Les pommettes de Jenifer s'empourprèrent. Le contact de la main du jeune homme lui était agréable, et son discours aussi, en dépit de son étrangeté. Malgré tout, quelque chose dans la situation la gênait, mais elle n'aurait su dire quoi.
 
La main de Jason, qui jusque-là n'avait tournée qu'en cercles concentriques et paresseux sur le sommet de sa cambrure, lui descendit le long des fesses, lentement, puis des cuisses. Enfin, ses doigts atteignirent, quelque part au-dessus du genoux, la jonction entre le vêtement et la peau nue. Cela lui procura une sensation étrange, comme si sa peau venait de s'éveiller d'un profond sommeil.
 
Jason, enhardi par la chaleur nouvelle qu'il venait, lui aussi, de découvrir, laissa sa main remonter à l'intérieur de la cuisse de la jeune fille, ce qui eu pour effet de remonter sa robe. "Jenifer, je..." Il ne savait que dire. Il ne savait même ce qu'il faisait. Mais le corps qu'il touchait lui semblait magnétique. Il ne pouvait pas s'arrêter. De sa senestre il remonta même la partie roulée de la robe sur les fesses de Jenifer, afin qu'elle n'en redescendit plus.
 
Jenifer était profondément troublée. Elle senti le creux de son dos s'enfoncer un peu plus, ses jambes s'écarter un peu plus, sans qu'elle n'y put rien. Le triangle de tissu qui lui ceignait les reins et dont la pointe lui remontait le long de la raie des fesses, en guise de sous-vêtement, s'humecta. Elle craint de s'être souillée, mais elle n'eut le loisir d'y réfléchir : déjà, les doigts de Jason dégageait la pointe du triangle du nœud qui le tenait en place, dévoilant tout son postérieur et la laissant sans défense, ouverte.
 
La main de Jason plongea vers l'avant, sa toison et son ventre. Lorsqu'il la fit revenir, elle sentit son majeur s'attarder le long de sa fente, détrempée. Un frisson lui parcouru l'échine ; et elle se félicita de son humidité, qui, si elle était peut être honteuse, avait rendu l'attouchement parfaitement fluide et indolore. Même agréable. Les doigts revinrent, et firent de langoureux mouvements au sommet de sa disjonction. Une sensation chaude prit naissance au faîte de son sexe, et semblait vouloir iriser dans tout son corps. Elle se sentit devenir plus humide encore.
 
Jason, lui, s’enfiévrait. Sa respiration était devenue lourde, et s'échappait par la bouche qu'il tenait, sans s'en rendre compte, entrouverte. Ce qu'il faisait du bout de ses doigts lui procuraient d'étranges délices, inconnus jusqu'alors. Sous sa chemise de nuit il sentait une turgescence, à la chaleur irradiante. La tête de son sexe, gonflée, semblait colérique et lui montrait de force une direction, droit devant lui. Il ne put que la suivre. Il se débarrassa de sa chemise, qui entravait ses mouvements, et dévoila sa musculature fine et sa pilosité naissante. Il posa chacune de ses mains de part et d'autres des fesses de Jenifer, et, dardant de son sexe le gouffre humide et chaud qu'il venait de découvrir, s'y engouffra. Cela arracha un cri à Jennifer, mais qui ne lui évoqua pas la douleur : car il s'agissait d'un "Oh !" qui semblait plutôt exprimer la surprise, et, peut-être même, le plaisir.
 
Le contact des reins contre ses fesses avait poussé Jennifer vers l'avant, et si son front n'avait pas, sous le premier choc, heurté le mur, il ne s'en était fallu que de peu. Elle sentait en elle, coulissant dans son sexe ruisselant, la vigueur chaude de Jason. Et cela lui plaisait tant qu'elle avait lâché les vêtements tirés du coffre dans lequel elle fouillait, et s'était appuyée de ses deux mains sur celui-ci, afin de s'abandonner plus à son plaisir, et à celui de l'homme qui s'évertuait derrière elle.
 
Que cela lui faisait du bien ! Jason se félicitait d'avoir suivi la direction que lui avait indiquée son sexe. Il avait l'impression de s'adonner à ce qu'il avait toujours désiré. L'étroitesse du conduit dans lequel il s'était introduit lui procurait de chaudes caresses sur toute la longueur de son sexe. Et l’accélération de la respiration, les gémissements de Jenifer participaient à ce plaisir. Par moment, il contractait les fesses afin de forcer le diamètre de sa verge, et les réactions de sa compagne à ce gonflement subit l'incitait à recommencer. Que n'en avait-il une plus grosse encore, afin qu'elle sentit mieux sa vigueur !
 
