Mme Varga a créé une image photographique à partir des griffonnages de sa grand-mère sur un bout de pellicule, après l'avoir vue assise à la table de la cuisine avec un pot de stylos en train de les essayer en gribouillant. « Elle était plutôt perplexe que je lui demande d'écrire sur le négatif et elle a en gros craché dessus »
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L’œuvre de Mme Varga a reçu le prix de 20 000 $ à la Tweed Regional Galley ce samedi de la part du juge Shaune Lakin, qui la décrivit comme un « un portrait photographique très complexe. »
« Cela m'a beaucoup fait réfléchir sur l'acte de création d'un portrait - sur ce que cela signifie aujourd'hui de photographier une autre personne, même si à la fin, cela ne montre pas ce à quoi elle ressemble. » dit-il.
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Le droit d'entrée pour le concours était de 33 $, mais les participants peuvent dépenser des milliers de dollars en impression, encadrement et transport de leurs œuvres.
« Les gens se demandent déjà s'ils prendront la peine de participer une nouvelle fois rien qu'à cause du tarif d'entrée ».
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Mme Papapetrou dit que le choix de l’œuvre de Mme Varga a divisé l'opinion.
« Je pense qu'une partie des autres participants seront assez choqués et déçus du fait que c'est un prix pour un portrait qui ne constitue pas un portrait, » dit-elle. « Et ils se sentent peut-être un peu floués.»

Un éléphant utilisé pour promener des touristes a piétiné à mort son dresseur dans la ville touristique de Victoria Falls, au Zimbabwe le samedi 22 juillet 2017. Un accident qui rappelle que les animaux sauvages ne sont pas des bêtes de foire ...

C'est le troisième accident du genre depuis ces dix dernières années d'après Clément Mukwasi, le président de l'association locale des opérateurs de safaris qui ne s'étend pas plus sur les détails. "Dresseur d'éléphant est un métier à risque. Les éléphants comme certains humains sont rancuniers et peuvent attaquer après certains incidents", a-t-il ajouté. L'animal a été abattu par les autorités après l'incident.

"C'est un triste rappel du fait que les éléphants sont des animaux sauvages qui ne doivent pas être montés", a dénoncé l'organisation World Animal Protection dans un communiqué appelant à l'arrêt de ce genre d'activités "cruelles".

L'association dénonce ces pratiques, mettant en scène les animaux sauvages comme celle qui consiste à monter des éléphants. Les éléphanteaux sont séparés de leur mère très tôt et subissent un entrainement appelé "l'écrasement". Celui-ci implique des contraintes physiques comme des douleurs sévères et une privation de nourriture et d'eau. Leur mental est complètement "brisé" selon World Animal Protection, ce qui explique l'apparente tranquillité des pachydermes lorsqu'ils sont montés par les touristes.

Cette salariée, responsable syndicale, était en conflit avec l’Urssaf depuis octobre 2012, date à laquelle l’Urssaf a refusé de lui accorder un poste de responsable régionale.

Le pasteur Gerard Oko se met en colère en plein culte
Par Journaldebrazza.com - 01/02/2016
 
« L’homme de Dieu » n’a pas supporté de n’avoir obtenu que 15000 FCFA pour les offrandes du dimanche
 
Dimanche dernier, dans une paroisse à Ounzé, un quartier de la ville de Brazzaville, se tenait la messe dominicale, quand tout à coup les choses ont vite tourner au vinaigre. Le pasteur Gerard Oko se rend compte que, les offrandes avaient seulement donné 15 000 Francs.
 
Très vite, l’ « homme de Dieu » entre dans une vive colère, accusant les fidèles de son église de réveil d’être habités par « un esprit de pauvreté », concluant même, que, c’est un sacrilège que le culte du dimanche ne puisse rapporter que la modeste somme de 15 000 Francs.  
 
Gerard Oko va poursuivre son sermon devant toute l’assistance en déclarant, « Dieu n’aime pas la pauvreté, tout l’argent de ce monde lui appartient et le plus normal est de le lui reverser chaque dimanche. », rapporte Lolaka ya Congo.
 
Mais certains fidèles raconteront plus tard que le pasteur avait pour projet d’envoyer sa fille faire des études au Maroc, et espérait ainsi financer les frais de scolarité nécessaires pour une telle initiative. Hélas, la quête du dimanche l’a traumatisé.