Prozac a écrit :
La première différence est qu'il n'y a pas de lien entre les données enregistrées par les prestataires internet depuis un cybercafé et l'utilisateur. Donc pas moyen de remonter en cas d'acte illégal à une adresse physique, à une personne.
C'est un fichage de plus. J'y perçois un intérêt pour faire respecter les loi qui défendent la liberté telle qu'elle est évoquée dans notre consitution et dans la déclaration des droits de l'homme (un liberté limité par la liberté des autres individus).
D'un point de vue technique, j'imagine que les personnes les plus dangereuses, des terroristes au hasard, n'auront pas de mal à contourner ça. Mais j'espère bien qu'il y aurait quelques skinheads pour aller raconter ses conneries à l'aise dans ses rangers.
Il y a un danger. Mais pour l'instant, je crois qu'il y a des dangers plus immédiats. Virer au 1984 est toujours un risque à garder dans un coin de la tête. Sujet délicat.
|