Penchée loin vers l'avant, Jenifer sentait l'homme accélérer sa cavalcade en elle. Dans son ventre, elle sentit une aurore, comme un soleil rouge tentant de s'extraire d'une mer endormie pour rayonner sur le monde. Elle aurait voulu que le jeune homme continua de la prendre ainsi, que les forces qu'il lui consacrait permirent au soleil en elle de se lever. Mais soudain, elle le sentit, d'un mouvement de rein plus brutal, d'une pointe, aller jusqu'au fond d'elle et y demeurer ; et, alors que Jason se tenait immobile, la tenant toujours fermement au dessus des fesses, au plus profond d'elle-même ressentit-elle un liquide chaud l'envahir.
 
Jason, sous le choc de ce qu'il venait de ressentir pour la première fois, se laissa tomber assis sur le lit, soutenant son front d'une main. Jenifer se redressa, et se tourna vers lui. Le bas de sa robe, jusque là roulé autour de sa taille, retomba imparfaitement sur ses jambes.
 
"Jason ! Que... c'était..."
 
Le long de ses cuisses, elle sentit le liquide couler. Cette brusque prise de conscience la fit taire.
 
En bas de la tour, dans la cour du château, résonna une cloche.
 
"Jason !" s'écria Jenifer. "L'adoubement !"
"L'adoubement ?" demanda Jason, sortant de sa torpeur.
"Mais oui Jason, ton adoubement !" souffla Jenifer.
"C'est vrai, mon adoubement", répéta Jason, songeur.
"Mais oui, ton adoubement !" le pressa Jenifer.
"Alors enfin je vais devenir... UN RECTALIER !" reprit Jason, fixant, de ses prunelles sombres, le vague qui les entourait.
 
 
 
 
Bon, c'était pas du tout ça que je voulais écrire à l'origine, je voulais pondre une énorme connerie avec une explication de ce qu'étaient les RECTALIERS (et comment ils s'entrainaient pendant des décennies jusqu'à l'âge de 16 ans ), mais on dirait que mon abstinence sexuelle et mon ennui au boulot ont pris la direction des opérations

Tain j'ai humecté partout !
Du bel ouvrage

une chevalier se devait veille d'abstinence et nuit de prière, avant d'être adoubé, comme son nom l'indique ton rectalier est donc un enculé.

Tu t'approches de l'idée d'origine

de très près, même !

L'ANULINGUS DE LA PEUR
 
Il la sentait derrière lui, hésitante. Allait-elle le faire ? Il ne savait ce qui activait le plus ses ardeurs : l'attente du plaisir promis, ou bien la possibilité du dégoût de sa partenaire. Sa respiration, chaude et saccadée, qui sortait de ses narines pour aller se perdre dans la raie de ses fesses, lui indiquait l'imminence du contact.
 
"Sors la langue !" lui intima-t-il.
 
Elle en fit sortir la pointe au travers de ses lèvres. Mais elle ne put aller plus loin : elle ne voyait devant elle qu'une touffe de poils sombres. Elle tâcha d'oublier qu'ils devaient retenir tout ce qui pouvait passer par là, ferma les yeux et, le bout de la langue toujours à peine sorti, tenta de s'approcher plus.
 
"Allez, vas-y !"
 
Il n'en pouvait plus d'attendre. Ou bien souhaitait-il que cette attente dura toujours : car il n'y avait plus de doute. Elle ne voulait pas. Et son plaisir à lui, c'était qu'elle n'en prit aucun, elle. Il pensa à toutes les sottises qu'il lui avait dites, afin qu'il se retrouvassent nus, sous son toit à elle, puisqu'il habitait encore chez ses parents. Et il trouva de quoi l'inciter encore :
 
"Allez ! Pense à ce plaisir que tu vas me donner ! Nulle autre femme ne m'a jamais fait cela. Ce serait assurément une belle preuve d'amour, et jamais je ne pourrais me séparer de celle qui consentira à me la donner !"
 
Comme il parlait bien ! De preuves d'amour et de consentement. Cela sonnait à ses oreilles comme les cloches de l'Eglise le jour de leur mariage. La vision de ce bonheur lui redonna du courage. Elle sortit sa langue un peu plus avant, un peu plus en pointe. Et, dans l'obscurité de la toison, elle plongea. Immédiatement, un goût amer assaillit ses papilles, infâme mélange de sueur, de poivre, de chaleur et de bien d'autres choses encore, qu'elle n'aurait su identifier. Elle voulut aussitôt se retirer, mais un râle de soulagement monta à ses oreilles. Cela plaisait. Son sacrifice ne serait pas vain.
 
