Reprise du message précédent :
 
Ben par exemple que pour une personne sans grande qualification qui fait des ménages, trouver 5h ici, 2h là, ça suffit pas à gagner sa vie. Ca arrange bien le commercial, mais pas l'employé de maison.

Ce soir sur france 2 23H "liberté, égalité, fiscalité" 50 min
http://www.france2.fr/emissions/in [...] 015_331521

L'angle éco france 2 08 juin 2015 "la robotique et l'emploi"
http://mobile.francetvinfo.fr/repl [...] 31805.html
 
taux de robotisation pour 10 000 salariés
France 125
USA     152(de mémoire Google investit pas mal dedans)
Allemagne 282
Japon 323
Corée du Sud 437
 
En RPC par de chiffres mais priori  en importe beaucoup
Macron "plan industries du futur" 5 milliards d'euros

résumé de la loi Macron
http://www.lemonde.fr/les-decodeur [...] 55770.html
 
Aprsè les 34 plans industriels de Montebourg, voici les 10 pistes de Macron
http://www.europe1.fr/economie/ind [...] ron-942402

france culture "Comment renouveler la science économique?" 34 min mais sera suivi par d'autres
http://www.franceculture.fr/emissi [...] R-32280591

Attractivité de la France à partir de 54:
http://www.europe1.fr/emissions/eu [...] 15-1243520

 
 
Un PDG n'est pas rémunéré sur les profits de l'entreprise,  il est rémunéré conformément à son mandat social comme le salarié conformément à son contrat de travail.
 
Que tu travailles au titre d'un mandat social ou d'un contrat de travail, c'est logique que tu perçoives une rémunération.
Chacun le PDG avec son mandat social et les salariés avec leurs contrat de travail peuvent avoir un intéressement et une participation.
 
Sur ce principe en quoi, on peut reprocher quelque chose ?
 
 
Le montant est un autre débat.
 

 
 
Le montant de l'action ne vient pas de l'entreprise,  ce n'est que le prix payé entre 2 personnes morales ou physiques.
Pierre achète une action détenue par Paul, à aucun moment dans cette transaction le moindre centime sort de l'entreprise.
 
 
 

 
 
Une société qui a besoin de fond se développer a besoin de trouver un financement, elle a 4 possibilités  
 
- Un auto financement suffisant pour payer ses investissement.
- Un emprunt à la banque  
- Emettre des obligations
- Faire une augmentation de capital
 
La première il faudrait cumuler un certain nombre d'année de CAF pour atteindre le montant des investissemts
Les 2 suivantes,  obligent l'entreprise à rembourser le principal + les intérêts  elle ne peut pas y échapper
La  dernière permet à l'entreprise de payer que le loyer de l'argent sans jamais rembourser le principal
 
 
 
Je suis au chômage j'ai une idée d'ouvrir un fastfood Truck dans une zone industrielle, mais je n'ai pas un sous et aucune banque va me prêter de l'argent parce que je n'ai aucune expérience dans ce domaine et conclu que je prends un risque démesuré.
Donc je fais appel à vous pour me constituer un capital de 120 000 pour acheter mon camion Food Truck équipé
 
Sans vous,  je resterais au chômage avec le RSA
 

 
 
 
En 1988 avec une valeur de 1000 points et en juin 2015 avec un CAC40 à 5015
Cela fait 6,3 % d'augmentation annuel moyenne.
 
 
Sur c'est 6,3 % l'état récupère entre 29% et 59% en prélèvement social (compris la CSG)et en impôt français selon sa tranche.
 
Net on tombe à 4% de rendement, ces bénéfices distribués proviennent de l'activité des sociétés sur la planète entière et non de son activité sur le territoire national.
 
 
De plus les dividendes distribués sont soumis à une taxe payée par les sociétés de 3%
 
 
 
 

Salut Chrissud.  
J'ai, à titre personnel, aucun problème avec le financement numéro 4, et avec la capitalisme en général. Je suis moi-même entrepreneur

Une vision des options en cas de grexit
http://www.pauljorion.com/blog/201 [...] more-76463

http://www.lemonde.fr/festival/vid [...] 15198.html très didactique !

 
arobase merci!

 
Bah tu n'as qu'a économiser jusqu'a avoir la somme voulue ...

Risques géopolitiques d'un grexit
http://www.lemonde.fr/europe/artic [...] _3214.html

Cet argument de liquidité accrue est relativement faible. Le petit bonus de liquidité sur des titres déjà très liquides et quand les marchés fonctionnent correctement n'est pas déterminant. Si cette liquidité part quand les marchés s'affolent, elle est au final assez peu utile.
 
Quand on pense que c'est l'argument "massue" en faveur du trading hautre fréquence, on est en droit de se poser des questions. Mais la pratique n'a pas forcément d'énormes désavantages, donc pourquoi pas.
 

Imposer des prix qui ne pourrait varier que deux fois par jour aurait des conséquences dramatiques sur toutes les techniques d'évaluation des prix des actifs, et rendrait l'intégralité du mécanisme carrément plus aléatoire.
 

Excellente idée que d'imposer aux banques l'impossibilité de se défaire rapidement d'un titre risqué. Ca va tout à fait dans l'air du temps qui est d'inciter les banques à prendre de plus en plus de risques

Bof, il restera l'OTC, mais ça demande de taffer un peu plus derrière...
Des conséquences dramatiques, quand même, faut pas abuser, t'auras une incertitude supplémentaire globalement dans ta volatilité à max 12h pour une cotation anciennement continue, le système s'adapterait.

