Ben merde.
 
J'aimais bien ce journaliste et son émission complément d'enquête.

La petite amie d'un obscur chanteur d'un obscur groupe  
 
Bientôt sur ce topic, la mort du chien de la nièce de tata Ginette

J'aimais bien "Complément d'enquête" qui présentait des sujets intéressants.  
Vous parliez des présentateurs disparus brutalement, il y a aussi Bernard Rapp.
RIP Benoît.

 
On va dire que 93 c'est ta date de naissance. Ce serait ta seule excuse...

Ben merde. BHL l'a tué.

Si c'est son département, c'est une excuse tout aussi valable. M'en fin Joy Division, c'est le genre de groupe vaseux dont la légende autoproclamée n'en finit pas de s'éteindre.

Elle est surtout morte sur un sommet, elle...

On va dire que 93 c'est ta date de naissance. Ce serait ta seule excuse...

Si c'est son département, c'est une excuse tout aussi valable. M'en fin Joy Division, c'est le genre de groupe vaseux dont la légende autoproclamée n'en finit pas de s'éteindre.

Ou son QI.

C'était un bon journaliste.
Il avait fait fort lors de l'élection présidentielle et la victoire de Chirac en 95.
 

 
j'aimais ses émissions, à chaque fois très pertinentes

C'est le jeu du PAF.

Ben merde.
 
J'aimais bien ce journaliste et son émission complément d'enquête.

Elle avait une putain de carrière musicale qui se profiler devant elle. Et pour info, c'était elle qui aurait du avoir le rôle principal dans "Honey", c'est finalement Jessica Alba qui a joué ce rôle.

C'était un bon journaliste.
Il avait fait fort lors de l'élection présidentielle et la victoire de Chirac en 95.
 

D'ailleurs c'est souvent cité aujourd'hui par les journalistes comme "un grand moment de journalisme".
Lui-même disait que "C'était une belle première, c'était une première mondiale".
 
Revenons sur ce grand moment qui rehausse l'opinion tellement critique des français sur les journalistes.  Que nous révèle Benoît sur sa moto, de cet évènement :
"nous ne savons pas si le nouveau président se rend ou pas à la fête de la place de la concorde. On dit qu'il pourrait s'y rendre, mais aussi qu'il pourrait ne pas s'y rendre"
Du grand journalisme
 
"Jacques Chirac demande à ce que l'on s'éloigne de sa voiture pour mieux négocier les passages difficiles"
C'est vrai que c'était une bonne idée de coller sa bagnole en moto, à 80 à l'heure dans les rues de Paris.
 
"La voiture de Jacques Chirac prend la voie express .....  ..... ..... Ah ben non, c'est une erreur il ne prend pas la voie express"
Bien vu.
 
"Il y a une meute de photographes qui suivent la voiture"
Mais moi c'est pas pareil, je ne fais pas partie de cette meute.
 
"J'ai l'impression que la voiture se met à tourner.  Nous quittons le bd st germain pour remonter vers le Senat par la rue de Seine"
TomTom n'aurait pas dit mieux.
 
"- Benoît on ne vous voit pas.
- Si si je suis là pourtant  ... Ah non je m'étais trompé de caméra, excusez-moi
Nous sommes devant l'hôtel de ville, enfin derrière
Il y a des caméras à l'intérieur, enfin je suppose"
Trois phrases consécutives, trois grands moments de journalisme pointu.
 
 
C'est pour ce genre d'interventions pertinentes qu'on a besoin de grands journalistes formés dans les plus grandes écoles de journalisme, qui nous font profiter de ces grands moments de vacuité journalisme.
C'est l'acte fondateur de sa carrière de journaliste.
 
Bon, paix à son âme, c'est toujours triste à cet âge là.

D'ailleurs c'est souvent cité aujourd'hui par les journalistes comme "un grand moment de journalisme".
Lui-même disait que "C'était une belle première, c'était une première mondiale".
 
Revenons sur ce grand moment qui rehausse l'opinion tellement critique des français sur les journalistes.  Que nous révèle Benoît sur sa moto, de cet évènement :
"nous ne savons pas si le nouveau président se rend ou pas à la fête de la place de la concorde. On dit qu'il pourrait s'y rendre, mais aussi qu'il pourrait ne pas s'y rendre"
Du grand journalisme
 
"Jacques Chirac demande à ce que l'on s'éloigne de sa voiture pour mieux négocier les passages difficiles"
C'est vrai que c'était une bonne idée de coller sa bagnole en moto, à 80 à l'heure dans les rues de Paris.
 
"La voiture de Jacques Chirac prend la voie express .....  ..... ..... Ah ben non, c'est une erreur il ne prend pas la voie express"
Bien vu.
 