"Encore !" gémit-il.
 
Elle fourragea plus profond, essayant d'entrouvrir les lèvres le moins possible. Tous ces poils, sur sa langue... cela la dégoûtait. Alors qu'elle descendait le long de la raie, agitant timidement sa langue, elle sentit l'abord d'un point plus rugueux, moins lisse. Le résultat ne se fit pas attendre, et de nouveau, un soupir de satisfaction emplit la chambre.
 
"Oh oui, là, là, continue !"
 
Elle y était. Elle ne léchait plus des fesses, mais un anus. Elle tacha de se concentrer sur le plaisir de son partenaire, afin de réprimer la pensée qui lui soufflait qu'elle goûtait l'endroit par lequel un corps se purgeait de ses déchets. Et tous ces poils, qui, malgré tous ses efforts, pénétraient par poignées entières dans sa bouche, et cette odeur de sueur... Elle ravala un haut-le-cœur. Maladroitement, elle promena sa main entre les jambes de celui à qui elle voulait plaire, et elle put, ce qui fut une consolation, mais piètre, tâter la turgescence de son amant. Elle y rencontra ses doigts à lui, fermement serrés autour de celle-ci. Le ressenti de la main d'un homme sur la sienne lui avait toujours conféré un profond soulagement, d'amour et de connexion. Mais, dans ce cas, la symbolique et le romantisme de la jonction lui furent plus difficile à saisir.
 
Sous sa langue, le trou se mit à palpiter, à s'ouvrir et à se serrer. Elle ne sut s'il s'agissait d'un effet du plaisir, où si cela était annonciateur de quelque nouvelle apparition, grossière et obscène, dans ce tableau qui la rendait malade. L'image devint trop présente. A nouveau un spasme l'agita, et un liquide acide emplit sa bouche, et ruissela sur l'anus.
 
"OH OUI !"
 
Elle tenta de relever la tête, scellant ses lèvres afin de contenir au mieux le liquide qu'elle se refusait à avaler. Mais, le sommet de son crâne se heurta à une main qu'elle n'avait vu venir, qui maintint sa tête fermement en place.
 
"CONTINUE !"
 
Il avait senti le liquide, et le dégoût qui l'avait fait jaillir. Avait-il senti une légère brûlure à son anatomie due à l'acidité qu'il n'en aurait pour rien au monde interrompu sa jouissance.
 
Elle tenta de se débattre, s'appuyant de ses mains sur les deux fesses entre lesquelles elle était coincée. Mais il n'y avait rien à faire. Et, pour ne pas s'étouffer, elle ouvrit la bouche, répandant le liquide dans les poils, et le laissant dégouliner sur son propre corps, le long de ses seins, puis de ses cuisses, et sur les draps.
 
"LÈCHE ! LÈCHE !" reprit-il. "Oh mon amour ! Jamais ne m'a t-on donné tout ce que tu me donnes. Continue, je t'en supplie !"
 
Elle ressortit la langue, et se heurta partout au goût acre de sa réjection. Et cette odeur, qui partout l'imprégnait, sur son nez et ses lèvres... une nouvelle contraction l'agita, venue de plus profond cette fois. Elle se retourna d'un coup, se libérant de l'étreinte de la main qui, surprise, n'avait pu forcer, et vomit, vomit avec une passion presque religieuse. L’alcool sucré qu'ensemble ils avaient bu, alors qu'il lui lisait les lignes de la main et lui promettait une fulgurante carrière littéraire, emplit sa bouche et, l'instant d'après, formait une flaque sur le parquet, mêlée de grumeaux de couleurs et de textures variées...
 
De nouvelles contractions lui firent garder position, prostrée, s'attendant à tout moment à de nouveaux rejets. Et puis, s'étant enfin calmée, elle se redressa, un peu assommée, essuyant sa bouche d'un revers du poignet. Levant les yeux, elle découvrit, à quelque centimètres de son nez, le vit qu'elle avait pu toucher quelques instants auparavant, énorme, et manipulé sans répit par son propriétaire, qui manifestement avait observé, silencieusement, dans son intégralité, la séquence du vomissement. Il poussa un cri de pâmoison, et une violente giclée de sperme, chaud et visqueux, lui explosa au visage. A cette distance, cela avait été si soudain, si violent, si douloureux... elle larmoya.
 