Ben sans la continuité, plus de mouvement brownien. Les modèles de pricing ont peut-être une certaine robustesse à cette hyothèse, mais je doute qu'elle soit très large. Ca va plus loin que l'horizon auque tu donnes ton prix, ce sont les résultats mathématiques utilisés pour dériver les formules qui ne sont plus valables.

L'histoire de deux cotations par jours c'est vraiment facilement abusable comme on l'a vu encore récemment sur le marché des changes. Tu passes un (très) gros ordre juste avant la détermination du prix et hop.

Futur Krach en Chine?
http://www.pauljorion.com/blog/201 [...] s-leclerc/

Pourquoi futur ? 33% de baisse des marchés, ils sont pas déjà dedans ?

Il y a des fois où le futur se vit au présent

Aticle détaillé france culture sur le TAFTA
 
http://www.franceculture.fr/2015-0 [...] R-32280591

Bonjour
 
Que dit en substance cet article de Krugman à propos du Japon svp?
http://krugman.blogs.nytimes.com/2 [...] more-37820

 
 
En gros :
 
1- la banque centrale japonaise augmente la masse monétaire de manière permanente en un cours laps de temps
 
2- cela implique que le taux d'intérêt de la dette diminue (empirique, dû fondamentalement au fait que les prix des biens courant et les salaires ne changent pas tous les jours) et que le taux de change avec les autres monnaies doit refléter le fait que la monnaie est dépréciée en raison de la nouvelle masse monétaire (théorique). Le dollar doit donc s'apprécier face à yen.
 
Le problème maintenant c'est que les investisseurs n'ont aucune raison d'acheter de la dette japonaise puisque les taux sont faibles (~artificiellement~ en quelque sorte, bien que tout soit artificiel) et en plus on doit s'attendre à ce que le yen perde de la valeur. Ce serait donc double peine : d'une part les intérêts sont pourris d'autre part la valeur de la dette se déprécie.
 
Comme expliquer alors que les investisseurs achètent de la dette ?
 
Au moment où la nouvelle masse monétaire est introduite, il y a un choc sur le taux de change. Mettons que on est 50 yen = 1 dollar avant l'intervention de la banque centrale. Après l'intervention le taux de change théorique d'équilibre est de 60 yen = 1 dollar (logique le yen plus rien valoir) en fait on a concrètement un choc qui fait que le taux passe brusquement à 70 yen = 1 dollar. Ce taux va ensuite s'apprécier au cours du temps lentement pour atteindre le taux d'équilibre. Ceci permet d'expliquer que les investisseurs ont intérêt à acheter de la dette car au moment où 70 yen = 1 dollar certes le taux d'intérêt de la dette est pourri mais ils peuvent s'attendre à voir le yen s'apprécier dans le futur pour compenser.
 
Ceci est en fait une conséquence positive pour l'économie japonaise qui voit sa monnaie dévaluer de manière "bonus" et permet donc de favoriser les exports etc... Si les créanciers choisissent d'attaquer le Japon ils ne feront donc que forcer la banque centrale à les payer en monnaie de singe ce qui implique ce scénario qui est en fait positif pour l'économie Japonaise. Bien sûr le cas extrême c'est l'hyperinflation, qui n'a essentiellement aucun risque de se matérialiser pour d'autres raisons...
 
Une des références : https://www.imf.org/External/Pubs/F [...] pdf/kr.pdf permet de voir de nombreux exemples de ce phénomène.

C'est l'explication technique de ce qu'avance Krugman : aucun pays empruntant dans sa monnaie propre ne peut avoir à faire face à une attaque des créanciers sur sa dette. Toutes les crises de la dette récentes se sont produites dans des pays empruntant dans une monnaie dont ils ne contrôlaient pas l'émission (Argentine en dollar, Grèce en euro).

Le cas du Zimbabwe c'est essentiellement un état hyper pauvre sans force étatique pour collecter l'impôt. L'hyperinflation sinon c'est quasiment toujours dû à une guerre, un état qui ne peut pas collecter d'impôt etc...

Rajoutons aussi que l'essentiel de la dette japonaise est détenue... par les japonais eux-même, ce qui rend encore moins probable une "attaque" par les créanciers.

Et surtout, les firmes depuis 1994 et les ménages depuis 2001(Japon)
se désendettent
http://cib.natixis.com/flushdoc.aspx?id=63146

 
taux de robotisation : quoi divise par quoi ??
comment les mesures sont faites ??
 
ces trucs me laisseront toujours eminemment perplexe

 
bah ecoute, economise pendant 20 ans pour acheter ta maison sans emprunt !

 
ouais, ou bien tu traites en dehors du marche tout betement

Bonjour
 
je n'ai pas compris le principe du bitcoin. on dit que c'est une monnaie virtuelle. Donc elle n'a aucun cours légal en euro ou dollar?

L'échange des bitcoins est encadré par la banque de France et doit passer par un organisme avec une licence. Le cours après c'est à la discrétion des acheteurs et vendeurs.

Concrètement, ça sert à jouer au poker en ligne?

à blanchir son argent sale et à acheter de la drogue plutôt.

Sur ce qu'on appelle le "dark web"?

1) ça n'est pas le sujet du topic, c'est même complètement HS
 
2) il y a un topic bitcoin pour ce genre de question

ah....Désolé...

Le plan B qui était élaboré par Varoufakis
http://www.huffingtonpost.fr/2015/ [...] 75386.html