"Il y a une meute de photographes qui suivent la voiture"
Mais moi c'est pas pareil, je ne fais pas partie de cette meute.
 
"J'ai l'impression que la voiture se met à tourner.  Nous quittons le bd st germain pour remonter vers le Senat par la rue de Seine"
TomTom n'aurait pas dit mieux.
 
"- Benoît on ne vous voit pas.
- Si si je suis là pourtant  ... Ah non je m'étais trompé de caméra, excusez-moi
Nous sommes devant l'hôtel de ville, enfin derrière
Il y a des caméras à l'intérieur, enfin je suppose"
Trois phrases consécutives, trois grands moments de journalisme pointu.
 
 
C'est pour ce genre d'interventions pertinentes qu'on a besoin de grands journalistes formés dans les plus grandes écoles de journalisme, qui nous font profiter de ces grands moments de vacuité journalisme.
C'est l'acte fondateur de sa carrière de journaliste.
 
Bon, paix à son âme, c'est toujours triste à cet âge là.

Les images dont tu parles, reprises dans le monde entier, représentent un sacré exploit journalistique, que d'autres ont essayé de reproduire depuis en ne réussissant qu'à se ridiculiser. Visiblement ça t'échappe.

 
 
   
 
Ceux qui ont vu ses émissions, et ils sont nombreux, n'ont pas cette opinion.
 Les images dont tu parles, reprises dans le monde entier, représentent un sacré exploit journalistique, que d'autres ont essayé de reproduire depuis en ne réussissant qu'à se ridiculiser. Visiblement ça t'échappe.
 Il sortait du lot des journalistes.
 
 

 
 
   
 
Ceux qui ont vu ses émissions, et ils sont nombreux, n'ont pas cette opinion.
 Les images dont tu parles, reprises dans le monde entier, représentent un sacré exploit journalistique, que d'autres ont essayé de reproduire depuis en ne réussissant qu'à se ridiculiser. Visiblement ça t'échappe.
 Il sortait du lot des journalistes.
 
 

Mais ces personnes (les journalistes, et en particulier ceux qu'on voit à la TV) ont une telle opinion de leur personne et de leur métier (et un tel sens du corporatisme), qu'ils estiment que tout ce qu'ils font est génial.  Et comme ce sont eux qui ont le monopole de la parole publique au plus grand nombre, ce sont eux qui nous disent ce qu'on doit penser d'eux-mêmes.

ce n'est d'ailleurs pas pour rien qu'une très grosse majorité des journalistes sont socialistes

 
Pour BHL, comme par hasard Duquesne le rencontre la veille, le lendemain crise cardiaque...
 

D'ailleurs c'est souvent cité aujourd'hui par les journalistes comme "un grand moment de journalisme".
Lui-même disait que "C'était une belle première, c'était une première mondiale".
 
Revenons sur ce grand moment qui rehausse l'opinion tellement critique des français sur les journalistes.  Que nous révèle Benoît sur sa moto, de cet évènement :
"nous ne savons pas si le nouveau président se rend ou pas à la fête de la place de la concorde. On dit qu'il pourrait s'y rendre, mais aussi qu'il pourrait ne pas s'y rendre"
Du grand journalisme
 
"Jacques Chirac demande à ce que l'on s'éloigne de sa voiture pour mieux négocier les passages difficiles"
C'est vrai que c'était une bonne idée de coller sa bagnole en moto, à 80 à l'heure dans les rues de Paris.
 
"La voiture de Jacques Chirac prend la voie express .....  ..... ..... Ah ben non, c'est une erreur il ne prend pas la voie express"
Bien vu.
 
"Il y a une meute de photographes qui suivent la voiture"
Mais moi c'est pas pareil, je ne fais pas partie de cette meute.
 
"J'ai l'impression que la voiture se met à tourner.  Nous quittons le bd st germain pour remonter vers le Senat par la rue de Seine"
TomTom n'aurait pas dit mieux.
 
"- Benoît on ne vous voit pas.
- Si si je suis là pourtant  ... Ah non je m'étais trompé de caméra, excusez-moi
Nous sommes devant l'hôtel de ville, enfin derrière
Il y a des caméras à l'intérieur, enfin je suppose"
Trois phrases consécutives, trois grands moments de journalisme pointu.
 
 
C'est pour ce genre d'interventions pertinentes qu'on a besoin de grands journalistes formés dans les plus grandes écoles de journalisme, qui nous font profiter de ces grands moments de vacuité journalisme.
C'est l'acte fondateur de sa carrière de journaliste.
 
Bon, paix à son âme, c'est toujours triste à cet âge là.

C'est vrai qu'un motard parisien qui roule 30 minutes sans exploser un rétro ou latter une portière, c'est mémorable.

 
Pour BHL, comme par hasard Duquesne le rencontre la veille, le lendemain crise cardiaque...