"Oh mon cœur, mais tu as froid !", lui dit-il d'une voix mielleuse. Il avait raison. Nue, entre les murs anciens de son appartement d'étudiante, mal isolé, ruisselante de tous ces liquides, elle grelottait. Entre ses larmes, elle le découvrit, essuyant la bile de ses fesses d'un coup de draps.
 
"Mon amour" dit-il en regardant d'un geste ample la montre qu'il portait au poignet, "tu vas pouvoir te réchauffer. Je vais te laisser, j'ai encore le temps d'attraper un métro". Il lui fit une caresse sur la joue qu'elle avait la plus propre, et se mit à enfiler ses vêtements. Une minute plus tard, il sortait, lui soufflant un dernier baiser du bout de ses doigts, depuis l'embrasure de la porte.
 
Agenouillée par terre, ses larmes n'avaient cessées de couler. La chaleur de ses larmes, qui gouttaient sur sa poitrine, emmenant avec elles de petites traînées de biles, lui rappela combien elle avait froid. Son premier réflexes fut de se cacher entre les draps, mais ils étaient mouillés, et sentaient affreusement. Ses vêtements ? Dans son état, elle allait les salir.  
 
Elle se dirigea vers la minuscule salle de bain, tourna le robinet, et attendit que l'eau s'échauffa.

Tellement hot, que même l'eau s'échauffe
 

Oui j'avais bien aimé le premier mais cet exercice de style ne gagne pas à être refait hors sites spécialisés...

voilà.

Enchainer les concours de nouvelles, est-ce que ça peut être un bon moyen de progresser ? L'avez-vous fait ?  
 
Y'a t'il des choses auxquels il faut faire particulièrement gaffe au niveau des conditions ? Je suis prêt à céder le droit de publier gratos mon texte mais est-ce qu'il y a des cas de figure où cela pourrait se retourner contre moi ?

un moyen de progresser, je ne pense pas. Car tu n'as jamais de retours sur tes textes : tu es lauréat ou non, et si tu ne l'es pas, tu ne sais pas pourquoi.
de plus il est difficile de résister à la tentation de "formater" ses textes pour plaire au jury.
En revanche c'est un très bon stimulant. J'aime beaucoup le fait de prendre un thème (ou un incipit) et de se l'approprier, tenter d'en faire ce que les autres n'en feront pas. Et lorsque tu es lauréat et invité aux remises de prix, tu peux faire de bonnes rencontres. Des gens qui, eux, t'aideront à progresser. Paradoxalement, enchaîner les concours de nouvelles ça peut être un bon moyen de progresser... si tu gagnes.  
 
au niveau des conditions, tu as tout dit : si tu cèdes tes droits sur un texte, alors tu abandonnes l'idée de le publier un jour dans un recueil perso, et même l'idée de t'en servir pour un autre concours.
Mais il y a peu de concours qui obligent à céder les droits sur un texte.

Merci pour ta réponse détaillée , d'ailleurs elle m'a stimulé, j'ai déjà commencé à m'atteler au travail . Ca me permettra de voir si ma prose est attractive...
 
De toute ça sera pas totalement perdu, ça m'occupe pendant mon chômage.

Après, soyons honnêtes: personne n'achète de recueil de nouvelles. Du coup, "perdre ses droits" sur une nouvelle n'est clairement pas une catastrophe.
 
Comme le dit Stipey, ça permet de rencontrer du monde, de se faire connaître, de faire apprécier sa plume. Après, si ton texte est considéré comme mauvais, il est peu probable que tu aies de retour concret.
 

 

 
   
 
Le logo de cette année est particulièrement de circonstance compte tenu du thème que j'ai choisi (plus ou moins) au hasard.  
 
Contraintes respectées :  

• 50 000 mots ;
• pas d'intrigue ;
• aucun personnage n'a eu le droit à un nom ;
• pas d'intrigue, mais genre pas d'intrigue quoi, genre rien y se passe du tout;
• le personnage principal n'a pas bougé du début à la fin ;
• ai-je déjà dit qu'il ne se passait rien ?

Paradoxalement, ce n'était pas inintéressant à écrire même si j'ai sévèrement tiré à la ligne par moments, délais obligent. Je pense que ça peut même être vraiment intéressant à retravailler pour peu que j'arrive à bien poser une cadre de contraintes (style La Vie mode d'emploi) pour structurer les rêveries du personnage, qui tendent d'ailleurs à se structurer toutes seules (il pense à un truc, ça l'amène ailleurs, il pense à un nouveau truc et fait le lien avec le premier, etc).  
 
Par contre novembre c'est vraiment un mois pourri pour ça, ça tombe vraiment pas bien.

Drap, j'ai envoyé une nouvelle il y a peu et planche actuellement sur le chapitre 13 de mon essai de livre

Bonjour;
 
Ceci est mon premier post et je ne suis pas sur d'être au bon endroit.
Je m'explique, j'ai commencé une nouvelle de science fiction et j'aimerais la partager voir la soumettre a vos critiques.
Si je ne suis pas dans le bon Topique merci de me le faire savoir
 
Ceci est le lien vers m nouvelle:
https://drive.google.com/open?id=0B [...] authuser=0

J'espère que tu en es conscient mais l'orthographe et la ponctuation sont à revoir de toute urgence.

Ah oui quand même

 
Mais je suis très loin d'être une référence dans le domaine. On est d'accord

 
Outch... C'est pas bon. Orthographe, ponctuation, construction des phrases. Faut tout jeter et repartir à zéro.
 
Désolé.  

 
 
Merci pour vos critiques (Merome et tous les autres).
Je m'attendais déjà a des problèmes d’orthographe et de grammaire mais pour ma défense je dirais que je suis NUL en français et que j'en ai conscience.
De plus j'avais écrit ça en 1992 donc ça fait un bail
Merci

C'est donc un parfait exercice

Merci guigr

En fait, sapiens40, tu perds le lecteur très très vite. Je m'explique :

Tu peux tout à fait malmener ton lecteur, d'ailleurs il y a des auteurs qui font ça très bien mais il faut l'accueillir mieux que ça au début. Ici, on a une orthographe hasardeuse, des tournures lourdes et une façon très très laborieuse d'exposer la situation. Qui plus est, celle-ci n'est pas très originale de ce qu'on peut en voir. Ce à quoi tu serais en droit de répondre qu'on lit tous les jours des choses pas très originales, et c'est pas faux, de très grands romans sont faits d'ingrédients qui sont vieux comme Merome Hérode. Mais on les lit quand même parce que ces ingrédients sont bien agencés, d'une manière nouvelle, ou présentés avec un style qui marche bien.

Après, la recette est simple, surtout si tu as écrit ça en 92 (et si je retrouvais des trucs que j'ai écrits en 92, je peux garantir que vous auriez pas envie de les lire). La recette c'est de lire et d'écrire. Écrire parce que c'est comme ça qu'on progresse, qu'on trouve quelles tournures nous plaisent, de quoi on a tendance à abuser et ce qu'il faut corriger. Lire, parce que c'est comme ça qu'on se rend compte qu'on écrit des conneries déjà rabâchées mille fois et qu'il faut se foutre un coup de pied au cul. Et parce que ça améliore la grammaire, l'orthographe, le vocabulaire, tout ça. Et aussi, en particulier pour la science-fiction, parce que ça permet de comprendre comment la science-fiction vieillit, et de se rendre compte que ce n'est pas forcément les aspects technologiques qui vieillissent le plus mal (je pense à tous ces auteurs qui te parlent d'un futur hyper technologique mais dans lequel la guerre froide ne s'est jamais arrêtée et l'URSS n'a jamais éclaté, tu as un peu le même problème : penses-tu que dans le futur les gens ne vont pas se marrer quand ils liront des bouquins où la NASA a l'hégémonie totale sur l'espace ?).

La question après, c'est qu'est-ce que tu as écrit depuis tout ce temps ?

Ah merci biezdomny enfin une critique constructive.
Je m'explique donc à nouveau. Ce texte est le premier et le seul que j'ai écris, je lisais de la SF des années 50/60 à l'époque ce qui a dus m'influencer.
Je ne lis plus maintenant suite a des problèmes sur lesquels je ne m'étendrais pas ici.
J'ai fait ce post pour partager une histoire qui je m'en aperçois maintenant est largement critiquable.
Pour les Troolz tout a fait d'accord, le nom est mal choisit.
Pour l'originalité j'ai essayer de faire de mon mieux  
Ma conclusion sera donc d'affirmer que l'ont ne m'y reprendra plus   avec des fautes bien sur

 
Rho y a pas de raison
 
Tu peux essayer d'écrire un peu, par ci par là, et si c'est un plaisir pour toi, est-ce que c'est vraiment grave de ne pas écrire le prochain Goncourt ? Faut s'amuser un peu, c'est tout !